Oryzias latipes
Fiche crée par :
TheEdge le 31/01/2018 11:51:54

Fiche modifiée par :
Grand Père le 12/07/2025 17:16:57
Grand Père le 12/07/2025 17:06:22
Grand Père le 12/07/2025 17:02:07
Grand Père le 12/07/2025 16:57:05
Grand Père le 12/07/2025 16:50:56    
Poisson de riz
En cours de rédaction :
Le maintien des médakas génétiquement modifiés est illégal en Europe.
L'achat, la vente ou même la simple possession de ces poissons au sein de l'Union européenne est interdite.

Se procurer des poissons d'origine sauvages est possible, mais ils sont devenus très rares dans le commerce.
Attention ! : Le Poisson de riz ne constitue pas un ajout idéal à de nombreuses communautés en raison de ses exigences environnementales. Il doit être élevé seul ou en compagnie d'espèce partageant le même biotope.

Des informations manquantes, des précisions à apporter? N'hésitez pas à devenir membre de B-Aqua et participer à la rédaction de la base de données!
Oryzias latipes
Taxinomie
Descripteur : Temminck et Schlegel, 1846
Classe: Actinopterygii
Ordre: Beloniformes
Famille:  Adrianichthyidae
Genre:  Oryzias
Synonymes
Aplocheilus latipes (Temminck & Schlegel, 1846)
Oryzias latipes subsp. latipes (Temminck & Schlegel, 1846)
Poecilia latipes Temminck & Schlegel, 1846
Noms Communs
Poisson de riz
Médaka
ミナミメダカ
Minamimedaka (jap)
Japanese rice fish (en)
Japanese killifish (en)
Ricefish (en)
Membres du genre Oryzias
Oryzias carnaticus  (Jerdon, 1849)
Oryzias latipes (Temminck et Schlegel, 1846)
Oryzias marmoratus (Aurich, 1935)
Oryzias melastigma (McClelland, 1839)
Oryzias minutillus (Smith, 1945)
Oryzias pectoralis (Roberts, 1998)
Oryzias timorensis (Weber & de Beaufort, 1922)
Oryzias sarasinorum (Popta, 1905)
Oryzias setnai (Kulkarni, 1940)
Oryzias woworae (Parenti & Hadiaty, 2010)
Oryzias profundicola (Kottelat, 1990)
Oryzias javanicus (Bleeker, 1854)
Origine géographique
Aire d'origine : Asie
Japon
Aire actuelle
Chine, Corée, Laos, Taïwan, Vietnam
En cours de rédaction :
Cette espèce est largement répartie dans l'archipel japonais, de l'île de Honshu aux îles Ryukyu, à l'exception de l'île d'Hokkaido (Asai et al. 2012).

Elle est invasive et a colonisé de nombreux pays d'Asie et d'Amérique.

On l'a observé au Laos, au Vietnam, dans une grande partie de l'est de la Chine (y compris les îles de Hainan et de Hong Kong), à Taiwan, dans l'est de la Corée et au Japon, des îles Ryuku au sud jusqu'à Honshu au centre de l'archipel.

Parenti (2008) note que certaines populations précédemment identifiées comme O. latipes de Chine continentale, du Laos et du Vietnam peuvent en fait représenter O. sinensis en fonction de la taille adulte et/ou du positionnement de la première côte pleurale.

Il a été introduit dans plusieurs pays, notamment aux États-Unis, à Cuba, au Kazakhstan, au Turkménistan, en Iran et en Russie (d'où il a envahi le bassin de la mer Noire ).
Environnement
Paramètres
Milieu
Douce, Saumâtre, Mer
En cours de rédaction :
Il vit principalement dans les eaux côtières mais peut s'adapter à de nombreux environnements comme des eaux saumâtres, des mangroves, des ruisseaux... Il est amphidrome et vie donc aussi bien dans les fleuves et zones côtières.

On le trouve dans les étangs, les marais, les rizières et les petits ruisseaux lents des plaines. Il est connu pour sa préférence pour les rizières où la diversité des plans d'eau offre différents habitats. Il fréquente principalement les eaux de plaine et les eaux saumâtres, et fréquente également les mares côtières de certaines régions du Japon, car il est capable de supporter une large gamme de salinité. Il est omnivore.
En cours de rédaction :
Cette espèce est largement répandue au Japon, avec une zone d'occurrence de plus de 755 000 km2.
Elle est considérée comme étant de préoccupation mineure. Cependant, la population a connu un déclin dans certaines parties de son aire de répartition d'origine en raison de la dégradation de son habitat et de l'introduction d'espèces indigènes. Des mesures de conservation sont en cours.

C'était autrefois l'une des espèces de poissons les plus communes et les plus répandues au Japon, mais sa population a récemment fortement diminué en raison de la dégradation de son habitat due à la pollution et à l'introduction d'espèces exotiques envahissantes telles que Gambusia affinis , Micropterus salmoides et Lepomis macrochirus macrochirus (Hosoya 2015). La pollution génétique, notamment l'hybridation avec d'autres races géographiques, progresse (Hosoya 2015).
Description
Taille
: 2,5 à 3,5 cm SL  
: 3 à 4 cm SL
Respiration
Branchiale
Longévité
3 à 4 ans
Régime
Carnivore
En cours de rédaction :
De taille relativement petite, le médaka mesure de trois à quatre centimètres de long, sa couleur varie du brun ou jaune-or à l'état sauvage au blanc, jaune crème ou orange en aquarium.
Les nageoires sont transparentes mais la caudale est légèrement bordée d'ocre. L'iris de l'œil est bleu-ciel.

O. latipes possède une nageoire caudale tronquée , plutôt que lunaire ou émarginée , qui le distingue des congénères O. bonneorum , O. nebulosus , O. nigrimas , O. orthognathus et O. sarasinorum.
Il se distingue en outre de ses congénères par la combinaison de caractères suivante : ossification mésethmoïde échancrée antérieurement chez certains individus ; présence d'organes de contact osseux sur les nageoires pectorales chez les mâles ; 28 à 32 écailles dans la série latérale ; 5 à 7 rayons sur la nageoire dorsale ; 17 à 22 rayons sur la nageoire anale ; 9 à 11 rayons sur la nageoire pectorale ; certaines populations présentant des bandes marginales jaunâtres sur les deux lobes de la nageoire caudale 
Régime Alimentaire
En cours de rédaction :
Le médaka se nourrit principalement de petites proies comme des daphnies, des petits vers, des artémias... en aquarium, il peut accepter la nourriture sèche mais son alimentation devra être complétée par de la nourriture vivante.

Attention ! : Un prédateur a tendance à trop manger si la nourriture est facile à saisir, il faut le nourrir seulement trois fois par semaine afin d'éviter des dommages de croissance, sauf à ne lui fournir que du vivant.
Un prédateur doit impérativement chasser pour son bien-être. Manger à sa faim ne suffit pas, il faut qu'il participe activement à la recherche et à la prise des proies afin d'attiser son instinct. Manger une nourriture morte n'aboutit qu'à une "clochardisation" préjudiciable à sa santé aussi bien mental que physique.
Un ou plusieurs jours de jeûne sont nécessaires à une croissance harmonieuse.
Dimorphisme
En cours de rédaction :
Le mâle se distingue au premier coup d'œil de la femelle par la forme et la taille de sa nageoire anale plus développée.
Le dimorphisme sexuel est plus évident lorsque les poissons sont adultes et en période de reproduction. Les nageoires dorsales et anales sont plus petites et ont une bordure plus régulière chez la femelle.

SF
Les mâles adultes possèdent des rayons allongés et filamenteux dans les nageoires dorsale et anale de forme convexe et des organes de contact osseux sur les rayons de la nageoire pectorale médiane et les rayons postérieurs de la nageoire anale , ces deux derniers étant de forme convexe , et ayant une forme corporelle légèrement plus mince que celle des femelles.

Certaines femelles possèdent des rayons de nageoire pelvienne étendus atteignant presque l'origine de la nageoire anale, et les nageoires dorsale et anale ne sont pas convexes.

La papille génitale chez les mâles forme un tube court tandis que chez les femelles elle est bilobée , et les mâles possèdent également deux ou trois dents postérieures élargies sur le prémaxillaire .
Dangerosité
 
 
 Aucun
Maintenance
Population
6 minimum (12 recommandé)
Zone
Centrale, Supérieure
Ratio M/F
1 / 1
Paramètres
Température
        14      16              22      28
pH
         6,5      7            8      8,5
GH
         8       10              20       30
Brassage
Aquarium
Volume
50 l minimum (100 l recommandé)
En cours de rédaction :
On le trouve généralement dans les eaux côtières, mais il est adaptable* et a été collecté dans une gamme de types d'habitats, des mangroves fortement saumâtres influencées par les marées aux ruisseaux forestiers d'eau douce acides, aux rizières, aux canaux agricoles, aux grands bassins fluviaux et aux bras morts.

*Attention ! : Le médaka fréquente une large gamme d'habitats dans la nature, et est de plus soumis à d'importantes variations saisonnières, d'où son apparente tolérance à des paramètres de l'eau extrêmement divers.
En réalité, ses exigences initiales sont déterminées par la localité et la saison de collecte. Il est donc préférable de demander à votre grossiste le lieu de pêche des poissons convoités et les conditions d'eau dans laquelle ils ont été maintenu jusqu'a l'achat.

Cette espèce tempérée à subtropicale est soumise à des fluctuations saisonnières de température dans la nature et est plus confortable entre 16 et 22 °C .

Une exposition permanente à des conditions chaudes est susceptible d'entraîner une réduction de la durée de vie et, dans de nombreux pays/maisons bien isolées, il est préférable de l'entretenir sans chauffage artificiel toute l'année.

Il est préférable de le maintenir dans un environnement fortement planté, idéalement avec un substrat sombre , des parcelles de végétation dense et quelques zones ouvertes.

D'autres décors peuvent être constitués de racines torsadées et de morceaux de bois des marais , tandis que la végétation de surface est également appréciée par les poissons.

Lorsqu'ils sont maintenus dans de telles conditions, ils sont plus susceptibles d'afficher leurs plus belles couleurs, et les aquariums plantés offrent également aux alevins une meilleure chance de survie aux côtés des adultes.

Essayez d'établir l'origine de vos poissons s'ils sont prélevés dans la nature, car certaines populations se porteront mieux en eau douce tandis que d'autres peuvent nécessiter l'ajout de sel marin .

Il est généralement non agressif envers ses congénères et a tendance à paraître plus efficace et à se comporter avec plus de confiance dans un groupe de six individus ou plus.
Si l'intention est la reproduction, il est évident qu'il devrait idéalement être maintenu seul, et nous ne recommandons pas de le garder avec d'autres Oryzias spp. en raison du potentiel d' hybridation, déjà prouvé dans des expériences en laboratoire.

Disponibilité commerciale : Très rare

En cours de rédaction :
Tachez de connaitre l'origine exacte des poissons convoités pour être sûr qu'ils soient prélevés dans la nature, et car certaines populations se porteront mieux en eau douce tandis que d'autres peuvent nécessiter l'ajout de sel marin.

Le médaka est très populaire en aquarium, mais il est devenu impossible d'en obtenir en Europe suite à une interdiction d'importation des variétés génétiquement modifiées. Il est souvent utilisé comme Espèce-modèle et sujet d'expérimentation en laboratoire.

Cette espèce a connu un déclin dans certaines parties de son aire de répartition naturelle. L'hybridation avec O. sakaizumii et des individus multipliés à des fins ornementales a entraîné le déclin de la population génétiquement pure d' O. latipes (Hosoya 2015).

Attention ! La Commission européenne a jugé l’importation de poissons fluorescents génétiquement modifiés illégal dans l’Union européenne et actuellement, aucun poisson génétiquement modifié n’est autorisé pour la commercialisation en Europe.
Tout importation de poissons génétiquement modifiés à des fins de commercialisation est donc interdit, et toute vente également.
Directive européenne 2001/18/CE.
En effet, aucune évaluation des risques potentiels que peuvent présenter ces poissons pour l’environnement et pour la santé humaine et animale n’a été réalisée.
Ces importations illégales concernent les poissons génétiquement modifiés des espèces suivantes (poissons fluorescents, de couleurs variées): Oryzias latipes et Brachydanio sp ("Zebra gold longfish")/ Danio rerio TK1, TK2 ou TK3
A notre connaissance, ces poissons sont vendus par Taikong Corporation (Taiwan).

Il existe cependant une variété d'élevage, de couleur jaune qui, semble t-il, reste commercialisée. (Cette information demande confirmation car non sourcée)
Reproduction
Type
Ovipare
Difficulté
Courante
Paramètres
Température
22 à 27 °C
pH
6,5 à 7,5
En cours de rédaction :
Il semblerait cependant que si les adultes se contentent d'une température de 22 °C les jeunes croissent mieux à 22-27°C.

Dans un bac garni de mousse de Java, les femelles en période de frai pondent presque tous les jours une quinzaine d'œufs, souvent le matin. Les ovules adhésifs sont généralement expulsés et fécondés simultanément. Elles trainent alors la grappe d'ovules jusqu'à ce qu'ils s'accrochent un par un dans la mousse.
Il suffit ensuite de sortir la mousse pour ramasser les œufs pour les incuber à part.
L'incubation dure entre douze et quinze jours à 21-23°C.

"Parmi les jeunes atteignant la maturité la proportion mâle/femelle est très variable (parfois 90 % d'un sexe)"(C. Cauvet KCF 17), sans doute en fonction des paramètres de maintenance.

Attention ! : La prudence est recommandée lorsque des jeunes poissons de différents âges sont élevés dans un même bac. S'il y a une grande différence de taille entre les générations, les plus grands se régaleront des plus petits.

Il est aussi déconseillé de faire cohabiter Oryzias latipes avec d'autres espèces du genre, en raison de l'hybridation probable.
Commentaires
En cours de rédaction :
Etymologie : Oryzias, du grec ὄρυζα (oryza)"riz", en référence à la tendance de certains membres du genre à habiter les rizières et latipes "aux pieds larges" (nageoires).

Note : Des actions de conservation ont été menées dans de nombreuses régions du Japon, en coopération avec les populations locales et des organisations à but non lucratif. Des plans de conservation ex situ pour l'élevage en captivité existent en vue de futures réintroductions ou renforcements. L'introduction de souches reproduites artificiellement a menacé la conservation de l'espèce (Nakao et al. 2017).

Utilisation traditionnelle, scientifique et/ou commerciale :
Il est populaire dans le commerce de l'aquariophilie, mais aussi comme « poisson bioluminescent » génétiquement modifié (produit d'une protéine fluorescente extraite de méduses et fixée à l'ADN d'embryons de poissons), élevé pour les aquariophiles. Ces poissons sont désormais exportés vers d'autres pays, mais certains pays ont interdit leur importation (en tant qu'individus génétiquement modifiés). Il est consommé dans certaines pêcheries de subsistance. Il est également utilisé en recherche et compte parmi les espèces les plus utilisées en biologie expérimentale des vertébrés depuis plus d'un siècle.

Il existe également sur certains marchés une forme transgéniquement modifiée, "lumineuse", produite à l'origine par l'Université nationale de Taiwan dans le but de faire muter un poisson qui brillerait littéralement de telle manière que des gènes spécifiques seraient plus facilement visibles au microscope.
Ce dernier est désormais disponible en plusieurs couleurs, dont le jaune, le vert, le rouge et le violet, et brille effectivement dans le noir. Les substances à l'origine de cet effet sont des protéines extraites d'une méduse (formes verte et jaune) ou d'une espèce de corail (forme rouge).
À l'heure actuelle, il est illégal de les acheter, de les vendre ou de les posséder au sein de l'Union européenne, bien que plusieurs cas de contrebande aient été recensés, passibles d'une lourde amende. L'entretien des formes dorées et brillantes est essentiellement identique à celui décrit ci-dessus.
Références
GBIF, IUCN,
Fishbase, Seriously fish
https://www.killiclubdefrance.org/killi-fiches/1845-oryzias-latipes.html
- Asai, T, Senou, H. and Hosoya, K. 2012. Oryzias sakaizumii, a new ricefish from northern Japan (Teleostei: Adrianichthyidae). Ichthyological Exploration of Freshwaters 22(4): 289-299.
- Herder, F. and S. Chapuis, "Oryzias hadiatyae, a new species of ricefish (Atherinomorpha: Belonifornes: Adrianichthyidae) endemic to Lake Masapi, Central Sulawesi, Indonesia." in The Raffles Bulletin of Zoology 58(2): 269-280 (2010)
- Hosoya, K. 2015. Oryzias latipes. Threatened Wildlife of Japan Red Data Book 2014; Pisces - Brackish and Fresh Water Fishes, pp. 296-297. Gyosei, Tokyo.
- Iguchi, K. and Kitano, S. 2008. Local specialists among endangered populations of medaka, Oryzias latipes, harboring in fragmented patches. Environmental Biology of Fishes 81: 267-276.
- Magtoon, W., "Oryzias songkhramensis, a new species of ricefish (Beloniformes; Adrianichthyidae) from northeast Thailand and central Laos." in Tropical Natural History 10(1): 107-129 (2010)
- Magtoon, W. and A. Termvidchakorn, "A Revised Taxonomic Account of Ricefish Oryzias (Beloniformes; Adrianichthyidae), in Thailand, Indonesia and Japan." in The Natural History Journal of Chulalongkorn University 9(1): 35-68 (2009)
- Nakao, R., Iguchi, Y., Koyama, N., Nakai, K. and Kitagawa, T. 2017. Current status of genetic disturbances in wild medaka populations (Oryzias latipes species complex) in Japan. Ichthyological Research 64: 116-119.
- Parenti, L. R., "A phylogenetic analysis and taxonomic revision of ricefishes, Oryzias and relatives (Beloniformes, Adrianichthyidae)." in Zoological Journal of the Linnean Society 154(3): 494-610 (2008)
- Parenti, L. R. and B. Soeroto, "Adrianichthys roseni and Oryzias nebulosus, two new ricefishes (Atherinomorpha: Beloniformes: Adrianichthyidae) from Lake Poso, Sulawesi, Indonesia." in Ichthyological Research 51(1): 10-19 (2004)
- Parenti, L. R. and R. K. Hadiaty, "A new, remarkably colorful, small ricefish of the genus Oryzias (Beloniformes, Adrianichthyidae) from Sulawesi, Indonesia." in Copeia 2010 (2): 268-273 (2010)
- Roberts, T. R., "Systematic observations on tropical Asian medakas or ricefishes of the genus Oryzias, with descriptions of four new species." in Ichthyological Research 45(3): 213-224 (1998)
- Rosen, D. E. and L. R. Parenti, "Relationships of Oryzias, and the groups of atherinomorph fishes" in American Museum Novitates 2719: 1–25 (1981)
- Takehana, Y., Nagai, N., Matsuda, M., Tsuchiya, K. and Sakaizumi, M. 2003. Geographic variation and diversity of the cytochrome b gene in Japanese wild populations of medaka, Oryzias latipes. Zoological Science 20(10): 1279-1291.
- Takehana, Y., K. Naruse K and M. Sakaizumi. "Molecular phylogeny of the medaka fishes genus Oryzias (Beloniformes: Adrianichthyidae) based on nuclear and mitochondrial DNA sequences." in Molecular Phylogenetics and Evolution 36(2): 417–428 (2005)
- Uwa, H. and W. Magtoon, "Description and karyotype of a new ricefish, Oryzias mekongensis from Thailand." in Copeia 1986 (2): 473-478 (1986)
- Uwa, H. and L. Parenti., "Morphometric and meristic variation in ricefishes, genus Oryzias: a comparison with cytogenetic data" Japanese Journal of Ichthyology 35(2): 159-166 (1988)

Pour citer cette fiche :"Oryzias latipes, Temminck & Schlegel, 1846" B-Aqua / TE, maeve_, GP (2020-25)