Rami
Le "ramirezi" est un cichlidé nain fréquemment maintenu dans nos bacs. Attrayant, coloré, sympathique, il est souvent choisi pour enjoliver un bac communautaire. Ce n'est pourtant pas un poisson "facile" et il y est très souvent mal accueilli. La dureté doit impérativement être très faible, le pH acide, et les variations saisonnières respectées pour le bien-être de ce magnifique poisson.

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Mikrogeophagus ramirezi
Taxinomie
Descripteur : Myers & Harry, 1948
Classe: Actinopterygii
Ordre: Perciformes
Famille:  Cichlidae
Genre:  Mikrogeophagus
Synonymes
Apistogramma ramirezi Myers & Harry, 1948
Microgeophagus ramirezi (Myers & Harry, 1948)
Papiliochromis ramirezi (Myers & Harry, 1948)
Papilochromis ramirezi (Myers & Harry, 1948)
Noms Communs
Rami
Ramirezi
Microgéophage ramirezi
Cichlidé nain de Ramirez
Ramirezi (esp)
Butterfly cichlid (en)
Dwarf cichlid (en)
Membres du genre Mikrogeophagus
Mikrogeophagus ramirezi (Myers & Harry, 1948)
Origine géographique
Aire d'origine : Amérique du sud
Colombie, Vénézuela
Aire actuelle
Mexique
Mikrogeophagus ramirezi est présent dans le bassin du fleuve Orénoque, dans les llanos du Venezuela et de la Colombie.

On le trouve dans les contreforts andins de l'Orénoque, dans les rivières Cusiana (Urbano-Bonilla et al . 2018), Pauto (Maldonado-Ocampo et al . 2013) et dans le bassin fluvial du Casanare (Zamudio et al. 2017, Mesa et al. 2017, Mesa et al. 2018) . al.2019 ). Dans la haute plaine de Colombie, c'est dans les rivières Manacacias (Galvis et al . 2007) et Vichada (Lasso et al. 2004), dans la haute plaine du Venezuela, dans les rivières Aguaro, Guariquito, Manapire (Marcanoet coll . 2007, Machado-Allison et coll. 2018) et Morichal Largo à l'est (Lasso et al . 2004). Dans le delta de l'Orénoque, on le trouve dans les canaux Pedernales et Cocuina (Mesa et al . 2011). Dans la dépression Arauca-Apure, on le trouve dans les rivières Cinaruco, Capanaparo (Lasso et al . 2004) et Apure. Alors que, dans la région d'influence du plateau guyanais en Colombie, on le trouve dans les rivières Inírida et Lower Guaviare (Lasso et al . 2009) et au Venezuela, dans les rivières Suapure, Caura, Pao et Aro (Lasso et al . .2004). ).
Sa localité type est le système de l'Orénoque, au Venezuela (Myers et Harry, 1948).

On le trouve dans la zone humide Ramsar, Estrella Fluvial de Inírida (EFI), le parc national Santos Luzardo (Cinaruco-Capanaparo) et le parc national Aguaro-Guariquito.
Environnement
Paramètres
Milieu
Douce
Température
27 à 30 °C
pH
5 à 7,3
GH
0 à 2 °GH
Conductivité
10 à 50 µS/cm
On trouve M. ramirezi dans les rivières et les marécages/lagunes morichaux (caractéristiques de la présence du palmier Mauritia flexuosa ) aux fonds fermes et sableux, recouverts d'une abondante matière organique en décomposition. L'eau y est transparente et permet la pénétration de la lumière.
Ces rivières drainent les sols de la savane* et l'eau est donc très pauvre en nutriments, avec des valeurs de conductivité allant de faible à intermédiaire et une acidité allant de élevée à légèrement basique (Mesa et Lasso 2013).
Les valeurs pour la rivière Manacacias sont un GH de 4,5 et le pH de 5,5 (Galvis et al . 2007) ; pour la rivière Morichal Largo, pH 5,1-6,5 et conductivité de 17-45 µS/cm, avec une eau couleur thé et une faible teneur en oxygène dissous (1-4 mg/l) (Mora et al . 2008 ) ; dans la partie inférieure des rivières Guaviare et Inírida, les valeurs physico-chimiques approximatives sont un pH de 7,3 et une conductivité de 10 µS/cm (Galvis et al . 2007). Les ruisseaux et les lagunes du cours inférieur et moyen du fleuve Capanaparo (plaines éoliennes) présentent des valeurs de pH (de 5,9) et de conductivité (55,3 µS/cm) modérées près de son embouchure dans le fleuve Orénoque (Yanez et Ramírez 1988). Alors que pour la rivière Caura, le pH est compris entre 5,04 et 5,82 et la conductivité est comprise entre 6 et 20 µS/cm (Riseng et Spark 2003).

*Les Llanos sont un vaste système riche en biodiversité composé de prairies de savane tropicale, de plaines inondées de façon saisonnière et de forêts couvrant une superficie de près de 600 000 kilomètres carrés au Venezuela et en Colombie. Il existe des régimes climatiques annuels bien définis, avec des saisons humides et sèches distinctes et des températures élevées tout au long de l'année.

On le trouve fréquemment en compagnie de : Corydoras delphax, Platydoras costatus, Baryancistrus beggini, Hypancistrus inspector, Panqolus maccus, Panaque nigrolineatus, Hemigrammus rhodostomus, H. stictus, Hyphessobrycon sweglesi, Paracheirodon axelrodi, Pristella maxillaris, Copella nattereri , Biotodoma wavrini, Geophagus abalios, Heros severus, Mesonauta insignis et Uaru fernandezyepezi.
Il s'agit d'une espèce bien représentée dans le bassin de l'Orénoque, avec une large répartition géographique. Elle est présente dans les régions où les habitats sont profondément transformés par les pratiques minières, légales et illégales, mais aussi dans d'autres zones bénéficiant d'une certaine forme de gestion environnementale, comme les parcs nationaux ou les zones humides Ramsar. Compte tenu de sa grande répartition, son statut est considéré comme étant "Peu préoccupant"

Son aire de répartition se situe cependant sur la zone d'exploitation pétrolière des blocs Ayacucho et Carabobo (Barreto 2017), au nord-est du Venezuela et de nombreuses menaces écologiques pèsent sur l'espèce.
Une autre menace potentielle pour la région est le marché prolifique des poissons d'ornement, qui repose sur l'extraction directe de l'habitat (Galvis et al . 2007). Bien que certaines expériences d'élevage en captivité aient été réalisées avec cette espèce,. 2015b).
La mortalité naturelle de l'espèce est estimée à 1,21 ans, la mortalité par pêche à 1,66 ans et le taux d'exploitation est de 0,58, le pourcentage de survie de l'espèce est calculé comme supérieur à 50 %, on peut dire que la ressource est en équilibre avec des signes de légère exploitation pour la Colombie (Ortega-Lara et al. 2015a). Le nombre total de spécimens collectés à Villavicencio en 2013 était de 48 135 individus (Ortega-Lara et al. 2015b).
Description
Taille
: 4 à 5 cm SL  
: 3 à 4 cm SL
Respiration
Branchiale
Longévité
2 à 4 ans
Régime
Mikrogeophagus ramirezi
Mikrogeophagus Ramirezi, est un petit cichlidé (1,7 à 4,3 cm (Ortega-Lara et al . 2015a)), qui se distingue par sa robe principalement jaune ou dorée, marquée de bleu, et de taches noires plus ou moins étendues. La tête est tachée de rouge vif.
Il existe cependant des sélections bleu intense (blue) et d'autres monochrome jaune orangé (gold) ou doré.

Le genre Mikrogeophagus ne contient actuellement que deux espèces reconnues. Ils sont séparés les uns des autres sur le plan géographique, M. ramirezi étant présent au Venezuela et en Colombie et son congénère M. altispinosa originaire de Bolivie et de l'ouest du Brésil. Ce dernier est également un poisson plus gros et moins coloré, dépourvu de marques bleues irisées sur les nageoires, le corps et la tête.

Le groupe a une histoire taxonomique confuse. M. ramirezi a été décrit comme membre du genre Apistogramma mais affilié plus tard au nom Microgeophagus.
 
Régime Alimentaire
Mikrogeophagus ramirezi se nourrit d'insectes aquatiques, de zooplancton et de matières végétales (Lasso et Machado, 2000).

Les Microgéophagus sont, comme leur nom l'indique, benthophages par nature, prenant normalement des bouchées de substrat qui sont tamisées pour en extraire les éléments comestibles, le matériau restant étant expulsé par les ouvertures branchiales et la bouche, bien qu'ils parcourent également les surfaces solides et mange aussi directement dans la colonne d'eau.

Dans l'aquarium, il convient de leur proposer une grande variété d'aliments vivants tels que des vers de vase, des artémias, des daphnies, des vers grindal, etc., complétés par des aliments séchés ou congelés coulants de bonne qualité et d'une taille suffisamment petite.
Les recettes faites maison, liées à la gélatine, contenant par exemple un mélange de nourriture pour poisson séchée, de purée de crustacés, de fruits et légumes frais, fonctionnent également bien et peuvent être découpées en bouchées à l'aide d'un emporte-pièce ou d'un petit couteau.

Attention ! : Les poissons sauvages peuvent initialement refuser ces dernières, mais apprennent normalement à les accepter avec le temps.
Dimorphisme
Les mâles adultes sont plus gros que les femelles, possèdent des nageoires légèrement plus étendues et sont plus intensément colorés.

La plupart des femelles possèdent une tache rosâtre sur le ventre qui est absente chez les mâles, bien que cela puisse ne pas être le cas chez certaines souches ornementales
Dangerosité
 
 
 Aucun
Maintenance
Population
2 minimum
Zone
Inférieure, Centrale
Ratio M/F
1 / 1
Paramètres
Température
        24      26              29      30
pH
         4      5,5            6,5      7
GH
         1       2              6       15
Brassage
Aquarium
Volume
60 l minimum (80 l recommandé)
Longueur
60 cm minimum (80 cm recommandé)
Les Llanos qui accueille Mikrogeophagus ramirezi sont un vaste système riche en biodiversité composé de prairies de savane tropicale, de plaines inondées de façon saisonnière et de forêts. Il existe des régimes climatiques annuels bien définis, avec des saisons humides et sèches distinctes et des températures élevées tout au long de l'année. L'eau y est très peu minéralisée (10 à 60 µS/cm) et le pH faible (5,1-6,5).

Un arrangement d'apparence plus naturelle pourrait consister en un substrat meuble et sablonneux avec des racines et des branches de bois placées de manière à former de nombreux endroits ombragés et des grottes, ainsi qu'un ou deux pierres plates pour fournir des sites de frai potentiels.
Comme son nom tiré de son alimentation géophage le souligne, le Rami a un besoin impératif d'un sol fin à très fin pour se nourrir. On lui réservera donc une bonne part du substrat en y incluant une "plage" de sable meuble.

L’ajout de litière de feuilles séchées sera bénéfique et entraînera la croissance de colonies microbiennes bénéfiques au fur et à mesure de la décomposition. Les feuilles constituent une source de nourriture précieuse pour les alevins, tandis que les tanins et autres acides humiques libérés par les feuilles en décomposition aident à simuler les conditions naturelles en abaissant le pH.

Des plantes aquatiques peuvent également être utilisées, mais pas obligatoires. Des plantes épiphytes pouvant pousser dans un tel décor par exemple, et d'autres à larges feuilles, comme les échinodores, pouvant servir à la ponte, peuvent parfaire l'aménagement.

La filtration, ou du moins le débit d'eau, ne doit pas être très forte et il est préférable d'éviter les changements d'eau très importants hors simulation de la saison des pluies.

L'aquarium doit être d'une grande stabilité. Le Ramirezi est, en effet, très sensible à la dégradation de son milieu. Lorsque les conditions se détériorent, il devient sensible aux maladies et son état de santé décline rapidement.

Bien qu'il soit généralement vendu comme tel, M. ramirezi n'est pas recommandé pour l'aquarium communautaire car il nécessite une eau très pure et se montre un piètre concurrent lors de l'alimentation.

Si un bac biotope est impératif, un bac partagé est cependant possible, voire souhaitable, avec un groupe de characides paisibles vivant en eau libre. Paracheirodon axelrodi et P. simulans sont deux espèces qui répondent à cette exigence. La présence de petits bancs de poissons peut aider à réduire la timidité de ce petit poisson discret (dither fishes*).

Les juvéniles sont grégaires et doivent être maintenus en groupe, mais une fois qu'ils atteignent la maturité sexuelle, ils forment des couples dont chacun s'assurera son propre territoire. L'aménagement et la taille de l'aquarium devra être pensé en conséquence.

Attention ! : M. ramirezi fait partie des cichlidés nains les plus populaires en aquariophilie.
En conséquence, il est produit commercialement en grand nombre et certaines souches ornementales ont tendance à être génétiquement faibles, sensibles aux maladies, présentent une durée de vie raccourcie et une faible vigueur reproductive et, dans de nombreux cas, seuls les mâles sont distribués.
Des hormones sont utilisées pour stimuler la production et les poissons sont généralement élevés avec des produits alimentaires séchés contenant de grandes quantités de protéines et de pigments caroténoïdes pour accélérer la croissance et intensifier la coloration.
La forme classique "German Blue", autrefois considérée comme de bonne qualité, est désormais produite en nombre et de qualité médiocre.
Bien qu'ils soient sans aucun doute d'un stock génétique supérieur, les poissons sauvages sont plus exigeants en termes de conditions d'eau et de régime alimentaire et ne conviennent sans doute qu'aux aquariophiles expérimentés. Il est donc difficile de recommander cette espèce à moins de trouver un éleveur privé réputé.


* Le terme dither fish, "poisson sentinelle" fait référence à un groupe arbitraire de poissons d'aquarium, couramment utilisé par les aquariophiles, pour aider à réduire la timidité et l'agressivité innées ainsi que pour promouvoir un comportement social normal chez les autres poissons hébergés dans le même aquarium.
Certes ils annoncent un danger, mais leur confiance en revanche, calme durablement l'ensemble du bac.

Disponibilité commerciale : Commun

Elle est commercialisée comme espèce ornementale sous sa forme sauvage depuis la Colombie. Si ces souches sont plus naturelles, elles sont aussi plus difficiles à acclimater et les paramètres acceptés sont aussi assez étroits.

Un certain nombre de souches ornementales ont été développées, notamment 'voile' et 'ballon', ainsi que des formes bleues et dorées commercialisées sous les noms de 'queue de lyre', 'veil-tail' et 'hi-fin', 'gold', 'German blue' , 'electric/neon blue', 'super neon blue gold', 'pearl/perlmutt'...
Il faut savoir que plus la souche est sélectionnée, plus elle est fragile. Elle admet cependant des paramètres de maintenance plus étendus que les souches sauvages.

Dans tous les cas, il faudra bien se renseigner sur l'origine de la souche convoitée et sur ses paramètres de maintenance et d'élevage.
Attention ! : Un fournisseur qui n'est pas capable de localiser la provenance des animaux qu'il vend n'est pas digne de confiance.
Reproduction
Type
Ovipare
Difficulté
Possible
Paramètres
Température
26 °C
pH
5,5 à 6,5
GH
2 °GH
La maturité sexuelle est déterminée par la saison des pluies.
L'espèce a une stratégie de reproduction synchrone, avec une fécondité relative de 222 ovocytes matures par gramme de poisson (Ortega-Lara et al. 2015).
La taille minimale sexuellement mature est de 2,6 cm de longueur standard. Il présente des soins parentaux, où les mâles s'occupent du nid avec les œufs (Ramírez-Gil et al. 2011).

Cette espèce est un reproducteur biparental sur substrat et il est préférable de la reproduire dans une installation dédiée sans aucun autre poisson présent.

À moins d'avoir des adultes sexables et qu'un couple soit disponible, il est préférable de commencer avec un groupe de jeunes poissons et de permettre aux couples de se former naturellement, en les séparant au fur et à mesure. Il est recommandé de les acheter auprès d'un éleveur privé réputé pour éviter les fragilités propres aux sélections répétées de l'élevage "industriel".
Les poissons produits en grand nombre ont tendance à être de mauvaise qualité et sont de piètres parents qui peuvent ne pas réussir à féconder la totalité de leurs œufs, ou peuvent simplement les consommer sans les féconder.

Le frai semble déclenché par une bonne alimentation constituée de proies vivante et des changements d'eau répétés simulant la saison des pluies. L'eau sera alors momentanément plus douce et plus fraiche.
Les œufs peuvent être très difficiles à garder si l'eau n'est pas très douce et propre, et développer des moisissures ruinant le couvain.

Les œufs sont normalement pondus sur une surface solide telle qu'une roche plate, un morceau de bois flotté, une large feuille de plante ou directement sur le verre de l'aquarium, et le frai se produit de manière typique, la femelle pondant une ou plusieurs rangées d'œufs avant que le mâle ne les fertilise, ce processus étant répété de nombreuses fois.

Les mâles et les femelles participent à parts égales aux soins du couvain et ne doivent pas être retirés.
Les jeunes couples inexpérimentés peuvent néanmoins manger leur couvain mais réussissent souvent après quelques tentatives.

L'incubation dure deux à trois jours, après quoi les alevins restent en grande partie immobiles pendant cinq jours supplémentaires, période pendant laquelle ils n'ont besoin d'aucune nourriture supplémentaire mais doivent être protégés et ventilés par les parents.

Une fois qu'ils nagent librement, il faut leur proposer des micro-vers, des infusoires et d'autres aliments microscopiques pendant les deux à trois premiers jours, après quoi des aliments plus gros tels que les nauplii d'Artemia peuvent être introduits.
Commentaires
Etymologie : Mikrogeophagus du grec μικρός (mikrós),"petit", et du nom générique Geophagus, de gea "terre " et phagein "manger" littéralement petit mangeur de terre en référence à ses habitudes géophages, et ramiretzi, de Ramirez en l'honneur de Manuel Vincent Ramirez qui a découvert ce poisson en 1947.
Le nom 'ramirezi' était déjà utilisé dans le commerce pour ce poisson avant sa description et initialement nommé Apistogramma ramirezi (1948)

Utilisation traditionnelle, scientifique et/ou commerciale :
M. ramirezi est utilisé dans les études comportementales
Références
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Pour citer cette fiche :"Mikrogeophagus ramirezi, Myers & Harry, 1948" B-Aqua / TE, GP (2023)