Nénuphar blanc
Le Nénuphar blanc est totalement aquatique, sa souche doit être immergée en permanence, sous une eau stagnante ou dans un courant faible

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Taxinomie
Descripteur : Linnæus, 1753
Classe: Magnoliopsida
Ordre: Nymphaeales
Famille:  Nymphaeaceae
Genre:  Nymphaea
Synonymes
Castalia alba (L.) Greene
Castalia alba (L.) Wood
Castalia biradiata Hayek.
Castalia minoriflora Simonk.
Castalia odorata Greene
Castalia semi-aperta Fritsch
Castalia speciosa Salisb.
Leuconymphaea alba (L.) Kuntze
Nymphaea alba f. alba
Nymphaea alba f. csepelensis Soó
Nymphaea alba f. limosa Soo
Nymphaea alba f. rosea Mela
Nymphaea alba subsp. biradiata (Sommer) Nyman, 1878
Nymphaea alba subsp. melocarpa (Casp.) Asch. & Graebn.
Nymphaea alba subsp. melocarpa (Casper) Mela
Nymphaea alba subsp. melocarpa Casp.
Nymphaea alba subsp. minoriflora (Borbás) Stucchi
Nymphaea alba subsp. occidentalis (Ostenf.) Hyl.
Nymphaea alba subsp. occidentalis Ostenf.
Nymphaea alba subsp. rosea
Nymphaea alba subsp. rubra Lönnr.
Nymphaea alba subsp. semiaperta (H.Klinggr.) Schmalh., 1880
Nymphaea alba var. melocarpa Casp
Nymphaea alba var. minor DC.
Nymphaea alba var. minoriflora (Borbás) Asch. & Graebn.
Nymphaea alba var. occidentalis (Ostenf.) N.Hylander
Nymphaea alba var. occidentalis Ostenf.
Nymphaea alba var. parvifolia Rouy & Foucaud, 1893
Nymphaea alba var. rosea C.Hartm.
Nymphaea alba var. rubra Lönnr.
Nymphaea bashiniana Steud.
Nymphaea bashiniana Turcz.
Nymphaea basniniana Turcz.
Nymphaea biradiata Sommerauer
Nymphaea candida var. biradiata (Sommerauer) F.Henkel et al.
Nymphaea candida var. kosteletzkyi (Palliardi ex Lehm.) F.Henkel et al.
Nymphaea candida var. neglecta (Hausleutner) F.Henkel et al.
Nymphaea candida var. semiaperta (C.Klinggr.) F.Henkel et al.
Nymphaea casparyi Carriere
Nymphaea erythrocarpa Hentze
Nymphaea exumbonata Rupr.
Nymphaea kosteletzkyi Paill.
Nymphaea kosteletzkyi Paill. ex Lehm.
Nymphaea melocarpa Asch. & Graebn.
Nymphaea milletii Bor.
Nymphaea minoriflora (Borbás) Wissjul.
Nymphaea neglecta Hausl.
Nymphaea occidentalis Moss
Nymphaea officinalis Gaterau
Nymphaea parviflora Hentze
Nymphaea permixta Bor.
Nymphaea polystigma E.H.L.Krause
Nymphaea rotundifolia Hentze
Nymphaea semiaperta C.Klinggr.
Nymphaea semiaperta H.Klinggr.
Nymphaea sphaerocarpa Casp
Nymphaea sphaerocarpa Casp. ex Carriere
Nymphaea sphaerocarpa Hort.
Nymphaea splendens Hentze
Nymphaea suaveolens Dumort.
Nymphaea urceolata Hentze
Nymphaea venusta Hentze
Nymphaea alba subsp. alba
Noms Communs
Nénuphar blanc
Nymphéa blanc
European white waterlily (en) white pond-lily (en)
Membres du genre Nymphaea
Nymphaea odorata (Sol. ex Aiton, 1789)
Nymphaea rubra (Roxburgh ex Andrews, 1808)
Nymphaea alba (Linnæus, 1753)
Nymphaea caerulea (Savigny, 1902)
Nymphaea glandulifera (Rodschied ex G.Mey., 1794)
Nymphaea lotus (Linnæus, 1753)
Nymphaea micrantha (Guill. & Perr., 1830)
Nymphaea nouchali (Burm.fil., 1768)
Nymphaea rudgeana (G.F.W.Meyer, 1818)
Nymphaea gardneriana (Planchon, 1853)
Nymphaea pubescens (Willdenow, 1799)
Origine géographique
Aire d'origine : Europe, Monde
Cosmopolite
Aire actuelle
N. alba est présent principalement en Europe, s'étendant en dehors de la région vers l'Afrique du Nord, le Moyen-Orient, le Caucase et jusqu'au Jammu-et-Cachemire en Inde. Il se produit plus ou moins dans toute l'Europe.
Il est présent dans toute la France.
Ce nénuphar est très largement cultivé et naturalisé, notamment en Asie (Chine, Inde).
Environnement
Milieu
Douce
N. alba est généralement présent dans les lacs, les étangs, les marigots des rivières ou les grands fossés, et occasionnellement dans les eaux stagnantes des tourbières ou des marais.
De préférence sur fonds vaseux là où la profondeur ne dépasse pas 3 m. Au-delà de 2,50 m de profondeur, il ne forme plus ni feuilles flottantes, ni fleurs.
On peut la rencontrer jusqu'à environ 1500 m d'altitude.
Cette espèce est classée dans la catégorie "Préoccupation mineure" car elle est répandue avec des populations stables et ne fait face à aucune menace majeure en Europe.

N. alba est cependant classée "Quasi menacée en Suisse", sinon elle est répandue et abondante dans toute son aire de répartition européenne.

Le nénuphar blanc est en régression. Autrefois très présent, il souffre de la disparition de son habitat naturel (mares comblées, zones lacustres asséchées, etc.).

La plante bénéficie de protection de portée régionale :
En France, en région Provence-Alpes-Côte-d'Azur*
En Belgique, en Wallonie

*Cette espèce est mentionnée dans l'Annexe 7 du décret du 6 décembre 2001 modifiant la Loi du 12 juillet 1973 de la Conservation de la Nature qui indique (Article 3) que cette espèce est partiellement protégée : menacée d'extinction.
Description
Type
Plante
Croissance
Taille
40 à 300 cm
Les feuilles de cette espèce sont grandes suborbiculaires et cordiforme de 10 à 30 cm, vert brillant dessus, rose violacé en dessous, flottantes et recouvertes d'une substance cireuse. Elle peut atteindre une taille de deux mètres.
Les fleurs émergent, et sont grandes et solitaires, à odeur suave , avec quatre sépales verts et de nombreux pétales blancs (parfois roses). Les fruits sont globuleux, couvert de cicatrices provenant de la chute des pétales et des étamines.
L'eau étant surabondante, les vaisseaux conducteurs sont peu développés et les racines sont absentes. Elles sont remplacées par des rhizoïdes qui apparaissent sur les tiges et qui fixent la plante. Elle est fixée et enracinée dans la vase par un gros rhizome charnu horizontal.

Les espèces de Nymphaea , leur taxonomie et leur distribution sont gravement obscurcies par la présence dans la nature d'une grande variété et d'un grand nombre de cultivars horticoles.
Tzvelev (1996) note que "Outre la forme typique, dans les masses d'eau aux conditions hydrologiques (en particulier tempérées) et édaphiques défavorables, on trouve des plantes à petites feuilles et à petites fleurs, qui sont considérées par certains auteurs comme des espèces distinctes - N. minoriflora (Borb.) Wissjul. De plus, la dépendance de diverses parties de la plante du nénuphar à la taille de son rhizome a été prouvée expérimentalement (Dubnya 1976)".
L'hybride avec N. candida ( N . × borealisE. Camus) est largement distribué, généralement en présence des deux mais parfois en l'absence de N. alba (Tzvelev 1996).
Le Nymphaea candida, nénuphar blanc boréal, se distingue en particulier par le nombre de chromosomes des cellules somatiques : 2n = 84 chez Nymphaea alba alors que 2n = 160 chez Nymphaea candida
S'il y a des fleurs, pas de confusion possible avec le nénuphar jaune (Nuphar lutea). Sinon, regardez les nervures des feuilles : à la périphérie de la feuille, les nervures se divisent en formant un angle aigu chez Nuphar lutea et un angle droit chez Nymphea alba.

Note : Nymphea alba fait partie des plantes à fleurs dont les ancêtres terrestres sont retournés à l'eau.

Description botanique
Rhizomes rampants, peu ramifiés, mais non stolonifères. Limbe suborbiculaire, de 10 à 25 cm de diamètre, papyracé, abaxialement glabre, à peine pelté, base profondément cordée et lobes basaux subparallèles ou étalés, bord entier. Fleur flottante, (7-) 10-20 cm de diam. Insertion du calice sur le réceptacle circulaire ; sépales lancéolés, de 3-5(-8) cm, vaguement veinés, caduques ou en décomposition après l'anthèse. Pétales (12-)20-25(-33), blancs, ovales-oblongs, 3-5,5(-8) cm, transition vers les étamines graduelle. Filament des étamines internes ± aussi large que l'anthère ; conjonctif sans appendice apical. Carpelles complètement unies, parois entre les loges de l'ovaire unique. Rayons de stigmatisation (8-)14-20(-25); appendices carpellaires triangulaires-effilés. Fruit semi-globuleux, 2,5-3 cm. Graines ellipsoïdes, de 2-3(-5) mm, lisses. Fl. juin-août. 2n = 56, 84, 112.
 
Maintenance
Dry Start
Non
Paramètres
Température
-20 à 30°C
pH
6,5 à 8
GH
1 à 10
Aquarium
Eclairage
Brassage
Substrat nutritif
Recommandé
Cette plante est totalement aquatique, sa souche doit être immergée en permanence, sous une eau stagnante ou dans un courant faible
Attention ! Le nénuphar a fait l’objet d’une sélection intense depuis le XIXe siècle et nous offre aujourd’hui une multitude d’hybrides parfaitement rustiques dans nos régions, permettant le fleurissement de tous les bassins, quelle que soit leur profondeur.

La partie souterraine de la plante, à planter dans un panier ou directement dans la terre argileuse du bassin. Les feuilles disparaissent à la fin de l’automne, mais la souche émet de nouvelles pousses dès que les températures remontent, au printemps suivant.
Les hampes florales sont émises plus tard, entre juin et octobre selon les variétés, et portent chacune une fleur solitaire, au niveau de la surface de l’eau ou un peu au-dessus, qui dure quelques jours, s’ouvre le matin et se ferme le soir. Les fleurs se renouvellent tout au long de la saison, avec une baisse de floraison au cœur de l’été, plus ou moins marquée selon la variété. À la fin de la floraison, les fleurs s’enfoncent dans l’eau, se transforment en fruits globuleux qui se détachent après maturation et hivernent au fond de l’eau.

Installez votre nénuphar dans un bassin bien ensoleillé : il doit recevoir les rayons du soleil pendant un minimum de six heures par jour pour fleurir abondamment. Il est préférable de le placer à l’abri du vent et d’éviter la proximité d’un jet d’eau qui nuirait à sa croissance. Si la taille de votre bassin le permet, vous pouvez associer plusieurs nénuphars et jouer sur les couleurs. Prévoyez une surface moyenne de 1 m2 pour chacun d’eux.
Sur une terrasse, l’exposition doit aussi être bien ensoleillée. Utilisez un grand contenant, du type barrique en bois doublée de liner en plastique, de 1 m de diamètre et 0,40 m de profondeur au minimum. le bac réalisé ne recevra qu’un nénuphar.
Note : Les nénuphars exotiques donnent les meilleurs résultats cultivés dans de tels contenants, placés dans une serre d’hiver ou une grande véranda orientée au Sud. Ils peuvent toutefois prendre place à l’extérieur, dans les mêmes conditions que les nénuphars rustiques, à condition d’être rentrés en hiver.

Le nénuphar commun peut être mis en place entre la mi-mars et la fin du mois de septembre, mais il faut attendre le mois de mai, voire juin en région continentale, pour planter les nénuphars exotiques.

En bassin artificiel, les nénuphars sont plantés dans des poches de terre aménagées au fond du bassin ou dans des paniers spécialement conçus pour les plantes aquatiques. Vous pouvez aussi utiliser de grands pots en plastique (50 cm de diamètre pour les plus grandes variétés, 25 cm pour les nénuphars nains) à condition qu’ils soient percés de trous, ce qui permettra une bonne humidification de la terre qu’ils contiennent. La plantation en paniers et en pots, très maniables, permet de limiter plus facilement l’expansion des nénuphars.
Garnissez aux 2/3 les paniers et pots de terre argileuse, si vous en avez, ou de terreau pour plantes aquatiques, lui aussi composé en grande partie de terre argileuse.
Plantez un seul pied par panier ou pot : le nénuphar étant très vigoureux, il va vite coloniser tout le volume. Installez le rhizome en oblique dans la terre argileuse, le bourgeon terminal vers le haut.
Faites tremper le panier ou le pot dans une bassine d’eau pour bien imbiber la terre.

Les nénuphars rustiques ne demandent qu'un entretien réduit. Il est inutile de protéger le rhizome ou de le sortir de l'eau pendant l'hiver, quelle que soit votre région, car il est parfaitement rustique.

Attention ! Bien que tous les lotus ne supportent pas très bien le transport et arrivent souvent en piteux état, ils reprennent rapidement une fois installés dans un aquarium.
Disponibilité commerciale : Commun
N. alba est utilisé comme plante ornementale et les racines rafraîchissantes sont utilisées comme nourriture.

L'utilisation la plus connue de cette espèce aujourd'hui est comme plante ornementale. La variété rouge a été largement cultivée et, par hybridation, plusieurs cultivars intermédiaires sont aujourd'hui présents dans le commerce.
Plantation et multiplication
Le nénuphar blanc se multiplie par fractionnement du rhizome ou repiquage des bourgeons foliaires. Il est également possible de semer des graines.

Reproduction végétative
la division de rhizome est à la portée des jardiniers amateurs. Moyennant quelques précautions, elle donne de très bons résultats.
Vous devez diviser vos nénuphars quand ils commencent à moins fleurir, et que les feuilles se multiplient et se chevauchent à la surface de l'eau, généralement tous les trois ou quatre ans. N'attendez pas trop longtemps, car les nénuphars deviennent vite envahissant. Si vous les laissez se développer quelques années de trop, vous ne retrouverez plus votre panier, qui aura éclaté sous la pression des racines, mais un enchevêtrement de rhizomes et de racines bien difficile à découper en morceaux.
Les périodes les plus favorables sont le printemps et la fin de la floraison, mais il vaut mieux attendre celle-ci pour aller chercher les paniers au fond de l'eau.
Après avoir sorti le panier de l'eau, sortez délicatement le rhizome. Passez-le sous l'eau pour bien distinguer le rhizome principal, les rhizomes secondaires, les racines et les bourgeons.
Coupez des bouts de rhizome de 8 à 10 cm de long, choisissez en particulier les extrémités des rhizomes secondaires.
Chaque morceau doit comporter un bourgeon terminal (un départ de feuilles) en bon état et quelques racines.
Replantez un bout de rhizome dans un nouveau panier.

Reproduction sexuée
Le semis est une opération délicate réservée aux professionnels, et en particulier aux hybrideurs, car cette étape est indispensable à l'obtention de nouvelles variétés.
Dans ce cas, il est conseillé d'augmenter progressivement le niveau d'eau après le semis.
Commentaires
Étymologie : Nymphaea, du grec ancien νυμφαία, numphaía "fleur de nymphe" (nénuphar) et alba, du latin albus "blanc"

Utilisations traditionnelles ou commerciales :
Plante souvent employée pour décorer les bassins et les étangs ; ses racines sont alimentaires et rafraîchissantes.

Un rapport suggère que la plante est toxique mais ne donne plus de détails. Le nénuphar blanc contient un alcaloïde toxique, la nupharine, une substance qui a un effet sur le système nerveux central. Le rhizome est récolté à l'automne et peut être séché pour une utilisation ultérieure.

Nymphaea alba est une plante médicinale, proposant un sédatif et un anaphrodisiaque (quoique certains auteurs lui attribuent les vertus contraire, comme aprodisiaque, en référence au lotus sacré). Bien que les racines et les tiges soient utilisées dans la phytothérapie traditionnelle avec la fleur, les pétales et autres, les organes de fleurs sont les plus puissants. L'alcool peut être utilisé pour extraire les alcaloïdes actifs, et il stimule également les effets sédatifs. La racine de la plante a été utilisée par des moines et des religieuses pendant des centaines d'années comme anaphrodisiaque, écrasée et mélangée au vin. On l'appelle aussi une diaphorétique.

Ainsi, le rhizome est antiscrofulatique, astringent, cardiotonique et sédatif. Une décoction de la racine est utilisée dans le traitement de la dysenterie ou de la diarrhée causée par le syndrome du (gros intestin du système digestif) côlon irritable. Elle a également été utilisée pour traiter le catarrhe bronchique et la douleur rénale (douleurs néphrétiques) et peut être pris comme un gargarisme pour les maux de gorge. C'est une plante calmante.

En combinaison avec l'orme Ulmus rubra ou le lin Linum usitatissimum, le nénuphar blanc est utilisé comme cataplasme pour traiter les furoncles et les abcès.

Selon un rapport, la plante n'est pas utilisée dans les pratiques modernes à base de plantes, mais elle a été citée comme un remède contre la dysenterie.

La racine cuite est comestible, mangée depuis des centaines d'années avec l'avantage de contenir jusqu'à 40 % d'amidon et 6 % de protéines. La graine rôtie est un substitut du café.

Note : La plupart des nénuphars proposés en jardineries et en magasins spécialisés sont des variétés hybrides issues de la sélection horticole. C'est Joseph Bory Latour-Marliac qui se lança le premier dans l'hybridation entre la seule espèce alors disponible en Europe, aux fleurs blanches, et d'autres espèces rustiques provenant d'Amérique du Nord, dans le but d'obtenir des coloris inédits. En 1875, il ouvrit la première pépinière spécialisée dans les nénuphars et commença à proposer diverses variétés, allant du jaune paille au rouge cramoisi.
Ses spécimens firent sensation à l'Exposition universelle de 1889 (où fut aussi présentée la tour Eiffel). Les nénuphars hybrides obtinrent le premier prix dans leur catégorie et attirèrent l'attention de Claude Monet, immédiatement sous le charme de leurs couleurs étonnantes. Cette découverte est à l'origine du fleurissement des bassins de Giverny… et des fameux tableaux Les Nympheas. Claude Monet commanda de nombreux nénuphars à Joseph Bory Latour-Marliac, certaines variétés disponibles à cette époque sont encore vendues de nos jours.
Références
GBIF, IUCN, DORIS
Flora Helvetica, Flora of China, Tela Botanica
Ooreka
- Akhani, H. 2014. Nymphaea alba. The IUCN Red List of Threatened Species 2014
- Castroviejo, S., Aedo, C., Lainz, M., Morales, R., Muñoz Garmendia, F., Nieto Feliner, G. and Paiva, J. (eds). 1986. Flora Iberica. Vol. 1. Real Jardín Botaníco, C.S.I.C. Servicio de Publicaciones, Madrid.
- Consejo Superior de Investigaciones Cientificas (Real Jardin Botanico) and Fundación Biodiversidad (Ministerio de Medio Ambiente). 2009. Anthos. Sistema de informacion sobre las plantas de España. Madrid
- Finnish Museum of Natural History. 1999. Atlas Florae Europaeae Database. Helsinki
- Fitter, A.H. and Peat, H.J. 1994. The Ecological Flora Database. Journal of Ecology 82: 415-425.
- Moser, D., Gygax, A., Bäumler, B., Wyler, N. and Palese, R. 2002. Red List of the Threatened Ferns and Flowering Plants of Switzerland (Rote Liste der gefährdeten Farn- und Blütenpflanzen der Schweiz). Bundesamt für Umwelt, Wald und Landschaft, Bern; Zentrum des Datenverbundnetzes der Schweizer Flora, Chambésy; Conservatoire et Jardin botaniques de la Ville de Genève, Chambésy.
- Preston, C.D., Pearman, D.A. and Dines, T.D. 2002. New Atlas of the British and Irish Flora. Oxford University Press, Oxford.
- Rechinger, K.H. 1966. Nymphaeaceae. In: Rechinger, K.H. (ed.), Flora Iranica, Akademische Druck u, Verlagsanstalt, Graz, Austria.
- Tzvelev, N.N. (ed.). 1996. Flora of Russia: The European part and bordering regions. Vol. IX. Taylor and Francis, London.
- Vitek, E., Fayvush, G., Oganesian, M., Tamanyan, K., Ter-Voskanyan, H., Margaryan, K. and Tumanyan, A. 2013. Nymphaea alba (Nymphaeaceae) in Armenia. Rostaniha 14(1): 43-47.

Pour citer cette fiche :"Nymphaea alba, Linnæus, 1753" B-Aqua / GP (2021)