Corydoras du Sipaliwini
Actuellement genre Hoplisoma

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Taxinomie
Descripteur : Hoedeman, 1965
Classe: Actinopterygii
Ordre: Siluriformes
Famille:  Callichthyidae
Genre:  Corydoras
Synonymes
Corydoras punctatus subsp. sipaliwini Hoedeman, 1965
Hoplisoma sipaliwini (2024)
Noms Communs
Corydoras du Sipaliwini
C. punctatus sipaliwini
CW114
Nail cory (en)
Membres du genre Corydoras
Corydoras pygmaeus (Knaack, 1966)
Corydoras treitlii (Steindachner, 1906)
Corydoras xinguensis (Nijssen, 1972)
Corydoras granti (Tencatt, Lima & Britto, 2019)
Corydoras serratus (Sands, 1995)
Corydoras surinamensis (Nijssen, 1970)
Corydoras acrensis (Nijssen, 1972)
Corydoras acutus (Cope, 1872)
Corydoras adolfoi (Burgess, 1982)
Corydoras aeneus (Gill, 1858)
Corydoras agassizii (Steindachner, 1876)
Corydoras albolineatus (Knaack, 2004)
Corydoras amandajanea (Sands, 1995)
Corydoras amapaensis (Nijssen, 1972)
Corydoras ambiacus (Cope, 1872)
Corydoras approuaguensis (Nijssen & Isbrücker, 1983)
Corydoras arcuatus (Elwin, 1939)
Corydoras areio (Knaack, 2000)
Corydoras armatus (Günther, 1868)
Corydoras baderi (Geisler, 1969)
Corydoras atropersonatus (Weitzman & Nijssen, 1970)
Corydoras aurofrenatus (Eigenmann & Kennedy, 1903)
Corydoras axelrodi (Rössel, 1962)
Corydoras bicolor (Nijssen & Isbrücker, 1967)
25 premiers résultats seulement

Origine géographique
Aire d'origine : Amérique du sud
Guyana, Guyane, Suriname
Corydoras sipaliwini est actuellement connu dans les bassins des rivières Sipaliwini à Paru Savannah dans le district Nickerie, et Maroni au Suriname, et dans quelques mentions dans les bassins fluviaux côtiers de Guyane (Hoedeman 1965; Le Bail et al . 2000, 2012; Mol et al . 2012), dans le bassin supérieur de la rivière Essequibo en Guyane, et certains bassins versants du bassin inférieur du fleuve Tacutu, à la frontière entre la Guyane et le Brésil. Il est plausible de supposer que l’espèce puisse également être présente dans d’autres localités au sein de l’aire de répartition actuellement connue.
Environnement
Paramètres
Milieu
Douce
Comme les autres espèces typiques à museau court de cette lignée de Corydoras sensu Alexandrou et al. (2011), C. sipaliwini habite potentiellement à la fois les petits ruisseaux et les principaux chenaux fluviaux.
Il vit également dans les zones marécageuses et les lacs-lagunes.

Très peu d'informations semblent être publiées sur ce poisson en particulier, mais si l'on suppose que les conditions indigènes sont similaires à celles des autres espèces de Corydoras de la région, il provient de zones à faible débit de la rivière et d'eaux assez douces et acides.
Corydoras sipaliwini est connue de Guyane, du Suriname et peut-être du Brésil. Il est plausible de supposer que l’espèce puisse également être présente dans d’autres localités au sein de l’aire de répartition actuellement connue.
La tendance de la population est inconnue mais, étant donné que l’espèce reste courante dans le commerce des aquariums, nous suggérons qu’il n’y ait, à l’heure actuelle, aucune diminution observée de sa population.
Compte tenu de ce qui précède et du fait qu’il n’existe aucune menace connue pour l’espèce dans son ensemble, C. sipaliwini est classée dans la catégorie "Préoccupation mineure" (LC).
Description
Taille
: 4 à 4,5 cm SL  
: 4,5 à 5 cm SL
Respiration
Autre
Longévité
8 à 10 ans
Régime
Omnivore
La couleur de base du corps est un bronze clair et toutes les marques sont noires. Les marques varient d'un poisson à l'autre, mais toutes ont des traits communs. Les taches et les marbrures sur la tête se transforment en taches allongées sur la moitié supérieure du corps qui suivent les coutures des plaques de blindage. Il y a une bande noire qui commence vers le milieu du corps derrière les nageoires pectorales et continue jusqu'à la queue. Il y a également des rayures verticales sommaires sur la queue. À l'exception du ou des deux premiers rayons de la nageoire dorsale, le reste des nageoires est clair.

Corydoras sipaliwini a été décrit comme une sous-espèce de Corydoras punctatus sur la base de l'analyse de six spécimens de syntype. Sa reconnaissance en tant qu'espèce et la désignation d'un lectotype ont eu lieu après trente-cinq ans, avec Isbrücker (2000), qui a considéré deux des paralectotypes comme liés au Corydoras baderi et un autre comme un hybride entre C. sipaliwini et C. baderi.
C. sipaliwini a été trouvé comme membre de la lignée 9 dans Alexandrou et al . (2011) , qui est la lignée de l'espèce typique à museau court.
L'espèce se caractérise par une bande longitudinale sombre le long de la ligne médiane du flanc, des taches sombres sur le corps, plus évidentes sur la tête et les plaques dorsolatérales du corps, une tache sombre allongée partant de la partie antérieure de la base de la nageoire dorsale descendant vers la marge postéro-dorsale de l'orbite, et partie antérieure de la nageoire dorsale noircie.

Il y a quatre espèces très similaires, C. bondi (C031), Corydoras sp. CW114, C. copenamensis et C. sipaliwini toutes originaires du plateau guyanais.

Étroitement apparenté à C. bondi qui est un peu plus foncé avec des taches plus petites sur le corps. CW114 s'est avéré être une variété colorée de C. sipaliwini .

Lignée : Placée dans la lignée 9, l'espèce "à museau court" avec l'espèce type désignée : Corydoras punctatus. Une révision et une description dans le futur constitueraient la résurrection du nom de genre Hoplosopma (Agassiz, 1846).

Note : Les corydoras ont la faculté de respirer directement l’air de surface. En effet, ils possèdent un intestin modifié, hautement vascularisé, qui a évolué pour faciliter l'absorption de l'oxygène atmosphérique et aider à la survie dans des environnements privés d'oxygène.
En aquarium, on les voit parfois remonter à la surface pour prendre de l'air.
Attention ! : Pour cette raison, nombreux sont les auteurs qui insistent sur l’inadéquation de l’utilisation de CO2 en aquarium avec les Corydoras spp..

Chez les Corydoras, l'intestin a acquis le rôle d'organe respiratoire accessoire, probablement en réponse à des conditions environnementales défavorables, tout en conservant les caractéristiques morphologiques pour effectuer le processus d'absorption.
"Si la partie crânienne de l'intestin est le site de digestion et d'absorption, puisque sa structure est celle typique de tous les vertébrés, les portions médiane et caudale de l'intestin remplissent la fonction d'un organe respiratoire car leur muqueuse s'amincit, les villosités ne sont pas observées, les bulles de gaz sont présentes et les entérocytes cuboïdes ou squameux sont en contact étroit avec le réseau capillaire, ce qui peut même atteindre la lumière de l'organe. La partie caudale a des caractéristiques morphologiques, telles que l'abondance des mitochondries et la complexité des plis basolatérales, qui seraient associées à l'osmorégulation, la recirculation de l'eau et le transport des ions." (Silvia E. Plaul, Raquel Pastor, Alcira O. Díaz, Claudio G. Barbeito, 2016)

Les Corydoras sont connus pour "cligner des yeux". Le poisson n’a pas de paupière, mais la capacité d’incliner les yeux vers le bas pour examiner le substrat à proximité. Cette particularité donne l’impression à l’observateur, mais ce n'est qu'une illusion, qu’il lui fait un clin d’oeil.
 
Régime Alimentaire
Les Corydoras spp. sont des omnivores opportunistes fouisseurs à qui il faut impérativement fournir un accès à un substrat doux et profond.
Ils acceptent la plupart des aliments séchés qui coulent, ainsi que de petites proies vivantes (ou éventuellement congelées) telles que les lombrics aquatiques, vers de sang, tubifex...
Afin de les maintenir dans de bonnes conditions, il est cependant indispensable de varier leur alimentation et de leur apporter aussi un part végétale sous forme de comprimés, ou de tranches de légumes pochés, lestées pour rester au fond du bac.

Attention ! : En aucun cas il ne faut s'attendre à ce que les corydoras survivent grâce aux "restes" des autres habitants de l'aquarium ou qu'on puisse compter sur eux pour "nettoyer" l’aquarium. Cet argument de vente est un mensonge éhonté.
Dimorphisme
Les femelles ont tendance à devenir plus grandes que les mâles, et les individus sexuellement matures sont sensiblement plus ronds et plus larges, surtout lorsqu'elles sont gravides.
Les mâles possèdent la plupart du temps un motif de couleur plus intense que celui des femelles, avec une plus grande proportion de marques sombres sur le corps et la nageoire dorsale.
Dangerosité
 
 
 Aucun
Les épines raidies de la nageoire pectorale des Corydoras spp. sont capables de percer la peau humaine et une "piqûre" peut être très douloureuse, il faut donc faire attention en les manipulant.
On pense que les sécrétions des glandes axillaires situées à la base de la colonne vertébrale pourraient même être légèrement toxiques ou venimeuses.
Maintenance
Population
6 minimum (12 recommandé)
Zone
Inférieure
Ratio M/F
2 / 1
Paramètres
Température
        21      22              25      26
pH
         5,5      6            6,5      7
GH
         1       2              8       12
Brassage
Aquarium
Volume
80 l minimum
Longueur
100 cm recommandé
Les Corydoras sont, dans leur très grande majorité, des poissons fréquentant les fleuves et leur affluents. Un aquarium biotope "amazonien fluvial", de forme "rivière" (allongé) permettra de reproduire au mieux leur habitat.
Un substrat constitué de sable fin nu sera indispensable à leur bien-être. Les corydoras sont des fouisseurs actifs muni de fragiles barbillons et un substrat coupant ou abrasif peut leur causer des dommages mortels. Comme ils s’enfoncent profondément dans le substrat, celui ci devra être profond en plus d’être très fin.
Attention ! : Il est particulièrement important que le substrat ne soit pas blessant aussi utilisera-t-on du sable fin ( 50μm à 200 μm), bien qu'un gravier arrondi (200 μm à 2 mm) soit une alternative acceptable à condition qu'il soit maintenu parfaitement propre.
Saisonnièrement, il pourra être complété de débris végétaux (feuilles de chêne ou de hêtre). Une litière de feuilles séchées favorisera l'établissement de colonies de micro-organismes lors de la décomposition. Ces micro-organismes fourniront une source de nourriture secondaire précieuse pour les alevins, tandis que les tanins et autres produits chimiques libérés par les feuilles en décomposition coloreront et acidifieront l’eau, seront bénéfiques à la santé des poissons et aideront à simuler les conditions naturelles.
On évitera cependant la boue absente des milieux fluviaux qu’ils fréquentent.


Les plantes sont rarement nécessaires, mais des branchages peuvent être ajoutés en fond de bac, si la place le permet. La surface de la plage de sable fin doit, dans tous les cas, resté importante. Si vous envisagez la reproduction, des zones de végétations denses permettront cependant aux alevins de survivre à la prédation.
Compte tenu de ces aménagements, le bac devra être d’assez grande taille, plus que la petitesse des poissons ne le laisse supposer en tout cas.

Afin de reproduire le milieu et ses variations saisonnières, la filtration devra être puissante (5 à 10x) et modulable afin de bien différencier les crues de l’étiage.
L’aspiration et le rejet du filtre seront placés afin d’obtenir le flus le plus laminaire possible. Des turbines pourront constituer un complément appréciable si le flux est trop faible, ainsi qu’un venturi pour augmenter l’oxygénation de l’eau.

Les Corydoras sont grégaires et doivent être maintenus en nombre important. Six individus représente un minimum acceptable, mais une douzaine ou plus favorisera les rapports sociaux intra-spécifiques et les rassurera.

Contrairement à une idée reçue, les Corydoras ne sont pas uniquement des poissons de fond et fréquente la mi-eau pour jouer dans le courant et pour se reproduire, et monte fréquemment à la surface pour piper l’air.
Ce sont des poissons très actifs, voire turbulents qui, s’ils sont en confiance, occupent tout l’espace disponible. En cela, ils sont incompatibles avec les poissons territoriaux dans les petits aquariums. Leur vivacité inquiète et perturbe les reproducteurs et nuit à la sérénité de l’aquarium.
Comme toujours en aquariophilie, on veillera à bien choisir les colocataires des corydoras afin de ne pas commettre de bévue.

Variations saisonnières
Attention ! : Les Corydoras fréquentent souvent une large gamme d'habitats dans la nature car ils sont soumis à d'importantes variations saisonnières, souvent accompagnées d’inondations du sous-bois, qui les incitent à explorer un autres environnement que le fleuve.

Dans la plupart des cas, le débit de l’eau augmentent et sa température diminue, accompagnée d’une plus grande oxygénation.
Leur apparente tolérance à des paramètres de l'eau étendus sont donc déterminées par la localité et la saison de collecte.
Il est donc préférable de demander à votre grossiste leur lieu de pêche des poissons convoités s’ils proviennent de prélèvements en milieu naturel, et les conditions d'eau dans laquelle ils ont été maintenu jusqu'à l’achat.

Dans tous les cas on veillera à reproduire au mieux les variations propres à leur milieu. Le respect scrupuleux de ces variations saisonnières favorisera la reproduction, assurera leur bien-être et leur assurera de plus une longévité accrue.

La longévité des Corydoras est assez importante au regard de leur taille et, en aquarium, la plupart peuvent vivre plus de dix ans si les conditions d'accueil sont bonnes.
Le record de longévité du genre est détenu par C. aeneus avec vingt-sept ans.

Attention ! : Les Corydoras, comme tous les poissons sans écailles, supportent très mal les traitements médicaux au sel.

Disponibilité commerciale : Commun

C. sipaliwini est très populaire et commun dans le commerce des aquariums (LFC Tencatt, obs. pers. 2021).
Reproduction
Type
Ovipare
Difficulté
Possible
Paramètres
Température
21 à 24 °C
pH
5,5 à 6,5
GH
1 à 4 °GH
D'après Don Kinyon (PVAS 2024), il est important d'assurer une dureté négligeable et un pH inférieur à 6.

La reproduction de ce corydoras est similaire à celle de la plupart des autres membres du genre. Le frai est déclenché par un changement d’eau et une augmentation du débit simulant une crue saisonnière. L’eau doit être, dans le grande majorité des cas, douce et acide. Dans de nombreux cas, la filtration de l'eau à travers la tourbe est utile, tout comme l'utilisation d’eau osmosée (ou de pluie) afin de diminuer la dureté et le pH.
Beaucoup d'espèces de Corydoras se reproduisent pendant la saison humide qui correspond à l’hiver sous nos latitudes, ce sera donc la saison préférée pour les tentatives de reproduction.
L’alimentation carnée, composée de proies vivantes en abondance participera grandement au déclenchement du frai.
La maturité sexuelle est atteinte durant la première année.

La reproduction peut être obtenue en bac spécifique si l’abondance de proies contrecarre la prédation exercée sur les pontes et les alevins, et que la végétation riveraine permet aux jeunes de s'y soustraire.
Le nombre d’alevins survivants sera néanmoins assez faible.

Pour une reproduction plus conséquente, on privilégiera un bac spécifique dédié au frai. Un ratio de deux mâles par femelle sera alors le meilleur choix.
Lorsque les femelles sont visiblement pleines d’œufs, on peut initier le frai en effectuant un grand changement d'eau (50-70%) avec de l'eau plus fraîche de deux à trois degrés environ, et en augmentant l'oxygénation et le débit dans de l'eau dans l’aquarium.
Cette opération sera répétée quotidiennement jusqu'à ce que les poissons frayent.

Le comportement de frai est caractérisé par une augmentation de l’activité des mâles qui poursuivent assidument les femelles.
La femelle réceptive permettra à un mâle de la caresser avec ses barbillons, prenant une position en T, dans laquelle le mâle saisit les barbillons femelles entre ses nageoires pectorales et le corps. Il libère alors des spermatozoïdes et on pense que cela passe par la bouchent les branchies de la femelle, et dirigé vers ses nageoires pelviennes. La femelle utilise ses nageoires pelviennes pour former un "panier", dans lequel elle dépose les ovules. Trois ou quatre peuvent être expulsés à la fois.
Une fois l'ovule fécondé, la femelle nage jusqu'à un endroit approprié, où elle fixe les œufs très collants. Le couple répète ce processus jusqu'à ce que tous les œufs aient été fécondés et fixés.
En groupe, on voit souvent plusieurs mâles suivant la femelle quand elle va déposer l’oeuf, dans un effort pour être le prochain mâle choisi pour la fertiliser.

La fertilité reste cependant assez faible et les oeufs non fécondés sont assez nombreux. Pour éviter la moisissure on peut introduire dans le bac de ponte des crevettes de type néocaridines qui consomment les oeufs non fécondés et délaissent ceux qui le sont.

Les œufs sont normalement déposés sur les supports durs de l'aquarium, notamment les vitres, mais aussi parmi la végétation à feuilles fines.
On peut aussi prévoir des alternatives sous la forme de vadrouilles de frai, ces dernières étant particulièrement recommandées car elles facilitent le retrait des œufs.

Une fois le frai terminé, les adultes ou les œufs doivent être retirés du bac de frai.
Les oeufs déposés sur le verre peuvent être généralement roulé doucement avec un doigt et décollés. Les vadrouilles sont retirées.

L'aquarium d'accueil doit contenir la même eau que le bac de frai, avec les même paramètres, et être également bien oxygéné.
La plupart des éleveurs ajoutent quelques gouttes de bleu de méthylène, ou un ou deux cônes d'aulne à ce stade afin d'éviter que les œufs ne moisissent.
Il est aussi recommandé de disposer une fine couche de sable au fond du bac.
Les alevins semblent plus sains et moins sensibles aux maladies lorsqu'ils sont maintenus ainsi plutôt que sur un sol nu.

L'incubation dure normalement trois à quatre jours et une fois que les alevins ont entièrement absorbé leur sac vitellin, on peut commencer à nourrir un peu (afin de ne pas trop polluer) avec des infusoires, mais ils sont rapidement capables d'accepter de petits aliments vivants tels que les micro vers, nauplies d’artémias…
Les alevins de Corydoras ne sont pas parmi les plus faciles à élever, car ils nécessitent une eau d'excellente qualité et la filtration doit être efficace sans être turbulente. Un filtre interne équipé d'un système venturi et de mousse fine, permet une filtration simple et silencieuse sans aspirer les alevins encore fragiles.

Attention ! : Les Corydoras sont susceptibles de s'hybrider et on veillera impérativement à ne pas mélanger les espèces afin de l'éviter.
Commentaires
Étymologie : Corydoras, du grec ancien κόρυς (korus), qui signifie "casque", et δορά (dora), qui signifie "peau (de bête)", en référence aux rangées de plaques osseuses sur les flancs des membres du genre, et sipaliwini, d'après la rivière Sipaliwini au Suriname, où l'espèce a été trouvée, principale affluent de la rivière Courantyne qui donne son nom au village de Sipaliwini Savanna et au district de Sipaliwini.
Références
GBIF, IUCN,
Fishbase, Seriously Fish, Scotcat,
- Alexandrou, Markos & Taylor, Martin. "Evolution, ecology and taxonomy of the Corydoradinae revisited." (2011)
- Alexandrou, M.A., Oliveira, C., Maillard, M., McGill, RA, Newton, J., Creer, S. and Taylor, M.I. "Competition and phylogeny determining community structure in Müllerian co-mimics". in Nature 469(7328): 84-88.(2011)
- Britto, M.R. "Callichthyidae". in L.J. de Queiroz, G. Torrente-Vilara, W.M. Ohara, THS Pires, J. Zuanon et C.R.C. Doria (éd.), Peixes do Rio Madeira, Volume II. Y Cuyari Pirá-Ketá , pp. 180-195. Documentaire latino-américain Dialeto, Santo Antonio Energia São Paulo. (2013)
- Burgess, W.E., "Colored atlas of miniature catfish. Every species of Corydoras, Brochis and Aspidoras." T.F.H. Publications, Inc., USA. (1992)
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- Fuller, I. and Evers, H.-G. "Corydoradine catfish identification. Aspidoras-Brochis-Corydoras-Scleromystax and C numbers". Ian Fuller Enterprises, Worcestershire. (2005)
- Hoedeman, J.J. "Hoedeman, J. J. (1965). Elseviers pocketboek voor de aquariumliefhebber. Elsevierpockets. A 108, Elsevier, Amsterdam/Brussel. 1-176 (1965).
- Instrução Normativa Interministerial N° 001, dated January 3, 2012. Establish standards, standards and criteria for the exploitation of natural or exotic species of continental water for ornamental or aquarium purposes. Official Journal of the Union. Brazil. (2012).
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- Kinyon D. "Corydoras CW114" in Potomac Valley Aquarium Society
- Le BaiL, PY, Covain, R., Jégu, M., Fisch-Muller, S., Vigouroux, R., & Keith, P. "Updated checklist of freshwater and estuarine fishes from French Guiana". in Cybium 36(1): 293-319 (2012)
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- Mol, J.H., Vari, R.P., Covain, R., Willink, P. and Fisch-Muller, S. "Annotated checklist of freshwater fishes from Suriname". in Cybium 36(1): 263-292 (2012)
- Müller, J.: et al., . Air breathing among fishes: an updated and annotated checklist. (2022)
- Reis, R.E., "Callichthyidae (Armored catfishes)". In R.E. Reis, S.O. Kullander and C.J. Ferraris, Jr. (eds.) "Checklist of the Freshwater Fishes of South and Central America". Porto Alegre: EDIPUCRS, Brasil. (2003)
- dos Santos, S.A. "Corydoras sipaliwini ". Liste rouge de l'UICN des espèces menacées 2022
- Van der Sleen, P. and Albert, J.S. "Field guide to the fishes of the Amazon, Orinoco and the Guianas". Princeton University Press., Princeton. (2017)
-Dias, A. C., Tencatt, L. F., Roxo, F. F., Silva, G. D. S. D. C., Santos, S. A., Britto, M. R., … & Oliveira, C. (2024). Phylogenomic analyses in the complex Neotropical subfamily Corydoradinae (Siluriformes: Callichthyidae) with a new classification based on morphological and molecular data. Zoological Journal of the Linnean Society, zlae053.

Pour citer cette fiche :"Corydoras sipaliwini Hoedeman, 1965" B-Aqua / TE, GP (2018-24)


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