Bien qu'il ne s'agisse pas d'aquariophilie, mais finalement, rien ne ressemble plus à un potager (très humide), qu'un aquarium planté, je vais tenter de répondre.
Amender durablement un sol profondément argileux demande de la patience.
L'apport de sable est efficace, mais peu durable. L'apport d'humus actif en revanche, permet de restructurer durablement le sol.
Seulement voilà, la quantité efficace de matière organique est colossale dans un sol compact, donc forcément onéreux.
Comme en aquariophilie, tout dépend de la configuration technique, de la plantation...
On ne raisonne pas de la même façon sur un potager décaissé de quelques mètres carrés et sur une parcelle d'un demi hectare.
On ne procède pas pareil avec une production potagère de loisir ou de subsistance.
On ne pratique pas de la même manière à la campagne ou en ville, en zone résidentielle réglementée ou en maison individuelle avec jardin.
Dans le meilleur des cas (maison individuelle sans contrainte particulière), le compost grossier essentiellement végétal sera la solution, avec un apport périodique de fumier animal, associé à un bêchage judicieux et à la pratique de la permaculture, l'emploi du BRF, ou autres broyâts frais ou sec... sur plusieurs années.
J'ai été clair ?

Sonchamp, dans les Yvelines... c'est une terre agricole et forestière, non ?
Tu es proche de la Rémarde.?