Poisson-aiguille argenté
Le Poisson-aiguille argenté, vraisemblablement potamodrome, fréquente principalement les rivières, et les habitats de plaine marécageuse et les bras morts, bien qu'à certaines périodes de l'année, on puisse également le trouver dans les eaux à courant rapide.
Sa maintenance est donc compliquée par sa taille, jusqu'à quarante centimètres son régime alimentaire carnivore, mais aussi sa propension à coloniser saisonnièrement les zones inondées.


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Taxinomie
Descripteur : Hamilton, 1822
Classe: Actinopterygii
Ordre: Beloniformes
Famille:  Belonidae
Genre:  Xenentodon
Synonymes
Belone cancila (Hamilton, 1822)
Belone graii Sykes, 1839
Esox cancila Hamilton, 1822
Esox hindostanicus Falconer, 1868
Esox indica McClelland, 1842
Malstemcembalus cancila (Hamilton, 1822)
Xenenthodon cancila (Hamilton, 1822)
Noms Communs
Poisson-aiguille argenté
Poisson-aiguille d'eau douce
Asian needlefish (en)
Silver needlefish (en)
Chuche bam (népalais)
Kabali (népalais)
Yonna (යොන්නා) (tamoul)
Habarali (හබරලි) (tamoul)
Membres du genre Xenentodon
Xenentodon cancila (Hamilton, 1822)
Origine géographique
Aire d'origine : Asie
Bangladesh, Bhoutan, Birmanie, Cambodge, Inde, Malaisie, Myanmar, Népal, Pakistan, Sri Lanka, Thaïlande
Aire actuelle
États Unis d'Amérique (Hawaï)
On considère actuellement que Xenentodon cancila a une vaste répartition naturelle.

Le Poisson-aiguille argenté a été observé au Pakistan, en Inde (Uttar Pradesh, Assam, Tripura, Bengale-Occidental, Nagaland, Meghalaya, Orissa et Bihar), au Bangladesh, au Népal, au Sri Lanka, au Myanmar et en Thaïlande. Au Sri Lanka, on le trouve dans la zone humide de plaine et dans la zone intermédiaire de plaine (De Silva et al. 2015).

La localité type est "Étangs et petites rivières des provinces du Gange".

Il a été introduit à Hawaï où au moins une population sauvage s'est établie.
Environnement
Paramètres
Milieu
Douce
Xenentodon cancila fréquente principalement les rivières, à une profondeur de zéro à deux mètres ( Mundy, B.C., 2005).
Il a tendance à habiter les sections à courant lent à calme des ruisseaux et des rivières et les habitats de plaine marécageuse tels que les marécages et les bras morts, bien qu'à certaines périodes de l'année, on puisse également le trouver dans les eaux à courant rapide et qu'il ait également été collecté dans les canaux artificiels et les canaux d'irrigation.
C'est également un habitant commun des plaines inondées temporairement pendant les moussons annuelles qui affectent fortement la majorité de son aire de répartition.
Il s'agit d'un potamodrome "latéral" profitant saisonnièrement des crues.

Au nord du Bengale, on le trouve dans les ruisseaux et les étangs clairs, graveleux et pérennes du Teraï et du Duar.
Au Sri Lanka, on peut le trouver dans les eaux claires et courantes, bien qu'il préfère les zones avec des bassins profonds et des substrats sablonneux ou rocheux (De Silva et al. 2015, Pethiyagoda 1991).
C'est un poisson vivant en surface.

L'espèce est assez commune dans le système Gange-Brahmapoutre, mais elle n'est pas commune au Népal. Aucune information n'est actuellement disponible pour les autres parties de son aire de répartition.

Dans le bassin de la rivière Yan Khaw Chaung, on trouve Danio feegradei, Devario xyrops, Garra rakhinica, Garra vittatula, Xenentodon cancila, Sicyopterus fasciatus et des espèces non identifiées de Lepidocephalichthys et Channa.

Note : Poisson donné comme amphidrome par Riede (2004) il semble pourtant vivre loin des estuaires, et se reproduire en eau douce (Yamamoto et Tagawa, 2000). Cette confusion pourrait venir d'erreurs d'identifications avec d'autres membres du genre.
L'espèce est très répandue et, bien qu'elle soit en déclin dans certaines parties de son aire de répartition, comme en Inde et au Népal, en raison de l'envasement, de la perte et de la dégradation de son habitat, on ne pense pas qu'un déclin de la population mondiale soit susceptible d'atteindre (ou d'être proche d'atteindre) le seuil de vulnérabilité.
Par conséquent, cette espèce est évaluée comme étant de "Préoccupation mineure".

En Inde cependant, l'habitat de l'espèce se dégrade dans certaines parties de son aire de répartition en raison de l'envasement provoqué par la déforestation, ainsi que de la perte et de la modification de l'habitat dues à la disparition des zones humides, notamment par le comblement des étangs.
Au Sri Lanka, la pollution de l'eau due aux activités humaines courantes telles que l'extraction de sable et de pierres précieuses, les mini-barrages hydroélectriques et la déforestation peut entraîner une dégradation de l'habitat qui affecte la survie de cette espèce.
Description
Taille
: 30 à 40 cm SL
Respiration
Branchiale
Longévité
10 à 15 ans
Régime
Carnivore
Xenentodon cancila est un poisson allongé et mince qui peut atteindre une longueur quarante centimètres (Talwar, P.K. and A.G. Jhingran, 1991), bien que la taille commune soit de trente centimètres à l'âge adulte.

Comme d'autres poissons-aiguilles, cette espèce a un corps allongé avec de longues mâchoires en forme de bec remplies de dents.
Les nageoires dorsale et anale sont placées loin en arrière le long du corps près de la queue.
Le corps est vert argenté, plus foncé dessus et plus clair dessous avec une bande sombre qui court horizontalement le long du flanc.
Les yeux de Xenentodon cancila sont grands et placés haut sur la tête, ce qui leur permet de voir facilement leur environnement.

Épines dorsales (total) : 0 ; rayons mous dorsaux (total) : 15 - 18 ; épines anales : 0 ; rayons mous anaux : 16 - 18. Corps très allongé et légèrement comprimé. Nageoire dorsale insérée généralement en avant d'une verticale passant par l'origine de la nageoire anale. Vert-argenté sur le dos, devenant blanchâtre en dessous. Une bande argentée à marge foncée longe le côté ; une série de quatre ou cinq taches (absentes chez les jeunes spécimens) sur les côtés entre les nageoires pectorales et anales. Nageoires dorsale et anale à bords foncés.

Il n'existe actuellement que deux espèces dans le genre, bien que l'existence probable d'un troisième membre ait été notée par Roberts (1989).

D'après cet auteur, le genre Xenentodon peut être défini comme suit : corps cylindrique ; mâchoires avec de grandes canines alternant avec des dents coniques beaucoup plus petites ; une paire de dents pharyngiennes ; branchiospines absentes ; écailles petites à extrêmement petites ; ligne latérale placée très bas sur le corps mais ne formant pas de quille sur le pédoncule caudal ; nageoires dorsale et anale à peu près de taille égale et presque opposées l'une à l'autre avec 14 à 19 rayons ; nageoire caudale arrondie ou tronquée ; vertèbres 55 à 62.

Selon lui, X. cancila peut être distingué de son seul congénère X. canciloides par la combinaison de caractères suivante : mâchoires relativement grandes et massives (contre relativement fines et délicates chez X. canciloides ) ; la longueur de la mâchoire supérieure correspond à 2,6 à 3,2 fois la longueur du corps mesurée du bord antérieur de l'orbite à l'extrémité de la plaque hypurale (contre 2,3 à 2,6 fois) ; 9 à 21 dents élargies sur la mâchoire supérieure (contre 21 à 32) ; origine de la nageoire dorsale généralement antérieure à une origine verticale passant par la nageoire anale (contre origine de la nageoire dorsale généralement au-dessus du deuxième ou du troisième rayon de la nageoire anale) ; corps lourd et atteignant 40 cm LT Longueur standard qui exprime la longueur totale d'un poisson. La longueur totale (LT, Longueur standard qui exprime la longueur totale d'un poisson. La longueur totale (LT, TL en anglais) mesure la longueur extrême mais les filaments en extension de la queue sont toujours ignorés. Longueur standard qui exprime la longueur totale d'un poisson. La longueur totale (LT, Longueur standard qui exprime la longueur totale d'un poisson. La longueur totale (LT, TL en anglais) mesure la longueur extrême mais les filaments en extension de la queue sont toujours ignorés. TL en anglais) mesure la longueur extrême mais les filaments en extension de la queue sont toujours ignorés. TL en anglais) mesure la longueur extrême mais les filaments en extension de la queue sont toujours ignorés. Longueur standard qui exprime la longueur totale d'un poisson. La longueur totale (LT, Longueur standard qui exprime la longueur totale d'un poisson. La longueur totale (LT, TL en anglais) mesure la longueur extrême mais les filaments en extension de la queue sont toujours ignorés. Longueur standard qui exprime la longueur totale d'un poisson. La longueur totale (LT, Longueur standard qui exprime la longueur totale d'un poisson. La longueur totale (LT, TL en anglais) mesure la longueur extrême mais les filaments en extension de la queue sont toujours ignorés. TL en anglais) mesure la longueur extrême mais les filaments en extension de la queue sont toujours ignorés. TL en anglais) mesure la longueur extrême mais les filaments en extension de la queue sont toujours ignorés.(contre corps relativement petit, mince et ne dépassant pas 30 cm LT) Longueur standard qui exprime la longueur totale d'un poisson. La longueur totale (LT, TL en anglais) mesure la longueur extrême mais les filaments en extension de la queue sont toujours ignorés. Longueur standard qui exprime la longueur totale d'un poisson. La longueur totale (LT, TL en anglais) mesure la longueur extrême mais les filaments en extension de la queue sont toujours ignorés..
 
Régime Alimentaire
Xenentodon cancila est un prédateur obligatoire qui se nourrit principalement de petits poissons, de crustacés et d'insectes dans la nature, et qui peut être difficile à sevrer des alternatives mortes en captivité.

En aquarium, on peut offrir aux plus petits spécimens des vers de vase, des petits vers de terre, des crevettes hachées et autres, tandis que les adultes doivent accepter des bandes de chair de poisson, des crevettes entières, des moules, des crevettes de rivière vivantes, des vers de terre plus gros, etc.

Il peut être nourri avec une alimentation industrielle riche en protéines, tels que les granulés et les flocons pour poissons carnivores, mais avant qu'il atteigne sa taille adulte il est préférable de le nourrir au moins à moitié avec des proies vivantes afin qu'il se développe correctement.
Les aliments congelés comme les crevettes, les moules et les krills peuvent également être offerts en complément.

Attention ! : Un prédateur a tendance à trop manger si la nourriture est facile à saisir, il faut le nourrir seulement trois fois par semaine afin d'éviter des dommages de croissance, sauf à ne lui fournir que du vivant.
Un prédateur doit impérativement chasser pour son bien-être. Manger à sa faim ne suffit pas, il faut qu'il participe activement à la recherche et à la prise des proies afin d'attiser son instinct. Manger une nourriture morte n'aboutit qu'à une "clochardisation" préjudiciable à sa santé aussi bien mental que physique.
Un ou plusieurs jours de jeûne sont nécessaires à une croissance harmonieuse.

Comme la grande majorité des poissons prédateurs, cette espèce ne doit pas être nourrie avec de la viande de mammifère ou d'oiseau comme le cœur de bœuf ou le poulet. Certains des lipides contenus dans ces viandes ne peuvent pas être correctement métabolisés par le poisson et peuvent provoquer des dépôts de graisse excessifs, voire une dégénérescence des organes.

De même, il n'y a que peu d'intérêt à utiliser uniquement des poissons "fourrages" tels que les vivipares ou les petits poissons rouges car ils n'ont pas une valeur nutritionnelle élevée.
Dimorphisme
Il existe un léger dimorphisme sexuel.
Les mâles ont tendance à avoir des bords noirs sur les nageoires dorsale et anale, coloration absente chez les femelles.
Chez les mâles nuptiaux, une "bosse" dorsale prononcée est visible immédiatement derrière la tête, tandis que les mâchoires et la partie inférieure de la tête sont teintées de rouge, et la région operculaire et la poitrine deviennent jaune-d'or.
Dangerosité
 
 
 Faible
Soyez prudents en alimentant manuellement les grands spécimens car ces poissons vigoureux ont des dents très pointues qui peuvent infliger des coupures, sans gravité cependant.
Maintenance
Population
6 minimum
Zone
Supérieure
Ratio M/F
1 / 2
Paramètres
Température
        18      23              27      30
pH
         6      6,5            7,5      8
GH
         0       3              10       12
Brassage
Aquarium
Volume
500 l minimum (1000 l recommandé)
Longueur
250 cm minimum (350 cm recommandé)
Hauteur
30 cm minimum
Xenentodon cancila est généralement considéré comme une espèce assez difficile à maintenir en raison de sa grande taille, de son comportement nerveux et de sa préférence pour les aliments vivants.

Attention ! : Bien qu'il soit parfois considéré comme amphidrome, il ne vit pas habituellement dans les eaux saumâtres, bien qu'il puisse y pénétrer de temps à autre dans les localités côtières. Le sel marin n'est pas nécessaire à son bien-être.

Il fréquente les sections à courant lent à calme des ruisseaux et des rivières et les habitats de plaine marécageuse et les bras morts, bien qu'à certaines périodes de l'année, on puisse également le trouver dans les eaux à courant rapide.
C'est également un habitant commun des plaines inondées temporairement pendant les moussons annuelles qui affectent fortement la majorité de son aire de répartition.


Cette espèce est un habitant quasi exclusif de la partie supérieure et il apprécie la couverture de surface sous forme de végétation flottante ou en surplomb.
Le décor peut être constitué d'un substrat sableux avec des feuilles mortes en couche épaisse, ainsi que de grosses branches de bois flotté et de racines tordues.
On peut également ajouter des plantes qui peuvent pousser enracinées dans le sable, ainsi que celles qui poussent attachées à des surfaces solides telles que Microsorum, Taxiphyllum ou Anubias spp.

L'éclairage doit être adapté aux plantes utilisées, mais resté modéré.

Une filtration efficace est indispensable lors de l'élevage d'espèces prédatrices, surtout de grande taille, en raison de la quantité de déchets produits. Il faut donc installer un filtre externe efficace et/ou un système de puisard, en organisant le retour de manière à éviter un flux turbulent permanent.

Des changements d'eau fréquents doivent être considérés comme obligatoires car cette espèce peut être sensible aux polluants organiques et aux variations de la composition chimique de l'eau.

Étonnamment pacifique avec tout ce qui est trop gros pour être avalé et peut être maintenu dans une communauté à condition que les compagnons de réservoir soient choisis avec soin.
Cette espèce n'est pas agressive envers ses congénères, les juvéniles en particulier présentant un instinct de regroupement marqué, et il est préférable de la maintenir en nombre de six ou plus... dans un grand bac donc.

Xenentodon cancila est un poisson actif, qui a besoin d'un grand espace pour nager. Un bac de grande taille est indispensable. Cependant, si vous utilisez un bac profond, vous pouvez le remplir au deux tiers de sa capacité afin de mieux reproduire le biotope naturel.
Faire varier le débit et la hauteur d'eau est sons doute nécessaire pour simuler les changements saisonniers propre à ce milieu.

Le poisson est également connu pour sa capacité à sauter hors de l'eau, il est donc important de maintenir un couvercle bien ajusté sur l'aquarium.

Disponibilité commerciale : Très rare

Xenentodon cancila est maintenu par des aquariophiles européens depuis 1910, et a été élevé pour la première fois en captivité à la station biologique de Wilhelminenberg, en Autriche , en 1963.

Les poissons présents dans le commerce sont, semble t-il, d'origine sauvage.
Cette espèce est exportée en petites quantités du Sri Lanka pour le commerce international des aquariums (Gunasekara 2011).
Reproduction
Type
Ovipare
Difficulté
Possible
Paramètres
Température
27 à 29 °C
pH
6 à 7
GH
1 à 5 °GH
Xenentodon cancila a été élevé pour la première fois en captivité à la station biologique de Wilhelminenberg en Autriche, en 1963.

Les poissons sauvages fraient entre les mois de mai et septembre chaque année (Bano et al., 2012) et la reproduction en captivité est possible bien que rarement réalisée.

Des températures assez chaudes de 27 à 29 °C, associées à plusieurs changements d’eau froide simulant la saison des pluies, peuvent aider à stimuler le comportement de frai.
La reproduction est aussi liée à une très bonne alimentation et des proies vivantes doivent être distribuées chaque jours.

"Le mâle poursuit une femelle qui se déplace lentement et, après l'avoir rattrapée, commence à trembler d'un côté à l'autre tandis que le couple est orienté parallèlement l'un à l'autre ; le couple se positionne près de la végétation submergée ; le mâle adopte une légère position tête en bas, avec sa nageoire anale enroulée sous l'évent de la femelle ; le couple commence à trembler jusqu'à ce qu'un seul gros œuf soit libéré ; chaque femelle produit environ une douzaine d'œufs par jour ; les œufs éclosent en une semaine environ ; aucun soin parental" (Yamamoto, M.N. and A.W. Tagawa, 2000).

Il semble qu'il s'agisse d'un reproducteur continu, les femelles déposant un petit nombre d'œufs chaque jour avec une préférence pour les endroits où le débit d'eau est le plus fort. Il semble que les œufs plus abrités ont tendance à moisir.

Chaque œuf d'un diamètre d'environ 3,5 mm, est attaché à la végétation immergée via un filament adhésif qui peut mesurer jusqu'à dix centimètres de longueur.
Ceux-ci peuvent être retirés dans un aquarium ou un récipient séparé aux mêmes paramètres dès qu'ils sont fécondés. Le récipient d'accueil devra être filtré sur charbon, bien ventilé, et additionné de feuilles mortes. On peut utiliser un antiseptique/ fongicide léger pour éviter la moisissure.

La période d'incubation est variable mais dure généralement entre sept et dix jours et les alevins sont capables d'accepter les nauplies d'Artemia quelques heures après l'éclosion.
Il peut être nécessaire de séparer les jeunes poissons au fur et à mesure de leur croissance, car les individus plus gros mangeront leurs petits frères et sœurs.
De petites proies vivantes sont alors la seule nourriture acceptée.
Commentaires
Etymologie : Xenentodon du grec ancien ξένος 'xénos) "étranger, hôte" et ὀδούς (odoús) "dents", en référence à la plaque pharyngienne inférieure, et cancila qui semble dériver d'un nom vernaculaire local non-identifié, désignant ce poisson.

Utilisation traditionnelle, scientifique et/ou commerciale :
Xenentodon cancila est utilisé dans la pêche commerciale et par les pêcheurs de subsistance.
Au Sri Lanka, il est exporté en petites quantités pour le commerce international des aquariums (Gunasekara 2011).
Références
GBIF, IUCN,
Fishbase, Seriously fish
- Bano, Z., S. Manohar, R. Chauhan, N. A. Bhat and T. A. Qureshi, "Annual Changes in the Ovary of Xenentodon cancila (Ham.)." in International Journal of Environmental Sciences 2(3): 1239-1245 (2012)
- Collette, B. B., "Family Belonidae Bonaparte 1832 - needlefishes." in California Academy of Sciences Annotated Checklists of Fishes No. 16: 1-22 (2003)
- De Silva, M., Hapuarachchi, N. and Jayaratne, T. 2015. Sri Lankan Freshwater Fishes. Wildlife Conservation Society - Galle.
- Dey, SC, de Alwis Goonatilake, S., Fernado, M. & Kotagama, O. "Xenentodon cancila". Liste rouge des espèces menacées de l'UICN 2019
- Fang, F. and S. O. Kullander , "Devario xyrops, a new species of danionine fish from south-western Myanmar (Teleostei: Cyprinidae)." in Zootaxa 2164: 33-40 (2009)
- Gunasekara, S. "Export Trade of Indigenous Freshwater Fishes of Sri Lanka". (2011)
- Hamilton, F., "An account of the fishes found in the river Ganges and its branches." Edinburgh & London: i-vii + 1-405 (1822)
- Lovejoy, N. R. and B. B. Collette, "Phylogenetic Relationships of New World Needlefishes (Teleostei: Belonidae) and the Biogeography of Transitions between Marine and Freshwater Habitats." in Copeia 2001(2): 324-338 (2001)
- Lovejoy, N. M., M. Iranpour and B. B. Collette, "Phylogeny and Jaw Ontogeny of Beloniform Fishes." in Integrative and Comparative Biology 44(5): 366-377 (2004)
- Mundy, B.C., 2005. Checklist of the fishes of the Hawaiian Archipelago. Bishop Mus. Bull. Zool. (6):1-704.
- Pethiyagoda, R. 1991. Freshwater Fishes of Sri Lanka. The Wildlife Heritage Trust of Sri Lanka, Colombo.
- Rainboth, W. J., "Fishes of the Cambodian Mekong. FAO Species Identification Field Guide for Fishery Purposes." FAO, Rome: 1-265 (1996)
- Riede, K., 2004. Global register of migratory species - from global to regional scales. Final Report of the R&D-Projekt 808 05 081. Federal Agency for Nature Conservation, Bonn, Germany.
- Roberts, T. R., "The freshwater fishes of Western Borneo (Kalimantan Barat, Indonesia)." Memoirs of the California Academy of Sciences 14: i-xii + 1-210 (1989)
- Smith, H. M.,"The Fresh-Water Fishes of Siam, Or Thailand." in Bulletin of the United States National Museum 188: i-xi + 1-622 (1945)
- Talwar, P.K. and A.G. Jhingran, 1991. Inland fishes of India and adjacent countries. Volume 2. A.A. Balkema, Rotterdam
- Yamamoto, M.N. and A.W. Tagawa, 2000. Hawai'i's native and exotic freshwater animals. Mutual Publishing, Honolulu, Hawaii.

Vidéo biotope : https://www.youtube.com/watch?v=JWVjFVp4hm0 (à 13mn)

Pour citer cette fiche :"Xenentodon cancila Hamilton, 1822" B-Aqua / TE, GP (2021-24)


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