Paludine commune
Moins connue en aquariophilie que sa cousine la Paludine vivipare, la Paludine commune semble pourtant plus répandue dans la nature.
C'est un hôte intéressant des bassins de jardin, mais qui peut également être maintenu dans les aquariums d'eau froide.
Cet escargot de grande taille et volontiers grégaire, doit être maintenu en groupe dans un aquarium assez grand de manière à lui assurer une vie sociable et suffisamment de nourriture.


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Taxinomie
Descripteur : Millet, 1813
Classe:  Gastropoda
Ordre: Architaenioglossa
Famille:  Viviparidae
Genre:  Viviparus
Synonymes
Contectiana (Contectiana) contecta (Millet, 1813)
Contectiana (Contectiana) fennica (Kobelt, 1909)
Cyclostoma contectum Millet, 1813
Paludina contecta (Millet, 1813)
Paludina inflata A.Villa & G.B.Villa, 1841
Paludina listeri Forbes & Hanley, 1850
Paludina mamillata Küster, 1852
Valvata (Tropidina) levantica Halaváts, 1889
Vivaparus brachya Bourguignat, 1880
Vivipara brachya Bourguignat, 1880
Vivipara carlovacensis Kobelt, 1909
Vivipara carniolica Bourguignat, 1880
Vivipara communis Bourguignat, 1880
Vivipara contecta (Millet, 1813)
Vivipara contecta var. kormosi Kobelt, 1909
Vivipara contecta var. russiensis Milaschewitch, 1881
Vivipara corcyrensis Kobelt, 1908
Vivipara croatica Kobelt, 1908
Vivipara dalmatica Kobelt, 1908
Vivipara fennica Kobelt, 1909
Vivipara isseli Bourguignat, 1880
Vivipara kormosi Kobelt, 1909
Vivipara lacustris Beck, 1847
Vivipara turrita Kobelt, 1909
Viviparus carlovacensis Kobelt, 1909
Viviparus carniolica Bourguignat, 1880
Viviparus communis Bourguignat, 1880
Viviparus corcyrensis Kobelt, 1908
Viviparus croatica Kobelt, 1908
Viviparus dalmatica Kobelt, 1908
Viviparus fasciatus var. nigerrimus Schlesch, 1930
Viviparus (Contectiana) fennicus (Kobelt, 1909)
Viviparus isseli Bourguignat, 1880
Viviparus kormosi Kobelt, 1909
Viviparus lacustris Beck, 1847
Viviparus listeri Forbes & Hanley, 1850
Viviparus mamillatus (Küster, 1852)
Viviparus russiensis Milachewitsch, 1881
Viviparus turrita Kobelt, 1909
Viviparus vera Frauenfeld, 1862
Noms Communs
Paludine commune
Lister's river snail (en)
Membres du genre Viviparus
Viviparus contectus (Millet, 1813)
Viviparus viviparus (Linnaeus, 1758)
Origine géographique
Aire d'origine : Europe
Albanie, Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Tchéquie, Danemark, Estonie, France, Grèce, Hongrie, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Pays-Bas, Macédoine du Nord, Pologne, Roumanie, Fédération de Russie, Royaume-Uni, Slovaquie, Suède, Suisse
Cette espèce a une répartition principalement paléarctique et s'étend jusqu'à l'ouest de la Sibérie (Welter-Schultes 2011). Elle est également répandue dans toute l'Europe via le commerce des aquariums (D. van Damme, comm. pers. 2012).

Viviparus contectus est une espèce paléarctique présente dans la plupart des États européens à l'ouest, au nord et à l'est, mais beaucoup plus rare dans le sud.L'Europe.
Elle est répandue dans le nord et le centre de l'Europe, depuis le Royaume-Uni à l'ouest de la région jusqu'aux pays du nord de la Suède, de la Lettonie, de l'Estonie et du Danemark, en passant par l'Allemagne, la Suisse, au sud jusqu'en Italie, en Slovénie et à l'est jusqu'en Grèce et en Bulgarie.

Viviparus contectus ressemble beaucoup à V. viviparus dont elle se distingue par sa coquille luisante (vernissée), elle a souvent été identifiée à tort comme V. viviparus dans les régions autour du cours supérieur et moyen du Danube (Suisse, Autriche, Hongrie et Slovaquie).

Il existe des mentions provenant de Turquie (Kebapci et Yildrim 2010), de plans d'eau plus grands, tels que les lacs et les étangs de l'étang de Karaot (province d'Isparta), du lac Beysehir (province de Konya), ainsi que des mentions plus anciennes de la région de la mer Noire (Schütt 1965). et Région des Lacs (Bilgin 1980). Cependant, l'espèce s'hybride avec V. ater , rendant ainsi son identification difficile (Trüb et Ribi 1997).
Environnement
Paramètres
Milieu
Douce
Viviparus contectus vit dans les eaux fraiches à tempérées d'Europe, plutôt lentes. Il serait plus commun que la Paludine vivipare.

Cette espèce fréquente les grandes rivières à débit lent, les grands fossés de drainage, les digues des tourbières, les fossés des marais de pâturage et, occasionnellement, dans les grands étangs et lacs (Welter-Schultes, 2011).
L'espèce est encore largement répandue dans son aire de répartition connue, et elle est modérément sensible à la pollution et il existe des preuves de déclin dans certaines parties de son aire de répartition.
L’espèce est en déclin et nécessite des efforts pour réduire l’impact de la pollution afin que son statut s’améliore. À l'heure actuelle, le taux de déclin n'atteint pas les seuils des espèces menacées, bien qu'elles puissent être localement menacées d'extinction.

Cette espèce a été évaluée au niveau régional :
Évaluation régionale UE27 : Préoccupation mineure (Cette espèce est classée comme Préoccupation mineure dans les vingt-sept États membres de l'Union européenne)
Évaluation régionale européenne : Préoccupation mineure
Évaluation régionale méditerranéenne : Préoccupation mineure

Les principales menaces potentielles pour l’espèce sont la pollution de ses habitats par l’eutrophisation ou d’autres sources chimiques – en particulier l’intensification de l’agriculture, l’altération des cours d’eau, les modifications des régimes d’écoulement et le dragage trop fréquent – ​​en particulier des fossés de drainage sur les complexes de marais de pâturage. L’espèce est également capturée pour le commerce des aquariums (D. van Damme, comm. pers., 2012).

Aucune mesure de conservation n’est en place. Cependant plusieurs sous-populations se trouvent dans des zones protégées.
Description
Taille
: 3,5 à 5,5 cm SL
Respiration
Branchiale
Longévité
10 à 13 ans
Régime
Algivore
La coquille des paludines communes est spiralée (dextre) et globalement conique, de couleur beige, verdâtre ou presque noire avec trois bandes colorées et une suture profonde peut atteindre 55 mm de haut. L'apex est pointu, l'ombilic est étroit. L'animal lui-même est sombre avec des points jaunes.
(sens d'enroulement : . Comme celle des autres paludines, elle est plus solide et épaisse que celle des autres escargots d'eau douce européens. Elle évoque celles des ampullaires (qui ne sont cependant pas apparentées aux Paludines).
Elle est d'assez grande taille, épaisse, et formée de quatre à cinq tours de spires chez l'adulte.
La coquille est plus grande que celle de V. viviparus.
À la différence des limnées et comme certains escargots marins, les Paludines peuvent se protéger de la déshydratation derrière un opercule étanche. L'animal peut s’y enfermer derrière un opercule rond orné de stries concentriques, qui lui permet de se protéger - durant plusieurs mois s'il le faut - de la déshydratation. L’opercule une fois fermé affleure l’ouverture de la coquille.
Quand il est ouvert, cet opercule est fixé sur la partie dorsale et arrière du pied du mollusque, pied qui est assez large et dont la couleur varie du gris au verdâtre tachetée d'orange vif.

Sa bouche comporte une radula et un siphon respiratoire s'ouvre sur le côté droit de la tête, alimentant ses branchies situées en avant du cœur. Ce siphon lui permet aussi de filtrer l'eau.

L'escargot possède deux tentacules courts ; ses yeux sont sur le côté externe de chaque tentacule.

Note : Kantor et coll. (2009) l'ont placé dans le genre Contectiana Bourguignat, 1880 à la suite du volume de Fauna Ukraine (Vol. 29). Cependant, la majorité des utilisateurs considèrent toujours qu'il s'agit d'une classification de niveau sous-générique.

Description zoologique
Escargot aquatique. 20-40 mm x 25-55 mm. Coquille globuleuse conoïde très ventrue formée de 5.5 à 6 tours étagés ; sutures profondes. Ombilic étroit. Apex aigu et mucroné. Ouverture oblique, arrondie, peu anguleuse en haut, bleu de Prusse à l’intérieur. Test mince, luisant, sub-transparent, brun olivâtre ou vert olive, unicolore avec deux ou trois bandes spirales sombres peu distinctes. Stries fines, irrégulières, très serrées. Les jeunes portent trois séries spirales de poils. Opercule mince, flexible, fauve rougeâtre, à strie concentriques inégales et à nucléus un peu rapproché du bord columellaire.
 
Régime Alimentaire
Cette espèce se nourrit de plancton, bactéries raclés sur le biofilm des substrats qu'elle explore, et de plancton et micro-débris en suspension dans l’eau (captés au moyen du siphon qui lui permet de respirer tout en filtrant l’eau).

Cette capacité de filtration la fait apprécier de propriétaires de bassins ou d'aquariums, ainsi que le fait de consommer les algues filamenteuses, certaines micro-algues, cyanophycées et micro-déchets en suspension et ainsi contribuer à épurer et clarifier l’eau. Mais en aucun cas on ne doit accueillir un animal pour ses seules qualités réelles ou supposées de brouteur d'algues.

En bassin naturel, cet escargot se nourrira seul.

En aquarium, un bac vieilli sera indispensable pour lui assurer une nourriture abondante et diversifiée.
En tant que filtreur, l'escargot des marais a besoin quotidiennement de nourriture en suspension si possible d'origine naturelle, mais qui peut être dispensée sous forme liquide disponible dans le commerce.

Il aime aussi beaucoup brouter les algues et autres biofilms sur des rochers émoussés, et apprécie aussi fouiller la terre de jardin et se glisser sous une litière de feuilles d'automne.

Après quelque temps d'acclimatation dans l'aquarium, l'escargot peut aussi consommer la nourriture pour poissons ou crevettes, mais ça ne doit pas être sa seule source de nourriture.
Dimorphisme
Le mâle se distingue par un tentacule droit, plus court et au bout arrondi, qui fait aussi office de pénis lors de la fécondation.
La femelle est habituellement un peu plus grosse au même âge, et elle possède deux tentacules identiques.
Dangerosité
 
 
 Faible
Les mollusques aquatiques d'eau douce sont presque toujours porteurs de parasites (une évaluation récente en Allemagne en 2004, a trouvé trente et une espèces de trématodes dans les escargots d'eau, appartenant à dix familles (avec vingt-neuf espèces de cercaire et sept espèces de métacercaires détectées chez trois cent onze escargots appartenant à quinze espèces différentes ; 4,9 % du total des mollusques étudiés était porteur de l'un ou l'autre ou de ces deux types de parasites). Les Paludines et cette espèce en particulier ne font pas exception : elles jouent un rôle dans le cycle de ces parasites.
La Paludine commune est l’hôte intermédiaire de plusieurs espèces de trématodes (ex : Echinostoma trivolvis) qui finissent souvent leurs cycle chez les oiseaux ou des animaux venant s’abreuver dans les cours d’eau.
Maintenance
Population
5 minimum
Zone
Inférieure
Ratio M/F
1 / 1
Paramètres
Température
              1                       24
pH
         6,5      7            8      8,5
GH
         5       8              18       22
Brassage
Aquarium
Volume
100 l minimum
Viviparus contectus vit dans les eaux fraiches à tempérées des grandes rivières à débit lent, les grands fossés de drainage, les digues des tourbières, les fossés des marais de pâturage et, occasionnellement, dans les grands étangs et lacs.

C'est un hôte intéressant des bassins de jardin, mais il peut également être maintenu dans les aquariums d'eau froide. Dans ces derniers, il n'a pas besoin de chauffage mais, en été, il faudra penser à empêcher une élévation trop importante de la température de l'eau grace à un système de refroidissement ad hoc.

En bassin, il peut être maintenu toute l'année tant que l'eau ne gèle pas jusqu'au substrat.
Les paludines passent facilement l’hiver sous la glace, mais à la différence d’autres mollusques aquatiques, les paludines meurent si l'eau gèle.
Dans les petits volumes, comme les poubellariums, on veillera à éviter les températures élevées.

Ces escargots se montrent volontiers grégaires. il doit être maintenu en nombre, si possible important, car on le trouve souvent en groupes plus ou moins denses (pouvant atteindre des centaines d'individus) sur des branches immergées, des pieux ou divers objets artificiels présents sous l'eau. Plus rarement, ils sont présents de manière plus dispersée dans la vase et alors beaucoup plus discrets. On les trouve aussi dans certains étangs ou pièces d’eau artificielles, des réservoir de barrage et certains bras morts de cours d’eau encore plus ou moins liés à une rivière ou à un fleuve.
Elles se recouvrent alors les unes les autres de leur mucus. Des rangées de poils microscopiques recouvrant leur coquille vont ainsi capturer des particules, algues et bactéries en suspension et contribuer à les camoufler... et à les nourrir mutuellement. Il ne faut jamais les nettoyer et, au contraire, leur permettre de conserver une coquille "sale", vitale pour elles et leurs interactions sociales.

Les paludines passent facilement l’hiver sous la glace, mais à la différence d’autres mollusques aquatiques, elles meurent si elles gèlent.

Dans l'aquarium, il est conseillé d'abaisser la température en hiver et de ne pas dépasser 24°C en été.
Une terre de fond très fine comme du sable très fin ou de la boue est préférable.
Il peut être maintenu à un pH de 7 à 8 et un GH jusqu'à 22. La KH doit être supérieure à 3 pour lui assurer le calcium nécessaire à sa croissance.

Malgré sa taille, l'escargot est assez fragile et timide.
Il ne doit donc pas être maintenu avec des compagnons d'aquarium trop gros ou trop curieux.
On peut en revanche associer l'escargot à d'autres mollusques d'eau froide, des crevettes ou des poissons de petites tailles fréquentant le même milieu fluvial tempéré.

Malgré tout, on le maintiendra de préférence dans un bac biotope spécifique propre à lui fournir une eau fraiche et une période de repos hivernale.
Cette phase de repos hivernale est impérative pour le bien-être de cet escargot de région froide. Elle lui assure une période de reproduction bien marquée et, grace à cela, une grande longévité.

Disponibilité commerciale : Disponible

L’espèce est collectée pour le commerce des aquariums (D. van Damme, comm. pers. 2012), mais ce commerce ne semble pas nuire à la survie de l'espèce.
Reproduction
Type
Ovovivipare
Difficulté
Courante
Paramètres
Température
12 à 20 °C
pH
7 à 8
GH
8 à 20 °GH
Comme chez la plupart des Prosobranches, les sexes sont séparés. Le tentacule droit du mâle, transformé en pénis, est plus court et plus gros que l’autre alors que les tentacules sont de même taille chez la femelle. Femelle qui a son orifice génital à droite sous le bord du manteau.
La reproduction de Viviparus contectus est dioïque stricte. Il n'existe pas d'hermaphrodisme, ni d'autogamie.

Cette espèce peut vivre jusqu'à treize ans et sa maturité est atteinte après trois mois pour la génération de printemps et huit mois pour la génération d'automne (Welter-Schultes 2011).
Certains auteurs notent en revanche, que la maturité sexuelle est atteinte au bout de deux ans, quand l’escargot mesure environ deux centimètres de long.

Les femelles portent une trentaine d'œufs (à des stades de développement différents) d’une taille de 3 à 7 mm de diamètre et jusqu’au développement complet de l’embryon.
Au moment de leur expulsion, les jeunes mesurent environ 7 mm et leur coquille est déjà marquée des rayures caractéristiques des paludines.
La femelle meurt après l'éclosion de tous ses œufs. (Cette information demande confirmation car non sourcée)
Il serait étonnant que les femelles d'un escargot susceptible de vivre plus de dix ans ne vivent qu'un an ou deux.
Il est possible cependant que certaines femelles s'épuisent à procréer au point d'en mourrir, si elles ne trouvent pas suffisamment de nourriture reconstituante. On veillera donc à l'approvisionner en nourriture riche et variée, bien pourvue en calcium.

L'hybridation avec d'autres espèces de paludine est possible. Elle a pu être obtenue, au moins en laboratoire, et elle produit des hybrides féconds dans certaines configurations de croisements.

En effet, en 1997, des hybrides féconds ont être obtenus en laboratoire par croisement interspécifique de plusieurs espèces de Viviparus, mais à certaines conditions :
Viviparus viviparus se croise avec V. ater, uniquement quand c'est le mâle V. viviparus qui féconde la femelle de V. ater ; la combinaison inverse est presque toujours stérile.
De même il faut que ce soit le mâle de V. contectus qui féconde une femelle V. ater pour avoir une descendance.
Des indices génétiques laissent penser que des hybridations Viviparus ater X V. contectus existent aussi dans la nature.

Note : C'est le naturaliste Jan Swammerdam qui semble avoir été le premier à reconnaître le caractère vivipare des paludines. Il a constaté que les œufs présents dans l'oviducte de la femelle de Viviparus viviparus contenait toutes un ou deux funicules, croyant même reconnaitre dans ces œufs un chorion et un amnios, mais il n'a pas découvert comment ils se formaient, ni comment ils parvenaient dans l'utérus et ne semble pas même avoir compris qu'il existait des mâles et des femelles chez cette espèce (la plupart des autres escargots sont hermaphrodites et on a longtemps cru à une génération spontanée ou à un autofécondation chez les escargots aquatiques).
C'est le naturaliste Émile Baudelot qui a ensuite clairement distingué les deux sexes chez les paludines et qui a compris qu'il n'existait pas d'hermaphroditisme chez ces espèces.
Commentaires
Etymologie : Viviparus, du latin vivus "vivant" et -par "enfanter" pour mettre en avant le fait que la femelle porte ses œufs jusqu’à leur éclosion et contectus, du latin "couvrir, protéger, cacher, dissimuler", qui se tient caché.

Paludine, du latin palus "marais"

Utilisation traditionnelle, scientifique et/ou commerciale :
Cette espèce a été utilisée comme animal de laboratoire pour par exemple étudier la conduction nerveuse des mollusques, la cinétique et répartition dans l'organisme d'un escargot du ruthénium 106, et l'étude des fonctions biochimiques des caroténoïdes chez les mollusques.
Références
GBIF, IUCN, DORIS
- Bilgin, F. 1980. Batı Anadolu'nun bazı önemli tatlı sularından toplanan Mollusca türlerinin sitematiği ve dağılısı. Diyarbakır Üniversitesi Tip Fakültesi Dergisi 8 (2 Supplement): 1-64.
- Kebapçı, U., Seddon, M.B. et Van Damme, D. "Viviparus contectus". Liste rouge de l'UICN des espèces menacées 2014
- Schütt, H. 1965. Zur Systematik und օkologie Türkischer Süsswasserprosobranchier. Zoologische Mededelingen 41(3): 43-71.
- Trüb, H. & Ribi, G. 1997. High fecundity of hybrids between the sympathric snail species Viviparus ater and V. contectus (Gastropoda: Prosobranchia). Heredity 79: 418-423.
- Vavrova, L. 2010. Viviparus contectus (évaluation Europe et Méditerranée) . La Liste rouge de l'UICN des espèces menacées 2010
- Welter-Schultes, F. 2011. Species summary Viviparus contectus. Available at: http://www.animalbase.uni-goettingen.de/zooweb/servlet/AnimalBase/home/species?id=2079. (Accessed: 24th January 2012).

Pour citer cette fiche :"Viviparus contectus Millet, 1813" B-Aqua / TE, GP (2021-24)