Corydoras de Costa
Il est désormais dans le genre Brochis

Des informations manquantes, des précisions à apporter? N'hésitez pas à devenir membre de B-Aqua et participer à la rédaction de la base de données!
Taxinomie
Descripteur : Ottoni, Barbosa, Katz, 2016
Classe: Actinopterygii
Ordre: Siluriformes
Famille:  Callichthyidae
Genre:  Corydoras
Synonymes
Brochis costai (2024)
Noms Communs
Corydoras de Costa
Membres du genre Corydoras
Corydoras pygmaeus (Knaack, 1966)
Corydoras treitlii (Steindachner, 1906)
Corydoras xinguensis (Nijssen, 1972)
Corydoras granti (Tencatt, Lima & Britto, 2019)
Corydoras serratus (Sands, 1995)
Corydoras surinamensis (Nijssen, 1970)
Corydoras acrensis (Nijssen, 1972)
Corydoras acutus (Cope, 1872)
Corydoras adolfoi (Burgess, 1982)
Corydoras aeneus (Gill, 1858)
Corydoras agassizii (Steindachner, 1876)
Corydoras albolineatus (Knaack, 2004)
Corydoras amandajanea (Sands, 1995)
Corydoras amapaensis (Nijssen, 1972)
Corydoras ambiacus (Cope, 1872)
Corydoras approuaguensis (Nijssen & Isbrücker, 1983)
Corydoras arcuatus (Elwin, 1939)
Corydoras areio (Knaack, 2000)
Corydoras armatus (Günther, 1868)
Corydoras baderi (Geisler, 1969)
Corydoras atropersonatus (Weitzman & Nijssen, 1970)
Corydoras aurofrenatus (Eigenmann & Kennedy, 1903)
Corydoras axelrodi (Rössel, 1962)
Corydoras bicolor (Nijssen & Isbrücker, 1967)
25 premiers résultats seulement

Origine géographique
Aire d'origine : Amérique du sud
Brésil
Le Corydoras costai n'est connu que de sa localité type, un marécage de plaine inondable dans le cours supérieur de la rivière Rás (affluent de la rivière São Francisco), État de Bahia, Brésil.

La localité type se trouve à 3 km à l'est de Guanambi, à une altitude de 522 m au-dessus du niveau de la mer.

Une étude ichtyologique supplémentaire dans la rivière Rás sera nécessaire pour estimer avec précision l'étendue de l'occurrence.
Environnement
Paramètres
Milieu
Douce
Il occupe les marais saisonniers adjacents au cours supérieur de la rivière Rás dans la Caatinga brésilienne.
Ce qui sous-entend qu'il occupe aussi le cours principal du Rio Rás durant le reste de l'année. (NDLR)
Corydoras costai n'est connu que par sa localité type, une plaine marécageuse située dans le cours supérieur de la rivière Rãs, dans l'État de Bahia, au Brésil.
La taille totale de la population et la tendance de la population sont inconnues. La région entière autour de la localité type est soumise à une déforestation intense associée à l'expansion agricole et à la production bovine, et à un impact sur l'étendue de l'aire de répartition et l'abondance de poissons saisonniers qui occupent un type d'habitat similaire.
Cependant, compte tenu des incertitudes concernant l'étendue de l'aire de répartition, l'état de la population et l'impact direct des menaces existantes sur C. costai, il n'est pas possible d'estimer directement ou indirectement le risque d'extinction de cette espèce. Par conséquent, C. costai est évalué comme "Données insuffisantes", mais reste une priorité élevée pour des recherches supplémentaires susceptibles de qualifier cette espèce dans une catégorie "menacée".
Description
Taille
: 3,5 à 4 cm SL  
: 4 à 4,5 cm SL
Respiration
Autre
Longévité
8 à 10 ans
Régime
Omnivore
Corydoras costai se reconnaît (difficilement) à sa coloration avec les côtés du corps de couleur vert métallique et aux petites taches peu visibles sur le devant de la tête.
La taille corporelle maximale déclarée est de 3,73 cm de longueur standard (SL) (Ottoni et al. 2016).

C. costai partage un motif de couleur unique avec C. garbeiet C. difluviatilis, différant de ces deux espèces en ayant moins de paires de nervures.
Il se distingue de C. garbei en ayant des odontodes présent sur l'opercule infraorbital et la plaque nucale qui n'est pas en contact avec la plaque supraoccipitale.
Il se distingue de C. difluviatilis en ayant cinq grandes taches brun foncé bien délimitées à la base de la nageoire caudale et à la marge postérieure de l'opercule, le long de la jonction de dorsale et des plaques ventrales sur la ligne médiane du corps, avec une région inférieure du cleithrum brun foncé, le premier arc hémal Un arc hémal ou chevron est une série de pièces osseuses en arc situées sur la face inférieure (ventrale) des vertèbres caudales (queue) de certains vertébrés dont la fonction principale est de protéger des parties vitales de la queue, comme les nerfs et les vaisseaux sanguins. (Wikipedia)présent sur la sixième vertèbre libre, moins de vertèbres précaudales, moins de rayons non segmentés sur la nageoire anale, une tête plus courte et une tête plus profonde. Les dentelures sur le bord postérieur des nageoires pectorales attachées à la colonne vertébrale révèlent un caractère polymorphe chez C. costai. La forme et relief de l'oeil caractérise aussi ce poisson.

Certain auteurs le considèrent comme un hybride de C. difluviatilis et de C. garbei, mais les zones géographiques d'occurrences ne se rejoignent pas et de nombreuses différences morphologiques subsistent.

Note : Les corydoras ont la faculté de respirer directement l’air de surface. En effet, ils possèdent un intestin modifié, hautement vascularisé, qui a évolué pour faciliter l'absorption de l'oxygène atmosphérique et aider à la survie dans des environnements privés d'oxygène.
En aquarium, on les voit parfois remonter à la surface pour prendre de l'air.
Attention ! : Pour cette raison, nombreux sont les auteurs qui insistent sur l’inadéquation de l’utilisation de CO2 en aquarium avec les Corydoras spp..

Chez les Corydoras, l'intestin a acquis le rôle d'organe respiratoire accessoire, probablement en réponse à des conditions environnementales défavorables, tout en conservant les caractéristiques morphologiques pour effectuer le processus d'absorption.
"Si la partie crânienne de l'intestin est le site de digestion et d'absorption, puisque sa structure est celle typique de tous les vertébrés, les portions médiane et caudale de l'intestin remplissent la fonction d'un organe respiratoire car leur muqueuse s'amincit, les villosités ne sont pas observées, les bulles de gaz sont présentes et les entérocytes cuboïdes ou squameux sont en contact étroit avec le réseau capillaire, ce qui peut même atteindre la lumière de l'organe. La partie caudale a des caractéristiques morphologiques, telles que l'abondance des mitochondries et la complexité des plis basolatérales, qui seraient associées à l'osmorégulation, la recirculation de l'eau et le transport des ions." (Silvia E. Plaul, Raquel Pastor, Alcira O. Díaz, Claudio G. Barbeito, 2016)

Les Corydoras sont connus pour "cligner des yeux". Le poisson n’a pas de paupière, mais la capacité d’incliner les yeux vers le bas pour examiner le substrat à proximité. Cette particularité donne l’impression à l’observateur, mais ce n'est qu'une illusion, qu’il lui fait un clin d’oeil.
 
Régime Alimentaire
Les Corydoras spp. sont des omnivores opportunistes fouisseurs à qui il faut impérativement fournir un accès à un substrat doux et profond.
Ils acceptent la plupart des aliments séchés qui coulent, ainsi que de petites proies vivantes (ou éventuellement congelées) telles que les lombrics aquatiques, vers de sang, tubifex...
Afin de les maintenir dans de bonnes conditions, il est cependant indispensable de varier leur alimentation et de leur apporter aussi un part végétale sous forme de comprimés, ou de tranches de légumes pochés, lestées pour rester au fond du bac.

Attention ! : En aucun cas il ne faut s'attendre à ce que les corydoras survivent grâce aux "restes" des autres habitants de l'aquarium ou qu'on puisse compter sur eux pour "nettoyer" l’aquarium. Cet argument de vente est un mensonge éhonté.
Dimorphisme
Les femelles ont tendance à devenir plus grandes que les mâles, et les individus sexuellement matures sont sensiblement plus ronds et plus larges, surtout lorsqu'elles sont gravides.
Les mâles possèdent la plupart du temps un motif de couleur plus intense que celui des femelles, avec une plus grande proportion de marques sombres sur le corps et la nageoire dorsale.
Dangerosité
 
 
 Aucun
Les épines raidies de la nageoire pectorale des Corydoras spp. sont capables de percer la peau humaine et une "piqûre" peut être très douloureuse, il faut donc faire attention en les manipulant.
On pense que les sécrétions des glandes axillaires situées à la base de la colonne vertébrale pourraient même être légèrement toxiques ou venimeuses.
Maintenance
Population
10 minimum (20 recommandé)
Zone
Inférieure
Ratio M/F
2 / 1
Paramètres
Température
        22      24              26      28
pH
         5      5,5            7      7,5
GH
         1       2              8       10
Brassage
Aquarium
Volume
80 l minimum
Longueur
100 cm recommandé
Très clairement soumis à d"importantes variations saisonnières de milieu, Corydoras costai doit impérativement connaitre une phase fluviale et une phase palustre, pour son bien être et sa reproduction.
La zone subit d'importantes fluctuations des niveaux de l'eau douce avec des crues qui viennent inonder les plaines. Les variations physico-chimiques de l'eau sont aussi importantes : pH de 5,0 à 7,5, dureté de l'eau toujours assez faible avec GH inf. à 10.

Les Corydoras sont, dans leur très grande majorité, des poissons fréquentant les fleuves et leur affluents. Un aquarium biotope "amazonien fluvial", de forme "rivière" (allongé) permettra de reproduire au mieux leur habitat.
Un substrat constitué de sable fin nu sera indispensable à leur bien-être. Les corydoras sont des fouisseurs actifs muni de fragiles barbillons et un substrat coupant ou abrasif peut leur causer des dommages mortels. Comme ils s’enfoncent profondément dans le substrat, celui ci devra être profond en plus d’être très fin.
Attention ! : Il est particulièrement important que le substrat ne soit pas blessant aussi utilisera-t-on du sable fin ( 50μm à 200 μm), bien qu'un gravier arrondi (200 μm à 2 mm) soit une alternative acceptable à condition qu'il soit maintenu parfaitement propre.
Saisonnièrement, il pourra être complété de débris végétaux (feuilles de chêne ou de hêtre). Une litière de feuilles séchées favorisera l'établissement de colonies de micro-organismes lors de la décomposition. Ces micro-organismes fourniront une source de nourriture secondaire précieuse pour les alevins, tandis que les tanins et autres produits chimiques libérés par les feuilles en décomposition coloreront et acidifieront l’eau, seront bénéfiques à la santé des poissons et aideront à simuler les conditions naturelles.
On évitera cependant la boue absente des milieux fluviaux qu’ils fréquentent.

Les plantes sont rarement nécessaires, mais des branchages peuvent être ajoutés en fond de bac, si la place le permet. La surface de la plage de sable fin doit, dans tous les cas, resté importante. Si vous envisagez la reproduction, des zones de végétations denses permettront cependant aux alevins de survivre à la prédation.
Compte tenu de ces aménagements, le bac devra être d’assez grande taille, plus que la petitesse des poissons ne le laisse supposer en tout cas.

Afin de reproduire le milieu et ses variations saisonnières, la filtration devra être puissante (5 à 10x) et modulable afin de bien différencier les crues de l’étiage.
L’aspiration et le rejet du filtre seront placés afin d’obtenir le flus le plus laminaire possible. Des turbines pourront constituer un complément appréciable si le flux est trop faible, ainsi qu’un venturi pour augmenter l’oxygénation de l’eau.

Les Corydoras sont grégaires et doivent être maintenus en nombre important. Six individus représente un minimum acceptable, mais une douzaine ou plus favorisera les rapports sociaux intra-spécifiques et les rassurera.

Contrairement à une idée reçue, les Corydoras ne sont pas uniquement des poissons de fond et fréquente la mi-eau pour jouer dans le courant et pour se reproduire, et monte fréquemment à la surface pour piper l’air.
Ce sont des poissons très actifs, voire turbulents qui, s’ils sont en confiance, occupent tout l’espace disponible. En cela, ils sont incompatibles avec les poissons territoriaux dans les petits aquariums. Leur vivacité inquiète et perturbe les reproducteurs et nuit à la sérénité de l’aquarium.
Comme toujours en aquariophilie, on veillera à bien choisir les colocataires des corydoras afin de ne pas commettre de bévue.

Variations saisonnières
Attention ! : Les Corydoras fréquentent souvent une large gamme d'habitats dans la nature car ils sont soumis à d'importantes variations saisonnières, souvent accompagnées d’inondations du sous-bois, qui les incitent à explorer un autres environnement que le fleuve.

Dans la plupart des cas, le débit de l’eau augmentent et sa température diminue, accompagnée d’une plus grande oxygénation.
Leur apparente tolérance à des paramètres de l'eau étendus sont donc déterminées par la localité et la saison de collecte.
Il est donc préférable de demander à votre grossiste leur lieu de pêche des poissons convoités s’ils proviennent de prélèvements en milieu naturel, et les conditions d'eau dans laquelle ils ont été maintenu jusqu'à l’achat.

Dans tous les cas on veillera à reproduire au mieux les variations propres à leur milieu. Le respect scrupuleux de ces variations saisonnières favorisera la reproduction, assurera leur bien-être et leur assurera de plus une longévité accrue.

La longévité des Corydoras est assez importante au regard de leur taille et, en aquarium, la plupart peuvent vivre plus de dix ans si les conditions d'accueil sont bonnes.
Le record de longévité du genre est détenu par C. aeneus avec vingt-sept ans.

Attention ! : Les Corydoras, comme tous les poissons sans écailles, supportent très mal les traitements médicaux au sel.

Disponibilité commerciale : Rare

Reproduction
Type
Ovipare
Difficulté
Possible
Paramètres
Température
22 à 26 °C
pH
5,5 à 7
GH
2 à 6 °GH
Très clairement soumis à d"importantes variations saisonnières de milieu, Corydoras costai doit impérativement connaitre une phase fluviale et une phase palustre, pour sa reproduction.

La reproduction de ce corydoras est similaire à celle de la plupart des autres membres du genre. Le frai est déclenché par un changement d’eau et une augmentation du débit simulant une crue saisonnière. L’eau doit être, dans le grande majorité des cas, douce et acide. Dans de nombreux cas, la filtration de l'eau à travers la tourbe est utile, tout comme l'utilisation d’eau osmosée (ou de pluie) afin de diminuer la dureté et le pH.
Beaucoup d'espèces de Corydoras se reproduisent pendant la saison humide qui correspond à l’hiver sous nos latitudes, ce sera donc la saison préférée pour les tentatives de reproduction.
L’alimentation carnée, composée de proies vivantes en abondance participera grandement au déclenchement du frai.
La maturité sexuelle est atteinte durant la première année.

La reproduction peut être obtenue en bac spécifique si l’abondance de proies contrecarre la prédation exercée sur les pontes et les alevins, et que la végétation riveraine permet aux jeunes de s'y soustraire.
Le nombre d’alevins survivants sera néanmoins assez faible.

Pour une reproduction plus conséquente, on privilégiera un bac spécifique dédié au frai. Un ratio de deux mâles par femelle sera alors le meilleur choix.
Lorsque les femelles sont visiblement pleines d’œufs, on peut initier le frai en effectuant un grand changement d'eau (50-70%) avec de l'eau plus fraîche de deux à trois degrés environ, et en augmentant l'oxygénation et le débit dans de l'eau dans l’aquarium.
Cette opération sera répétée quotidiennement jusqu'à ce que les poissons frayent.

Le comportement de frai est caractérisé par une augmentation de l’activité des mâles qui poursuivent assidument les femelles.
La femelle réceptive permettra à un mâle de la caresser avec ses barbillons, prenant une position en T, dans laquelle le mâle saisit les barbillons femelles entre ses nageoires pectorales et le corps. Il libère alors des spermatozoïdes et on pense que cela passe par la bouchent les branchies de la femelle, et dirigé vers ses nageoires pelviennes. La femelle utilise ses nageoires pelviennes pour former un "panier", dans lequel elle dépose les ovules. Trois ou quatre peuvent être expulsés à la fois.
Une fois l'ovule fécondé, la femelle nage jusqu'à un endroit approprié, où elle fixe les œufs très collants. Le couple répète ce processus jusqu'à ce que tous les œufs aient été fécondés et fixés.
En groupe, on voit souvent plusieurs mâles suivant la femelle quand elle va déposer l’oeuf, dans un effort pour être le prochain mâle choisi pour la fertiliser.

La fertilité reste cependant assez faible et les oeufs non fécondés sont assez nombreux. Pour éviter la moisissure on peut introduire dans le bac de ponte des crevettes de type néocaridines qui consomment les oeufs non fécondés et délaissent ceux qui le sont.

Les œufs sont normalement déposés sur les supports durs de l'aquarium, notamment les vitres, mais aussi parmi la végétation à feuilles fines.
On peut aussi prévoir des alternatives sous la forme de vadrouilles de frai, ces dernières étant particulièrement recommandées car elles facilitent le retrait des œufs.

Une fois le frai terminé, les adultes ou les œufs doivent être retirés du bac de frai.
Les oeufs déposés sur le verre peuvent être généralement roulé doucement avec un doigt et décollés. Les vadrouilles sont retirées.

L'aquarium d'accueil doit contenir la même eau que le bac de frai, avec les même paramètres, et être également bien oxygéné.
La plupart des éleveurs ajoutent quelques gouttes de bleu de méthylène, ou un ou deux cônes d'aulne à ce stade afin d'éviter que les œufs ne moisissent.
Il est aussi recommandé de disposer une fine couche de sable au fond du bac.
Les alevins semblent plus sains et moins sensibles aux maladies lorsqu'ils sont maintenus ainsi plutôt que sur un sol nu.

L'incubation dure normalement trois à quatre jours et une fois que les alevins ont entièrement absorbé leur sac vitellin, on peut commencer à nourrir un peu (afin de ne pas trop polluer) avec des infusoires, mais ils sont rapidement capables d'accepter de petits aliments vivants tels que les micro vers, nauplies d’artémias…
Les alevins de Corydoras ne sont pas parmi les plus faciles à élever, car ils nécessitent une eau d'excellente qualité et la filtration doit être efficace sans être turbulente. Un filtre interne équipé d'un système venturi et de mousse fine, permet une filtration simple et silencieuse sans aspirer les alevins encore fragiles.

Attention ! : Les Corydoras sont susceptibles de s'hybrider et on veillera impérativement à ne pas mélanger les espèces afin de l'éviter.
Commentaires
Etymologie : Corydoras, du grec ancien κόρυς (korus), qui signifie "casque", et δορά (dora), qui signifie "peau (de bête)", en référence aux rangées de plaques osseuses sur les flancs des membres du genre, et costai "de Costa" en l'honneur de l'ichthyologiste Wilson Costa, qui a identifié ce poisson comme une nouvelle espèce, en 1999.
Références
GBIF, IUCN,
Fishbase, Seriously Fish, Scotcat,
- Alexandrou, Markos & Taylor, Martin. "Evolution, ecology and taxonomy of the Corydoradinae revisited." (2011)
- Burgess, W.E., "Colored atlas of miniature catfish. Every species of Corydoras, Brochis and Aspidoras." T.F.H. Publications, Inc., USA. (1992)
- Costa, W.J.E.M., Amorim, P.F. and Mattos, K.L.O. "Species delimitation in the annual killifishes of the Brazilian Caatinga, Hypsolebias flavicaudatus complex (Cyprinodontiformes: Rivuliae): implications for taxonomy and conservation". in Systematics and Biodiversity 10(1): 71-91 (2012)
- Fuller, I.A.M. & Evers, H.G. Identifying Corydoradinae Catfish (2005)
- Instrução Normativa Interministerial N° 001, dated January 3, 2012. Establish standards, standards and criteria for the exploitation of natural or exotic species of continental water for ornamental or aquarium purposes. Official Journal of the Union. Brazil. (2012).
- Lyon, T.J. Corydoras costai". Liste rouge de l'UICN des espèces menacées 2021
- Müller, J.: et al., . Air breathing among fishes: an updated and annotated checklist. (2022)
- Ottoni, F. P.; Barbosa, M. A.; Katz, A. M. (2016). A new Corydoras from floodplain swamps of the São Francisco river basin, northeastern Brazil. Spixiana (München). 39 (1): 131-140.
- Reis, R.E., "Callichthyidae (Armored catfishes)". In R.E. Reis, S.O. Kullander and C.J. Ferraris, Jr. (eds.) "Checklist of the Freshwater Fishes of South and Central America". Porto Alegre: EDIPUCRS, Brasil. (2003)
- Silva, AT, Chagas, RJ, Santos, AC de A., Zanata, AM, Rodrigues, BK, Polaz, CNM, Alves, CBM, Vieira, CS, Souza, FB, Vieira, F., Sampaio, FAC, Ferreira, H., Alves, HSR, Sarmento-Soares, LM, Pinho, M., Martins-Pinheiro, RF, Lima, SMQ, Campiolo, S. and Camelier, P. "Freshwater fish of the State of Bahia , northeastern Brazil." in Biota Neotropica 20(4): 1-21 (2020)
-Dias, A. C., Tencatt, L. F., Roxo, F. F., Silva, G. D. S. D. C., Santos, S. A., Britto, M. R., … & Oliveira, C. (2024). Phylogenomic analyses in the complex Neotropical subfamily Corydoradinae (Siluriformes: Callichthyidae) with a new classification based on morphological and molecular data. Zoological Journal of the Linnean Society, zlae053.

Pour citer cette fiche :"Corydoras costai, Ottoni, Barbosa, Katz, 2016" B-Aqua / TE, GP (2021-24)


Généré par www.b-aqua.com - Base de données aquariophile participative