B-Aqua - Laubuka laubuca

Laubuka laubuca

Fiche crée par :
Grand Père le 20/05/2024 07:42:27

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Grand Père le 11/11/2024 07:41:32
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Danio de verre du Bengal

Sa couleur bleu-vert irisée et sa rusticité sont les principales raisons pour laquelle il a trouvé sa place dans la liste des poissons d'aquarium tropicaux les plus recherchés.
Assez grand, il demande cependant un aquarium "rivière" d'assez grande taille.

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Taxinomie

Descripteur : Hamilton, 1822

Classe: Actinopterygii

Ordre: Cypriniformes

Famille: Cyprinidae

Genre: Laubuka

Synonymes

Chela huae (Tirant, 1883)

Chela labauca (Hamilton, 1822)

Chela labuca (Hamilton, 1822)

Chela laubuca (Hamilton, 1822)

Clupea huae Tirant, 1883

Cyprinus laubuca Hamilton, 1822

Danio menoni Barman, 1986

Laubuca guttatus (McClelland, 1839)

Laubuca laubuca (Hamilton, 1822)

Leuciscus laubuca (Hamilton, 1822)

Perilampus fulvescens Blyth, 1860

Perilampus guttatus McClelland, 1839

Perilampus laubuca (Hamilton, 1822)

Noms Communs

Danio de verre du Bengal

Laubuca bleu

Poisson hachette indien

Laubuca (bengali)

Layubuka (bengali)

Blue laubuca (en)

Bankoe (oriya)

Barle (kannada)

Malli (kannada)

Beckichela (bengali)

Chapkhowari (bengali)

Chep chela (bengali)

Dankena (bengali)

Membres du genre Laubuka

Laubuka laubuca (Hamilton, 1822)

Laubuka fasciata (Silas, 1958)

Laubuka caeruleostigmata (Smith, 1931)

Laubuka dadiburjori (Menon, 1952)

Origine géographique

Aire d'origine : Asie
Bangladesh, Inde, Myanmar, Népal, Sri Lanka

Probablement endémique au nord de l'Inde, au Bangladesh et au Népal, Laubuka laubuca se rencontre dans toute l'Inde (Au Bengale occidental, Odisha, Madhya Pradesh, région du Nord-Est, Assam (système de drainage du Brahmapoutre et du Barak), au Sri Lanka et à Myitkyina, au Myanmar.
Sa présence dans le sud de l’Inde, au Sri Lanka et au Myanmar doit être confirmée.
En effet, les mentions du Sri Lanka, du sud de l'Inde, du Myanmar, de la Thaïlande, du Laos, du Cambodge, du Vietnam, de la Malaisie et de l'Indonésie semblent représenter d'autres espèces

La localité type est "les étangs des parties nord du Bengale".

Note : Bien que traditionnellement considérée comme présente dans tout le sous-continent indien et dans la majeure partie de l’Asie du Sud-Est, il semble que l’espèce pourrait être limitée au système fluvial Gange-Brahmapoutre. Par exemple, trois nouvelles espèces de Laubuka ont été décrites au Sri Lanka en 2008, qui auraient pu toutes être appelées L. laubuca dans le passé. Le nom L. siamensis a également été re-validé et est actuellement utilisé pour désigner les populations du bassin versant du Mékong en Thaïlande, au Laos, au Cambodge et au Vietnam, ainsi que le bassin de Chao Phraya et d'autres systèmes fluviaux en Thaïlande et en Malaisie péninsulaire. Le statut taxonomique des populations du sud de l’Inde et du Myanmar reste à préciser.

Asie : Pakistan, Inde, Bangladesh, Sri Lanka, Myanmar, péninsule malaise et Indonésie (Talwar, P.K. and A.G. Jhingran, 1991. Inland fishes of India and adjacent countries. vol 1. A.A. Balkema, Rotterdam.). Signalé au Népal (Shrestha, J., 1994. Fishes, fishing implements and methods of Nepal. Smt. M.D. Gupta, Lalitpur Colony, Lashkar (Gwalior), India.) et en Indochine (Kottelat, M., A.J. Whitten, S.N. Kartikasari and S. Wirjoatmodjo, 1993. Freshwater fishes of Western Indonesia and Sulawesi. Periplus Editions, Hong Kong) ; Bassins du Mékong et du Chao Phraya (Kottelat, M. , 2001. Poissons du Laos. WHT Publications Ltd., Colombo 5, Sri Lanka. ).

Environnement

Paramètres

Milieu

Douce

Laubuka laubuca fréquente la zone de profondeur moyenne des ruisseaux, des étangs et des réservoirs. Il est présent dans les zones peu profondes et relativement profondes des cours d’eau, à la fois dans les eaux calmes et à courant relativement rapide.
Il forme des bancs de quinze à trente individus et fraie au crépuscule ou à l'aube dans les eaux peu profondes (Pethiyagoda, R., 1991), et dans les zones humides infestées de mauvaises herbes

Cette espèce se reproduit librement dans les étangs, les réservoirs et les petits ruisseaux, et dans ces habitats, on la trouve en grand nombre.

Dans le bassin de la rivière Nilwala, Laubuka laubuca a été enregistré dans la localité type de Devario pathirana, qui comprenait un ruisseau à faible pente s'écoulant lentement sur de l'argile latéritique. En 1990, sa largeur était comprise entre quatre et huit mètres et sa profondeur jusqu'à trois mètres, bien que sur une grande partie du tronçon échantillonné, la profondeur moyenne n'était que de dix centimètres à un mètre cinquante.
Le substrat était composé de petits rochers de grès lisses entrecoupés de parcelles de sable ou de limon et l'eau était très claire. La végétation émergente était composée d' espèces Aponogeton et Lagenandra, tandis qu'une grande partie des terres environnantes avait été consacrée aux plantations de riz, de thé ou de cocotiers.
Les espèces sympatriques En écologie, deux espèces ou populations sont dites sympatriques quand on les trouve dans la même zone géographiquecomprenaient Devario pathirana, Puntius bimaculatus, P. kamalika (probable), P. vittatus, Pethia nigrofasciata, Dawkinsia singhala (probable, identifié comme D. filamentosa en 1990), Systomus pleurotaenia, S. sarana, Rasboroides vaterifloris, Rasbora dandia (probable, identifié comme R. daniconius en 1990), Awaous grammepomus, Sicyopus jonklaasi et Ompok ceylonensis (probable, identifié comme O. bimaculatus en 1990).

Dans le Sungai Batang, un affluent du système Beris dans l’État de Kedah, au nord de la péninsule malaise, l'espèce vit aux côtés de Homaloptera smithi, Cyclocheilichthys apogon, Barbodes binotatus, B. lateristriga, Garra cambodgiensis, Devario regina, Homaloptera orthogoniata, Laubuka laubuca, Crossocheilus oblongus, Glyptothorax major, Rasbora sumatrana et Mystacoleucus obtusirostris.
L'eau est assez peu profonde (inférieure à deux mètres de profondeur), à débit modéré et le substrat est composé de sable et de galets recouvert de bois submergé et d'autres débris. Aucune plante aquatique n'est présente bien que la rivière traverse une section de forêt primaire de basse altitude, ce qui ajoute probablement un abri.

Laubuka laubuca est largement réparti et sans menace majeure à grande échelle. Son utilisation comme poisson d’ornement pourrait cependant constituer une menace pour l’espèce à l’avenir.
Il est classé dans la catégorie "Préoccupation mineure".

Description

Taille

: 8 à 9 cm SL

: 9 à 10 cm SL

Respiration

Branchiale

Longévité

6 à 8 ans

Régime

Carnivore

Sa couleur bleu-vert irisée et sa rusticité sont la principale raison pour laquelle il a trouvé sa place dans la liste des poissons d'aquarium tropicaux les plus recherchés et est actuellement élevé comme poisson d'aquarium en Inde.
Longueur max : 10,5 cm TL mâle/non sexé, maximum. poids publié : 10,40 g (Hossain, 2012)

L. laubuca se distingue de tous les autres membres du genre par les caractères suivants : présence d'une tache humérale sombre et d'une autre sur le pédoncule caudal, reliées par une fine bande sombre qui sur la partie antérieure du corps peut n'être que faiblement visible ; pas de tubercule dense sur la mâchoire inférieure ; profondeur du corps 29-32% SL ; 17 à 19 rayons ramifiés de la nageoire anale ; 31 à 37 écailles de lignes latérales ; 6 à 9 rangées d'écailles au-dessus de la ligne latérale ; 15-21 écailles prédorsales.

Anciennement du genre Laubuca, maintenant du genre Laubuka. Hamilton (1822) a décrit Cyprinus laubuca. Banarescu (1968) l'a traité sous le genre Chela. L'espèce appartient désormais au genre Laubuca Bleeker (Pethiyagoda et al. 2008 et Fang et al. 2009).

Le nom L. siamensis a également été re-validé et est actuellement utilisé pour désigner les populations du bassin versant du Mékong en Thaïlande, au Laos, au Cambodge et au Vietnam, ainsi que le bassin de Chao Phraya et d'autres systèmes fluviaux en Thaïlande et en Malaisie péninsulaire. Les deux espèces se distinguent par leur motif de couleur. L. siamensis possède une bande médio-latérale noire (bleu irisé chez les spécimens vivants) sur la partie postérieure du corps, qui se termine par une tache de forme ovale (vs arrondie chez L. laubuca ) sur le pédoncule caudal. Il y a une série de légères marques verticales à la place de la bande sur la partie antérieure du corps, et la marque humérale est orientée verticalement et non ocellée (vs arrondie et ocellée chez L. laubuca ).
La bande postérieure de L. siamensis est bien présente et n'est interrompue par aucune marque verticale (par rapport à la bande sombre moins visible, beaucoup plus fine et interrompue par des marques verticales irrégulières sur tout le corps chez L. laubuca ). Certains individus que nous incluons actuellement sous le nom de L. laubuca ne semblent cependant pas posséder de bande sombre.

Régime Alimentaire

Grace à une étude de Epa et Narayana (2024) on sait que L. laubuca est un carnivore qui préfère les euglénoïdes, les rotifères, les larves d'insectes, les larves de crustacés, les larves d'arachnides et les macro-zoobenthos qui sont très abondants dans l'habitat des cours d'eau étudiés.

Dans l'aquarium, il acceptera des aliments séchés de taille appropriée, mais il faudra également lui proposer régulièrement des daphnies, des artémies, des larves de chironomes... il consomme également des plantes.

Attention ! : Un prédateur a tendance à trop manger si la nourriture est facile à saisir, il faut le nourrir seulement trois fois par semaine afin d'éviter des dommages de croissance, sauf à ne lui fournir que du vivant.
Un prédateur doit impérativement chasser pour son bien-être. Manger à sa faim ne suffit pas, il faut qu'il participe activement à la recherche et à la prise des proies afin d'attiser son instinct. Manger une nourriture morte n'aboutit qu'à une "clochardisation" préjudiciable à sa santé aussi bien mental que physique.
Un ou plusieurs jours de jeûne sont nécessaires à une croissance harmonieuse.

Dimorphisme

Les femelles adultes ont un corps sensiblement plus profond et sont généralement légèrement plus grandes que les mâles.

Dangerosité

Aucun

Maintenance

Population

10 minimum (20 recommandé)

Zone

Supérieure

Ratio M/F

1 / 1

Paramètres

Température

18 20 24 26

6 6,5 7,5 8

2 4 8 10

Brassage

Aquarium

Volume

250 l minimum (300 l recommandé)

Longueur

120 cm minimum (150 cm recommandé)

Laubuka laubuca fréquente la zone de profondeur moyenne des ruisseaux, des étangs. Il est présent dans les zones peu profondes et relativement profondes des cours d’eau, à la fois dans les eaux calmes et à courant relativement rapide. Il forme des bancs de quinze à trente individus et fraie au crépuscule ou à l'aube dans les eaux peu profondes (Pethiyagoda, R., 1991), et dans les zones humides infestées de mauvaises herbes

Cette espèce facile à maintenir appréciera la plupart des grands aquariums bien entretenus, mais il est préférable de la maintenir dans une configuration conçue pour ressembler à une rivière ou à un ruisseau à débit lent, avec un substrat de roches de taille variable, de gravier et de gros rochers usés par l'eau.
Le décor peut être complété par des branches de bois flotté et des plantes aquatiques telles que Microsorum, Bolbitis ou Anubias spp. peut être cultivé attaché au décor. Dans ce type d’environnement, il affichera un comportement plus naturel et pourra être gardé aux côtés d’autres espèces bénéficiant de conditions similaires.
On choisira donc un bac de type rivière (long et peu profond).

Comme beaucoup de poissons qui vivent naturellement dans les eaux courantes, il ne tolère pas l’accumulation de déchets organiques et a besoin d’une eau propre à tout moment pour prospérer.
La filtration sera efficace sans provoquer de courant excessif. Le flux gagnera à être saisonnièrement augmenté pour simuler la saison des pluies.

L'éclairage sera surtout choisi en fonction des plantes cultivées.
L'aquarium doit également être doté d'un couvercle bien ajusté puisque cette espèce est un sauteur accompli.

Ce n'est pas un poisson agressif et peut être gardé avec de nombreux cyprinidés, loches, cichlidés, poissons-chats et characins partageant le même milieu.

Il s'agit d'une espèce de banc et devrait idéalement être conservée dans un groupe d'au moins dix spécimens, voire plus, ce qui non seulement rendra le poisson moins nerveux, mais se traduira par une présentation plus efficace et plus naturelle.

Attention ! : Les micro-prédateurs comme les Laubuka spp., ont besoin de chasser pour leur bien-être. Il est impératif de leur fournir régulièrement des proies vivantes afin d'attiser leur instinct.
Ne les nourrir qu'avec des paillettes sèches ou même des proies surgelées, conduit à une "clochardisation " délétère.

Disponibilité commerciale : Disponible

Occasionnellement importé dans le commerce des aquariums (Rainboth, W.J., 1996) il est assez populaire à des fins ornementales (Arunachalam, et al., 2000).

Il peut souffrir de surexploitation car il est couramment collecté. Son exploitation comme poisson d’ornement pourrait constituer une menace pour l’espèce à l’avenir, comme c'est déjà le cas au Bengal.

Il est actuellement élevé comme poisson d'aquarium en Inde et on choisira préférentiellement d'acquérir ceux-ci afin de ne pas favoriser les prélèvements sauvages.

Attention ! : Compte tenu de la répartition de L. siamensis , il semble probable que la plupart des poissons sauvages entrant dans le commerce des aquariums soient cette espèce et non L. laubuca.

Reproduction

Type

Ovipare

Difficulté

Courante

Paramètres

Température

18 à 24 °C

6,5 à 7,5

2 à 6 °GH

Les Laubuka sont des disperseurs d'œufs typiques et ne présentent pas de soins parentaux.
Les œufs sont apparemment déposés par lots d'environ trente, les poissons ayant tendance à frayer à l'aube ou au crépuscule (Riehl, R. et HA Baensch, 1991).. L'incubation dure environ vingt-quatre heures.

Le frai est sans doute déclenché par la saison des pluies et l'accès à une nourriture abondante.
En conséquence, des changements d'eau et l'apport d'une nourriture vivante et abondante favoriseront la reproduction.

Commentaires

Etymologie : Laubuka, de Layubuka, nom vernaculaire bengali de L. laubuca, espèce type du genre, et laubuca de même origine.

Le nom générique a eu tendance à être orthographié "Laubuca" pendant un certain nombre d'années, mais il est maintenant établi que Bleeker a utilisé "Laubuka" en premier, cette orthographe est donc prioritaire.

Utilisation traditionnelle, scientifique et/ou commerciale :
Cette espèce est localement utilisée comme appât pour le mahseer, le channa et d'autres poissons carnivores plus gros.
Elle est rarement vu sur les marchés, il est probablement utilisé pour fabriquer du prahok (en khmer : ប្រហុក), une pâte à base de poisson salé, fermenté et concassé.

Références

GBIF, IUCN,
Fishbase, Seriously fish
- Arunachalam, M., J.A. Johnson, S.N. Sathyanarayanappa, A. Sankaranarayanan and R. Soranam, 2000. Cultivable and ornamental fishes from Hemavathi and Ekachi rivers, South Karnataka. p. 226-227. In A.G. Ponniah and A. Gopalakrishnan (eds.) Endemic fish diversity of Western Ghats. NBFGR-NATP Publication. National Bureau of Fish Genetic Resources, Lucknow, U.P., India.
- Bănărescu, P. M. "Remarks on the genus Chela Hamilton-Buchanan (Pisces, Cyprinidae) with description of a new subgenus". in Annali del Museo Civico di Storia Naturale `Giacomo Doria' 77: 53-64 (1968)
- Epa U.P.K., Narayana N. M. A. J. "Feeding Ecology and Length-weight Relationship of Indian Glass Barb, Laubuka laubuca (Hamilton 1822) at Maguru Oya Stream (Deduru Oya River Tributary), Sri Lanka" Asian Fisheries Society (2024)
- Fang, F. , M. Norén, T.-Y. Liao, M. Källersjö and S. O. Kullander. "Molecular phylogenetic interrelationships of the south Asian cyprinid genera Danio, Devario and Microrasbora (Teleostei, Cyprinidae, Danioninae)". in Zoologica Scripta 2009: 1-20 (2009)
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- Hossain, M.Y., M.M. Rahman, B. Fulanda, M.A.S. Jewel, F. Ahamed and J. Ohtomi, 2012. Length-weight and length-length relationships of five threatened fish species from the Jamuna (Brahmaputra River tributary) River, northern Bangladesh. J. Appl. Ichthyol. 28(2):275-277.
- Kottelat, M. , 2001. Poissons du Laos. WHT Publications Ltd., Colombo 5, Sri Lanka.
- Kottelat, M., "The fishes of the inland waters of southeast Asia: a catalogue and core bibiography of the fishes known to occur in freshwaters, mangroves and estuaries." in Raffles Bulletin of Zoology Supplement 27: 1-663 (2013)
Kulabtong, S., S. Suksri and C. Nonpayom, "A new species of genus Laubuca Bleeker, 1860 cyprinid fish from Bangladesh (Cypriniformes, Cyprinidae)." in Biodiversity Journal 3(1): 93-95 (2012)
- Pethiyagoda, R. , M. Kottelat, A. Silva, K. Maduwage and M. Meegaskumbura. "A review of the genus Laubuca in Sri Lanka, with description of three new species (Teleostei: Cyprinidae)". in Ichthyological Exploration of Freshwaters 19(1): 7-26 (2008)
- Pethiyagoda, R., 1991. Freshwater fishes of Sri Lanka. The Wildlife Heritage Trust of Sri Lanka, Colombo.
- Rainboth, W.J., 1996. Fishes of the Cambodian Mekong. FAO species identification field guide for fishery purposes. FAO, Rome,
- Riehl, R. and H.A. Baensch, "Aquarien Atlas". Band. 1. Melle: Mergus, Verlag für Natur-und Heimtierkunde, Germany. (1991)
- Shrestha, J., 1994. Fishes, fishing implements and methods of Nepal. Smt. M.D. Gupta, Lalitpur Colony, Lashkar (Gwalior), India.
- Shrestha, T. K., "Ichthyology of Nepal. A study of fishes of the Himalayan waters." in Himalayan Ecosphere, Kathmandu, Nepal: 1-389 (2008)
- Silas, E. G., "Studies on cyprinid fishes of the oriental genus Chela Hamilton." in Journal of the Bombay Natural History Society 55(1): 54-99 (1958)
- Talwar, P.K. and A.G. Jhingran, "Inland fishes of India and adjacent countries". vol 1. A.A. Balkema, Rotterdam (1991)
- Vishwanath, W. "Laubuca laubuca". Liste rouge de l'UICN des espèces menacées 2010

Pour citer cette fiche :"Laubuka laubuca Hamilton, 1822" B-Aqua / GP (2024)