Physe voyageuse
C'est vraisemblablement la physe la plus répandue dans nos aquarium. Elle s'y installe durablement après y avoir été introduite avec des plantes, le plus souvent sous la forme d'oeufs.

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Physella acuta
Taxinomie
Descripteur : Draparnaud, 1805
Classe: Gastropoda
Ordre: Basommatophora
Famille:  Physidae
Genre:  Physella
Synonymes
Aplecta orbignyi Mazé, 1883
Aplecta rivalis (Maton & Rackett, 1807)
Aplexa (Stenophysa) orbignyi Mazé, 1883
Aplexa rivalis (Maton & Rackett, 1807)
Bulinus acutus (Draparnaud, 1805)
Bulinus acutus subsp. normalis H.Beck, 1838
Bulla rivalis Maton & Rackett, 1807
Costatella acuta (Draparnaud, 1805)
Haitia acuta (Draparnaud, 1805)
Haitia cubensis (L.Pfeiffer, 1839)
Haitia integra (Haldeman, 1841)
Haitia mexicana (Philippi, 1841)
Limnaea ambigua Pease, 1870
Limnaea compacta Pease, 1870
Lymnaea heterostropha Say, 1817
Physa achaiae Westerlund, 1881
Physa acroxa Fagot, 1883
Physa acuta Draparnaud, 1805
Physa acuta var. bulla Schlesch, 1907
Physa acuta var. castanea Schlesch, 1907
Physa acuta var. fusca Kobelt, 1880
Physa acuta var. gibbosa Moquin-Tandon, 1843
Physa acuta var. major Locard, 1880
Physa acuta var. minima Cockerell, 1889
Physa acuta var. minor Bourguignat, 1864
Physa acuta var. minor Moquin-Tandon, 1855
Physa acuta var. septentrionalis Kobelt, 1880
Physa acuta var. subacuta Moquin-Tandon, 1855
Physa acuta var. thermalis Boettger, 1913
Physa acuta var. ventricosa Moquin-Tandon, 1855
Physa anatina I.Lea, 1864
Physa ancillaria subsp. crassa B.Walker, 1901
Physa ancillaria var. crassa B.Walker, 1901
Physa balteata Preston, 1907
Physa berendti Strebel, 1874
Physa berendti var. intermedia P.Fischer & Crosse, 1886
Physa billingsii Heron, 1880
Physa borbonica Férussac, 1827
Physa borbornica Férussac, 1827
Physa brevispira I.Lea, 1864
Physa burriana Kobelt, 1880
Physa buschii Küster, 1850
Physa caliban Vanatta, 1911
Physa californica Coen, 1945
Physa castanea Lamarck, 1822
Physa castanea var. globosa Germain, 1903
Physa charpentieri Küster, 1850
Physa crandalli F.C.Baker, 1906
Physa cubensis L.Pfeiffer, 1839
Physa cupreonitens Cockerell, 1889
Physa dilucida Locard, 1893
Physa distinguenda Tryon, 1865
Physa dorbigniana I.Lea, 1866
Physa elliptica var. minor Benoit, 1875
Physa fontana Haldeman, 1841
Physa forsheyi I.Lea, 1864
Physa forsheyi subsp. grosvenorii I.Lea, 1864
Physa fuerteventurae Mousson, 1872
Physa gallica Locard, 1893
Physa gibbosa var. rubella Germain, 1903
Physa gomerana Mousson, 1872
Physa grancanariae Mousson, 1872
Physa grosvenorii I.Lea, 1864
Physa halei I.Lea, 1864
Physa havanensis Clench, 1936
Physa heterostropha (Say, 1817)
Physa heterostropha var. alba Crandall, 1901
Physa heterostropha var. callosa Rigacci, 1866
Physa heterostropha var. gibbosa Rigacci, 1866
Physa heterostropha var. minor Rigacci, 1866
Physa heterostropha var. penicillata Hemphill, 1890
Physa humerosa subsp. interioris Ferriss, 1920
Physa humerosa subsp. interioris Pilsbry, 1932
Physa inflata I.Lea, 1841
Physa integer
Physa integer subsp. billingsii Heron, 1880
Physa integra Haldeman, 1841
Physa integra Haldeman, 1841
Physa lata Tryon, 1865
Physa mamoi Benoit, 1875
Physa marci F.C.Baker, 1924
Physa martorelli Servain, 1880
Physa massoti Locard, 1893
Physa mediana Dupuy, 1850
Physa mexicana Philippi, 1841
Physa mexicana var. acutissima P.Fischer & Crosse, 1886
Physa mexicana var. conoidea P.Fischer & Crosse, 1886
Physa mexicana var. minima E.von Martens, 1865
Physa mexicana var. minor Strebel, 1874
Physa mexicana var. ovalis E.von Martens, 1865
Physa mexicana var. parva E.von Martens, 1865
Physa mexicana var. plicata P.Fischer & Crosse, 1886
Physa mexicana var. tolucensis Crosse & P.Fischer, 1878
Physa michiganensi Clench, 1926
Physa nana Potiez & Michaud, 1838
Physa niagarensis I.Lea, 1864
Physa oneida F.C.Baker, 1919
Physa palmaensis Mousson, 1872
Physa parva I.Lea, 1864
Physa perrisiana Dupuy, 1849
Physa philippii Küster, 1844
Physa pisana Issel, 1866
Physa plicata De Kay, 1843
Physa polakowskii Clessin, 1886
Physa politissima Tryon, 1865
Physa primeana Tryon, 1865
Physa rhomboidea Crandall, 1901
Physa rivalis (Maton & Rackett, 1807)
Physa rivularia Dupuy, 1849
Physa saintsimonis Fagot, 1883
Physa salteli Locard, 1893
Physa sayi Blainville, 1826
Physa seychellana E.von Martens, 1869
Physa solida Philippi, 1841
Physa solidior A.Costa, 1882
Physa sparsestriata Tryon, 1865
Physa strebeli Crosse & P.Fischer, 1882
Physa striata I.Lea, 1864
Physa striata Menke, 1828
Physa subopaca Lamarck, 1822
Physa subopaca var. minor Pallary, 1920
Physa subopaca var. nilotica Pallary, 1902
Physa syriaca Germain, 1911
Physa tehuantepecensis Crosse & P.Fischer, 1882
Physa tenerifae Mousson, 1872
Physa tenerifae var. fuerteventurae Mousson, 1872
Physa tenerifae var. gomerana Mousson, 1872
Physa tenerifae var. grancanariae Mousson, 1872
Physa tenerifae var. palmaensis Mousson, 1872
Physa tenuissima I.Lea, 1864
Physa virgata A.Gould, 1855
Physa walkeri Crandall, 1901
Physa winnipegensis (Pip, 2004)
Physella acuta (Draparnaud, 1805)
Physella cubensis (L.Pfeiffer, 1839)
Physella heterostropha (Say, 1817)
Physella integra (Haldeman, 1841)
Physella mexicana (Philippi, 1841)
Physella sayi (Tappan, 1839)
Physella virgata (Gould, 1855)
Physella winnipegensis Pip, 2004
Physopsis letourneuxi Bourguignat, 1879
Physopsis lhotellerii Bourguignat, 1879
Physa heterostropha subsp. heterostropha
Physa heterostropha subsp. nigricans
Physa rivalis var. minor d'Orbigny, 1837
Physa rivalis var. rivalis
Noms Communs
Physe voyageuse
Physe pointue
Physe européenne
Acute Bladder Snail (en)
European Physa (en)
Spitze Blasenschnecke (all)
Membres du genre Physella
Physella acuta (Draparnaud, 1805)
Physella gyrina (Say 1821)
Origine géographique
Aire d'origine : Amérique du nord, Europe, Caraïbes
cosmopolite
Si Physella acuta est originaire d'Amérique du Nord et des Antilles, elle est aujourd'hui répartie mondialement. Elle serait arrivé au cours du 17ème siècle en Europe avec le commerce français du coton ou les premières plantes exotiques rapportées d'Amérique.

L'espèce est répandue en Europe, où on la trouve dans de nombreux pays, dont la Suède, la Grande-Bretagne (Royaume-Uni), les îles anglo-normandes (Royaume-Uni), l'Irlande du Nord (Royaume- Uni), les Pays-Bas, la Belgique, le Luxembourg, la France (continentale), la Corse (France), Allemagne, Suisse, Autriche, République tchèque, Slovaquie, Hongrie, Îles Canaries (Espagne), Açores (Portugal), Îles de Madère (Portugal), Italie (continentale), Sardaigne (Italie), Sicile (Italie), Malte, Bulgarie, Chypre , Roumanie, Andorre, Îles Baléares (Espagne), Espagne (Continent), Portugal (Continent), Albanie, Slovénie, Croatie et Macédoine, Monténégro, Ukraine, Grèce (Continent), Nord Egée Est. (Vóreion Aiyáion); Grèce. Il a également été signalé dans l'ancien pays de Yougoslavie (pays actuel inconnu).

Les données sur la population mondiale ne sont pas disponibles, mais l'aire de répartition de l'espèce est en expansion. Elle est considérée comme holartique, et donc non limité à l'Europe.

Bien que cette espèce n'ait été signalée que très récemment en Inde (Pune, Maharashtra), le grand nombre d'exemples recueillis suggèrent sa présence abondante dans la rivière Yamuna à Delhi.
Environnement
Paramètres
Milieu
Douce, Saumâtre
Physa acuta vie les eaux douces calmes, les méandres de rivières, les bords de lacs, les étangs, les mares, canaux et les marais, principalement en plaine (jusqu'à 800m d'altitude). Elle est tolérante à l'eutrophisation et à la pollution. Elle supporte également une légère salinité, et en Irlande, a été trouvée dans des zones de prés-salés.

L'espèce est sociale et peut être observée dans les zone de recoupement avec Thiara scabra.
Cette espèce est répandue dans toute l'Europe, il n'y a pas de menaces majeures connues et sa population pourrait même être en expansion. Par conséquent, il est évalué comme "Préoccupation mineure" (LC) au niveau européen et au niveau des vingt-sept États membres de l'Union européenne.
Description
Taille
: 1 à 1,7 cm SL  
: 0 cm SL
Respiration
Pulmonaire, Cutanée
Longévité
2 à 4 ans
Régime
Autre
La coquille est ovoïde et allongée, avec quatre à cinq spirales convexes dont le dernier tour forme les deux tiers de la coquille. Restant de petite taille, c'est à dire de 10 à 17 mm de long, le diamètre le plus gros est d'environ 7 à 10 mm. Le test est solide mais mince, de couleur grise ou fauve, parfois violacé au dernier tour, quasiment lisse et brillant.

Comme toutes les physes, la coquille de la physe voyageuse est sénestre, c’est-à-dire qu’elle tourne vers la gauche. Elle compte de 3 à 4 spires dont la dernière représente plus des trois quarts de la longueur totale. La longueur de la coquille varie de 8 mm à 12 mm pour une largeur comprise entre 4 et 7 mm. De couleur brune, elle est localement parsemée de taches dorées. On peut la distinguer des autres membres du genre grâce à son apex plutôt pointu (contrairement à Physa fontinalis). Elle est plus petite que Physa marmorata.

Le corps est brun grisâtre et la bouche de couleur rose. Elle ne possède pas d'opercule.

Note : Les physes sont des escargots pulmonés, mais dans un milieu suffisamment riche en oxygène l'absorption peut être cutanée.

Attention ! : L'espèce est placée dans le genre Physella selon MolluscaBase (2021).
Taylor (2003) a transféré Physella acuta au genre Haitia Clench & Aguayo, 1932 et ce nom générique est maintenant utilisé par Fauna Europea (Bank et al, 2006)
 
Régime Alimentaire
Cette physe se nourrit d'algues vertes, de biofilm et de détritus. Elle ne se nourrit pas de plantes en bonne santé.

Les physes ont un régime détritivore, et se nourrissent de bactéries, d’algues microscopiques qui prolifèrent sur les plantes subaquatiques, de détritus végétaux voire occasionnellement des plantes subaquatiques elles-mêmes. Elles sont à ce titre utilisées en aquariophilie puisqu’elles débarrassent les aquariums du surplus de nourriture donnée aux poissons, des feuilles abîmées et des algues.

Toutefois, n'espérez pas résoudre une invasion d'algue avec elles, car leur appétit est proportionnel à leur taille.
Dimorphisme
Les physes sont hermaphrodites.
Dangerosité
 
 
 Aucun
Les escargots d’eau douce sont réputés pour servir d’hôtes à des vers parasites, dont certains peuvent induire des pathologies humaines ou aviaires.
On peut notamment citer les trématodes, dont les larves utilisent les mollusques en tant qu’hôte intermédiaire au cours de leur cycle de croissance et d’infestation future d’un hôte définitif (douves et schistosomes parmi les principaux intervenants dans les pathologies humaines). Des travaux de recherche ont par exemple été menés sur l’existence (d’ailleurs finalement non avérée) d’une intervention de Physella acuta dans la transmission de la grande douve du foie Fasciola hepatica.
Maintenance
Population
1 minimum (2 recommandé)
Zone
Inférieure, Centrale, Supérieure
Paramètres
Température
        1      10              25      28
pH
         5,5      6            7,5      8
GH
         3       6              20       30
Brassage
Aquarium
Volume
10 l minimum
Les physes sont rarement "maintenues" en aquarium, mais leur présence spontanée est une bénédiction pour l'aquariophile. Il n'y a théoriquement rien à faire pour les voir proliférer si le milieu leur est favorable.

Si les physes arrivent toutes seules dans un aquarium, en général sous forme d'oeufs accrochés aux plantes, beaucoup d'aquariophiles n'hésitent pas à les importer dans un nouveau bac. En effet, les physes participent à l'élimination des feuilles mortes qui ne manquent pas avant le reprise des plantes.

Une fois l'aquarium équilibré, ces auxiliaires aquariophiles se chargeront de limité les algues en en consommant une partie, et la nourriture en excès.

En tant qu’escargots pulmonés, les physes viennent régulièrement respirer l'air atmosphérique à la surface, mais l’essentiel de l’oxygène consommé est absorbé directement au niveau du manteau. Ce sont donc des escargots à surveiller comme indicateurs de l'oxygénation de l'eau ou de l'excès de CO2 dans le cas d'injection artificielle.

Les physes se régulent seules. Leur présence en grand nombre indique un déséquilibre, généralement un excès de nourriture disponible. Il peut s'agir de nourrissage excessif ou de mauvaise santé des plantes qui produisent alors des déchets végétaux .
Attention ! : Certains aquariophiles débutants croient alors que ce sont les physes qui mangent les plantes et les abiment. Ce n'est pas le cas. Les escargots sont la solution, pas le problème !

Dans le cas contraire, lorsque les physes disparaissent, on peut s'inquiéter. Il peut s'agir d'une pollution, mais il peut s'agir de poisson, d'arthropodes ou d'escargots molluscivores, ou du manque de détritus. Les physes n'apprécient pas un aquarium trop propre.

La qualité de l'eau n'a que peu d'importance, mais elle sera de préférence fraiche et peu brassée. Néanmoins, un eau assez dure favorisera sa croissance en lui apportant le carbonate de calcium nécessaire à la formation de sa coquille.

Si elles peuvent survivre dans un bocal, on leur réservera tout de même un bac de taille suffisante pour qu'elles n'aient pas à souffrir de la faim. Un aquarium dédié aux crevettes est l'idéal.
On évitera la présence d'écrevisses, d'Anentome helena et bien sûr de poissons friands de mollusques si on ne veut pas voir leur population disparaitre.

Disponibilité commerciale : Commun

Contrairement aux idées copiées et recopiées sur la plupart des sites d'aquariophilie, ce n'est pas Physa marmorata que l'on retrouve dans nos aquarium, mais bien Physa acuta.

Elles sont très rarement proposées à la vente, mais cela peut arriver. Elles arrivent généralement gratuitement, qu'on le veuille ou non, avec les premières plantes, vivantes ou sous forme de grappes d’œufs. On peut parfois en voir se promener dans les bacs de vente de plantes et demander aux vendeurs de les ajouter dans votre sac de plantes.
Reproduction
Type
Ovipare
Difficulté
Courante
Comme de leurs cousins les escargots terrestres, les physes sont hermaphrodites, chaque individu est donc à la fois mâle et femelle.
Dans le cas des physes, un accouplement (reproduction bigame) n'est pas obligatoire. Elles peuvent ainsi pondre spontanément (autogame): c'est une reproduction par parthénogénèse.
Cette physe semble avoir une reproduction bigame prédominante contrairement à Physa marmorata.

Physa acuta est hermaphrodites, mais la fonction mâle est légèrement plus précoce que la fonction femelle. Chaque individu peut pondre de cinquante à cent œufs par semaine dès sa maturité sexuelle.
Ces escargots privilégient la reproduction bigame, et peuvent conserver le sperme d'autres individus pendant une longue période, mais en cas d'isolement, ils peuvent pratiquer l'autofécondation.
Les pontes sont des masses gélatineuses mesurant de 4 à 20 mm de long sur 2.5 à 5 mm de large, collées sur toutes les surfaces durs (vitres, feuilles, racines, pierres...). Les oeufs sont de petits diamètre, environ 1 mm, avec une forme ovoïde. Selon la température, les jeunes, d'une taille de 0.5 à 0.7 mm, en sortent après 15 à 20 jours.
Ces jeunes deviendront adultes en un an et demi pour atteindre la maturité sexuelle.
Commentaires
Etymologie : Physa, du grec [physa] : "gonflement", et acuta du latin "pointue" (qui se termine en pointe), caractéristique de l'espèce.
Références
GBIF, IUCN
- Anderson, R. 2003. Physella (Costella) acuta Draparnaud en Grande-Bretagne et en Irlande - sa taxonomie, ses origines et ses relations avec d'autres Physidae introduits. Journal of Conchology, 38(1):: 7-21.
- Bank, R., von Proschwitz, T. et Falkner, G. 2006. Manuscrit non publié de la section mollusca du site Web Fauna Europea (http://www.faunaeur.org) .
- Brown, DS 1994. Escargots d'eau douce d'Afrique et leur importance médicale . Taylor & Francis, Londres.
- Dillon, RT, Wethington, AR, Rhett, JM et Smith, TP 2002. Les populations de la Physa acuta pulmonaire européenne ne sont pas isolées sur le plan reproductif de la Physa heterostropha ou de la Physa integra américaine . Biologie des invertébrés 121(3) : 226-234.
- Ghamizi, M. 1998. Les Mollusques des eaux continentales du Maroc : Systématique et Bioécologie. Faculté des Sciences Semlalia, Université Cadi Ayyad.
- Gittenberger, E., Janssen, A., Kuijper, W., Kuijper, J., Meyer, T., Van Der Velde, G., De Vries, J. et Peeters, G. 2004. De Nederlandse zoetwatermollusken. Recente en fossiele weekdieren uit zoet en brak water . National Natuurhistorisch Museum Naturalis, Leiden.
- Kantor, Y., Vinarski, M., Schileyko A. et Sysoev, A. 2010. Catalogue des mollusques continentaux de Russie et des territoires adjacents.
- Semenchenko, V., Laenko, T. et Razlutskij, V. 2008. Un nouveau signalement du gastéropode nord-américain Physella acuta (Draparnaud 1805) du bassin de la rivière Neman, en Biélorussie. Invasions aquatiques 3(3) : 359-360.
- Subba Rao, NV 1989. Manuel : Mollusques d'eau douce de l'Inde . Enquête zoologique de l'Inde, Culcutta.
- Taylor, DW 2003. Introduction aux Physidae (Gastropoda : Hygrophila); biogéographie, classification, morphologie. Revista de Biologie Tropical Suppl. 1 : 1-287.
- Van Damme, D. 2011. Haitia acuta (évaluation Europe) . La Liste rouge de l'UICN des espèces menacées 2011
- Van Damme, D., Ghamizi, M., Seddon, MB, Budha, PB, Dutta, J. & Cordeiro, J. "Haitia acuta" . Liste rouge de l'UICN des espèces menacées 2017
- Van Damme, D (éd.). 1984. Les mollusques d'eau douce d'Afrique du Nord : distribution, biogéographie et paléoécologie. Dans : Dumont, Henri (ed.), Developments in Hydrobiology , pp. 164. Dr. W. Junk Publishers, Dordrecht.
- Wethington, AR et Lydeard, C. 2007. Une phylogénie moléculaire des physidae (Gastropoda : Bassomatophora) basée sur des séquences d'ADN mitochondrial. Journal d'études sur les mollusques 73 : 241-257.

Pour citer cette fiche :"Physella acuta, " B-Aqua / TE, GP (2023)