Poisson-hachette tacheté
Retrouvez dans cette fiche, toutes les informations sur les Gasteropelecus maculatus (Poisson-hachette tacheté) . D'où ils viennent, comment les maintenir en aquarium, comment les reproduire,...

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Taxinomie
Descripteur : Steindachner, 1879
Classe: Actinopterygii
Ordre: Characiformes
Famille:  Gasteropelecidae
Genre:  Gasteropelecus
Synonymes
Thoracocharax brevis Eigenmann, 1912
Thoracocharax maculatus (Steindachner, 1879)
Thoracocharax maculatus subsp. magdalenae Eigenmann, 1912
Thoracocharax magdalenae Eigenmann, 1912
Noms Communs
Poisson-hachette tacheté
Spotted hatchetfish (en)
Membres du genre Gasteropelecus
Gasteropelecus levis (Eigenmann, 1909)
Gasteropelecus maculatus (Steindachner, 1879)
Gasteropelecus sternicla (Linnaeus, 1758)
Origine géographique
Aire d'origine : Amérique centrale, Amérique du sud
Colombie, Équateur, Panama, Venezuela
Gasteropelecus maculatus est distribué du centre du Panama vers l'est jusqu'à Zulia, au Venezuela, et vers le sud jusqu'au moins au bassin versant de la rivière Calima dans le centre de la Colombie. Décrit également comme existant dans le cours inférieur du fleuve Amazone dans le sud de la Colombie et le bassin versant de Santiago-Cayapas dans le nord de l'Équateur, mais ces localités de collecte résultant d'une vérification.La zone d'occurrence (EOO) est estimée entre 635 800 et 938 000 km2, sur la base d'un polygone convexe minimum calculé autour d'enregistrements de collecte géo-référencés.
Environnement
Paramètres
Milieu
Douce
Température
21 à 28 °C
Gasteropelecus maculatus fréquente les ravins de sable et de boue, la végétation périphytique et macrophytes. L'eau y a un débit modéré et une profondeur de 0,60 à 0,90 m.
Cette espèce est présente dans les rivières et les ruisseaux caractérisés par une faible turbidité et des températures allant de 21 à 27,6 °C. Le substrat se compose généralement de sable et de végétation en décomposition.

La taille et la tendance de la population totale sont inconnues. Cette espèce semble peu commune dans plusieurs localités où elle est présente. Jaramillo-Villa et al . (2010) signalent cinq individus provenant de cours d'eau à moins de cinq-cents mètres d'altitude dans les Andes centrales. Seuls douze individus ont été collectés lors d'événements d'échantillonnage dans le complexe marécageux d'Ayapel, en Colombie (Avendaño et Ramírez 2017). Cette espèce était rare dans les collections prélevées dans le Bosque de Victoria, en Colombie (Rojas et al . 2016).
Dans la rivière Magdalena, on note cependant l'augmentation de l'abondance de l'espèce pendant la saison des pluies (Ortíz-Muñoz et Alvarez-León 2008).
La taille et la tendance de la population totale sont inconnues. D'après un échantillonnage limité, cette espèce semble présenter des abondances relativement faibles là où elle se trouve.
La déforestation régionale et les activités minières localisées peuvent réduire la disponibilité et la qualité de l'habitat. Cependant, il n'y a actuellement aucune indication de déclin majeur de la population. Par conséquent, cette espèce est désignée comme "Préoccupation mineure".

Les activités d'extraction de l'or en Colombie ont le potentiel d'affecter négativement l'habitat local en rejetant des charges de mercure et de sédiments dans les rivières et les ruisseaux adjacents. La pollution au mercure est particulièrement visible dans les départements d'Antioquia et de Choco. La déforestation régionale au Panama et en Colombie peut entraîner une modification de l'hydrologie, une augmentation de la sédimentation et une augmentation de l'exportation de nutriments. Dans le fleuve San Juan, cette espèce est ciblée pour approvisionner le commerce international des poissons d'ornement sans contrôle ni réglementation (Maldonado-Ocampo et al . 2012).

Bien que la portée de ces menaces n'ait pas été évaluée en détail, elles continuent de produire des déclins inférés de la qualité de l'habitat et potentiellement de la disponibilité de l'habitat.
Description
Taille
: 6 à 7 cm SL
Respiration
Branchiale
Longévité
5 à 6 ans
Régime
Carnivore
Gasteropelecus maculatus est très facile à identifier car c'est la seule espèce de la famille des Gasteropelecidae à l'ouest de l'Equateur, qui se caractérise par une forme corporelle fortement comprimée avec une large carène ventrale dans la partie antérieure du corps.
La taille maximum rapportée par Jimenez et al. (2015) était de 64 mm SL, commune à 45 mm SL. Cependant Maldonado-Ocampo et al. (2012) rapportent un TL maximum de 120 mm.

Gasteropelecus maculatus est généralement plus grand en aquarium, pour atteindre jusqu'à douze centimètres.
Ce fait semble être dû à l'absence de prédateurs en captivité et de sa longévité accrue.
Dans le milieu naturel, ces poissons-hachettes vivent dans la zone pélagique, proche de la surface de l'eau, et sont les proies faciles pour les d'oiseaux, reptiles et autres poissons piscivores.

Note : Parmi les trois genres et les neuf espèces connues dans cette famille, seuls quelques espèces apparaissent régulièrement dans le commerce aquariophile, principalement le poisson hachette marbré Carnegiella strigata, le poisson hachette tacheté Gasteropelecus maculatus les poisson-hachettes argenté sThoracocharax stellatus et Gasteropelecus sternicla, Le poisson-hachette lisse Gasteropelecus levis et le poisson-hachette géant Thoracocharax securis. Tous ces poissons sont saisonniers et un peu délicats à nourrir car prélevés en milieux sauvage, mais restent appréciés des l'aquariophiles.

La famille des Gasteropelecidae est séparée des autres Characiformes par la combinaison de caractères suivante : os frontal ondulé longitudinalement avec une forte crête longitudinale ; posttemporal et supracleithrum fusionnés en un seul os; nageoires pelviennes et os associés minuscules ; présence d'une région de ceinture pectorale musculaire élargie et fortement convexe, constituée de coracoïdes fortement élargis fusionnés à un seul os médian en forme d'éventail et ondulé ; ligne latérale s'étendant ventro-postérieurement pour approcher l'insertion de la nageoire anale ; 0-2 ou 3 écailles derrière la tête et une ou très peu d'écailles à la base de la nageoire caudale ; 10-17 rayons de la nageoire dorsale ; 22-44 rayons de la nageoire anale ; nageoire adipeuse présente chez les espèces plus grandes (celles de Gasteropelecus et Thoracocharax ), absente chez les espèces plus petites (celles de Carnegiella).
La famille des Gasteropelecidae comprend trois genres. Thoracocharax, le plus primitif et qui se distingue par son impressionnante carène, contient deux espèces, T. securis et T. stellatus. Gasteropelecus contient trois espèces, G. sternicla , G. levis et G. maculatus.
Ces deux genres contiennent la plus grande taille de poisson-hachette, et tous sont de couleur argentée; G. sternicla est la plus fréquemment rencontrée de ces cinq espèces dans le commerce.
Le troisième genre, Carnegiella, contient quatre espèces décrites qui sont les plus dérivées ou spécialisées des hachettes, et toutes sont plus petites et dépourvues de nageoire adipeuse.

On lit parfois que les hachettes sont capables de "voler" au-dessus de la surface de l'eau en battant de leurs nageoires pectorales, mais ce n'est pas le cas et le fait a été réfuté par Wiest (1995) qui a utilisé la photographie vidéo à grande vitesse pour démontrer que les nageoires pectorales sont utilisées dans quitter l'eau, mais pas tant que le poisson est dans les airs. L'action est plus précisément décrite comme un saut puissant et est en fait une réponse à la menace, réponse qui ne semble être utilisée que dans des circonstances extrêmes, comme chez de nombreux autres poissons.
F.C. Wiest a également découvert que les poissons ne semblent pouvoir sauter qu'une ou deux fois avant de devoir respecter une période de repos en raison de la grande quantité d'énergie nécessaire pour travailler les muscles massifs de la ceinture pectorale, et lorsqu'ils sont fatigués, leur réponse à la menace est comparable à celle des autres petites espèces en ce qu'elles plongent vers le substrat.
 
Régime Alimentaire
Cette espèce est spécialisée dans la capture de proies à la surface de l'eau, en particulier les insectes.
En raison de son anatomie corporelle, elle peut effectuer des sauts important hors de l'eau pour se nourrir.

Le contenu stomacal des spécimens examinés en Colombie par Maldonado-Ocampo et al. (2012) comprenaient des insectes hyménoptères, diptères et coléoptères, ainsi que des restes d'insectes non identifiés, du matériel végétal et des restes de poissons.
Ce poisson se nourrit donc de larves de diptères et aussi de quelques crustacés.

En aquarium, il appréciera les sources flottantes de protéines.
Vous pouvez leur fournir des aliments carnés congelés, lyophilisés ou vivants, comme des lombrics aquatiques, des vers de sang, des artémias, des daphnies, des larves de moustiques, des drosophiles et des tubifex. Il acceptera également parfois la nourriture en flocons.

Attention ! : En aquarium, les spécimens, souvent d'origine sauvage, ont du mal à accepter autre chose que la nourriture vivante.
le régime alimentaire se composera donc principalement d'invertébrés terrestres et aquatiques.
Dimorphisme
Les femelles ont un corps sensiblement plus rond que les mâles lorsqu'elles sont pleines d'œufs, mais en dehors des périodes de frai, il peut être difficile de différencier les deux sexes.
Dangerosité
 
 
 Aucun
Maintenance
Population
6 minimum (12 recommandé)
Zone
Supérieure
Ratio M/F
1 / 1
Paramètres
Température
        20      22              26      28
pH
         5,5      6            6,5      7
GH
         1       5              10       15
Brassage
Aquarium
Volume
200 l minimum (250 l recommandé)
Longueur
120 cm minimum
Cette espèce est présente dans les rivières et les ruisseaux caractérisés par une faible turbidité et des températures allant de 21 à 27,6 °C. Le substrat se compose généralement de sable et de végétation en décomposition.
Il est donc préférable qu'une bonne partie de la surface de l'eau soit occupée par des plantes flottantes, ce qui contribuera à rendre cette espèce craintive moins nerveuse.
Elle préfère également un peu de courant pour nager. Le reste du décor n'est pas particulièrement important.
L'espèce se plaît aussi bien dans les aquariums fortement plantées que dans les aquariums de type biotope amazonien, avec des branches de bois flotté, un substrat de sable et quelques feuilles mortes.

Particulièrement sensibles aux composés azotés (ammoniac, nitrites), ils doivent être maintenus dans aquarium parfaitement mature et stable.

Les poisson-hachettes, dont l'habitat est soumis aux variations saisonnières, sont habitués aux changements des paramètres de l'eau. La saison des pluies entrainant une eau plus fraiche, plus douce et des inondations permettant aux poissons l'exploration des branches et racines en eau acide et ambrée, riches en proies.
En bac biotope, on tâchera de reproduire ces changements dans l'aquarium à l'aide de changements d'eau et d'augmentation du courant afin de recréer au mieux les conditions de vie de l'espèce.
Pour nombre d'espèce de poissons, le respect des changements saisonniers augmentent leur longévité, évite le stress en les maladies qui en découlent, et favorisent le frai.

Très pacifique mais assez craintif, il aura du mal à rivaliser avec des espèces turbulentes pour la nourriture. En aquarium communautaire, on peut l'associer avec d'autres petits poissons qui habitent différentes parties de l'aquarium, par exemple des tétras, des cichlidés nains, des Corydoras et de petits Loricariidés. Il doit être maintenu en groupe d'au moins six individus, si possible beaucoup plus, car il ne s'épanouira pas sans la sécurité de congénères.

Le couvercle de l'aquarium doit être très bien fermé, car les Poissons-Hachettes sont capables de franchir plusieurs mètres en un seul saut.
En effet, grace à son corps profilé, il peut effectuer des sauts pour capturer des proies, pour fuir un prédateur et même, lors de la décrue afin d'échapper à l'isolement.

Attention ! : En aquarium, les spécimens, souvent d'origine sauvage, ont du mal à accepter autre chose que la nourriture vivante.
le régime alimentaire se composera donc principalement d'invertébrés terrestres et aquatiques vivants.

Il semble que les spécimens maintenus en captivité sont sensiblement plus grands (jusqu'à six centimètres) que ceux vivant en liberté.

Disponibilité commerciale : Très rare

Attention ! : Cette espèce est ciblée pour le commerce des aquariums d'ornement (Garcés et García 2007). Dans la rivière San Juan et ailleurs, il est favorisé sans contrôle ni réglementation (Maldonado-Ocampo et al . 2012).

Bien que la plupart des espèces de hachettes aient été élevées en captivité, certaines même à l'échelle commerciale, la majorité des poissons hachettes qui sont disponibles à la vente aujourd'hui sont prélevés dans la nature en Amérique du Sud.

On veillera donc à s'assurer de la provenance des poissons convoités pour ne pas ajouter une cause à leur déclin dans le milieu naturel.
Reproduction
Type
Ovipare
Difficulté
Difficile
Paramètres
Température
22 à 26 °C
pH
5,5 à 6,5
GH
2 à 8 °GH
Les poisson-hachettes déposent leurs œufs sur des plantes flottantes, mais hormis cela, et bien que la plupart des espèces de hachettes aient été élevées en captivité, on ne sait pas grand-chose sur leurs habitudes de reproduction.
Selon certains rapports, une eau douce au pH faible et une alimentation riche en insectes favorisent le frai.

On peut supposer que ces poissons, dont l'habitat est soumis aux variations saisonnières, sont aussi conditionnés par les changements des paramètres de l'eau. La saison des pluies entrainant une eau plus fraiche, plus douce et des inondations permettant aux poissons l'exploration des branches et racines en eau acide et ambrée, riches en proies.
Commentaires
Etymologie : Gasteropelecus du latin gaster, gasteris du grec ancien γαστήρ, gastêr, "ventre" et pelecus du grec pelekys "hachette", et maculatus "maculé" (tacheté).
Références
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Pour citer cette fiche :"Gasteropelecus maculatus, Steindachner, 1879" B-Aqua / TE, GP (2023)