Barbus melon
Potamodrome, le Barbus melon est un poisson difficile à maintenir si on respecte les variations saisonnières inhérentes à son mode de vie, et indispensable à son bien-être.

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Taxinomie
Descripteur : Jerdon, 1849
Classe: Actinopterygii
Ordre: Cypriniformes
Famille:  Cyprinidae
Genre:  Haludaria
Synonymes
Cirrhinus fasciatus Jerdon, 1849
Dravidia fasciata (Jerdon, 1849)
Puntius fasciatus (Jerdon, 1849)
Puntius fasciatus subsp. fasciatus (Jerdon, 1849)
Puntius fasciatus subsp. pradhani Tilak, 1973
Puntius grayi Day, 1867
Puntius melanampyx subsp. pradhani Tilak, 1973
Noms Communs
Barbus melon
Melon barb (en)
Gid-pakke (kannada)
Vazhakka Varayan (malayalam)
Membres du genre Haludaria
Haludaria fasciata (Jerdon, 1849)
Haludaria kannikattiensis (Arunachalam & Johnson, 2003)
Origine géographique
Aire d'origine : Asie
Inde
Inde (Tamil Nadu, Kerala, Karnataka, Goa, Andhra Pradesh)

Haludaria fasciata se trouve dans les rivières qui coulent vers l'ouest de Goa, du Karnataka, du Kerala et jusqu'au district de Kanyakumari au Tamil Nadu, ainsi que dans les ruisseaux qui coulent vers l'est du bassin de la rivière Cauveri au pied des collines de Nallamala (Jayaram 1981, 1991).

Endémique des montagnes des Ghâts occidentaux dans les États du sud de l'Inde de Goa, Karnataka, Kerala et Tamil Nadu, où son aire de répartition s'étend du district de Kanyakumari, à la pointe sud du pays, presque jusqu'à l'État du Maharashtra, au nord.

Il est cependant plus courant sur les pentes occidentales de la chaîne et a été observé dans de nombreux bassins fluviaux, de l'embouchure jusqu'à la source, bien qu'il soit plus courant au niveau de la mer et dans les contreforts.
Environnement
Paramètres
Milieu
Douce
Haludaria fasciata fréquente principalement les zones vallonnées et les contreforts (Chhapgar et Manakadan 2000).

On le trouve principalement dans les rivières courantes (Arunachalam, M., J.A. Johnson and A. Manimekalan, 2000).

Haludaria fasciata est potamodrome (Riede, K., 2004).

Il fait partie des "Barbus" les plus répandues dans les Ghâts occidentaux et habite plusieurs biotopes, des ruisseaux de colline aux grandes rivières ainsi qu'aux canaux d'irrigation, aux étangs, aux lacs et aux fossés, avec une préférence pour les zones peu profondes et calmes avec une couverture immergée sous forme de végétation aquatique ou de litière de feuilles.
Grégaire, il forme généralement de grands bancs avec des membres d'autres espèces ainsi qu'avec des congénères.

Toutes les rivières des Ghâts occidentaux sont alimentées par la pluie et sont saisonnières. De nombreux habitats subissent donc des changements de profondeur, de température, de composition chimique de l'eau, de turbidité et de débit en fonction de la période de l'année. Les rivières non endiguées peuvent presque s'assécher complètement pendant l'été, mais coulent comme des torrents après la mousson.

On le trouve généralement aux côtés d'autres petits cyprinidés tels que Pethia ticto, Puntius sahyadriensis, Puntius setnai et d'autres vers l'extrémité nord de son aire de répartition, Dawkinsia filamentosua, D. assimilis, D. arulius, Pethia ticto et P. punctata au milieu et D. assimilis, D. exclamatio, D. filamentosa, Pethia ticto et P. punctata à l'extrémité sud.

Rasbora daniconius est également présent en sympatrie dans la plupart des endroits.

Dans l'habitat de Valparai (ville d'altitude du district de Coimbatore dans l'état indien du Tamil Nadu), on trouve des espèces végétales telles que Lagenandra ovata et Blyxa aubertii, ainsi que des poissons sympatriques En écologie, deux espèces ou populations sont dites sympatriques quand on les trouve dans la même zone géographiquetels que Devario malabaricus, Garra , Travancoria et Mesonoemacheilus spp..

On le trouve au côté d'espèces vivant dans les ruisseaux du sud de l'Inde ou du Sri Lanka telles que Rasbora dandia, Dawkinsia arulius, D. assimilis, D. filamentosa, , Puntius cumingii, Haludaria fasciata, Pethia nigrofasciata, Puntius titteya, Rasbora rasbora, Lepidocephalichthys guntea, L. thermalis, Acanthocobitis urophthalmus ou Etroplus spp.
Haludaria fasciata est largement répandu et bien qu'il existe des menaces localisées, elle n'est soumise à aucune menace majeure, elle est donc évaluée comme étant de "Préoccupation mineure".

Plusieurs rivières de l'aire de répartition de H. fasciata subissent une dégradation due à la pollution et à la destruction de leur habitat. L'espèce est également menacée par des espèces introduites comme Xiphophorus maculatus dans certaines zones de son aire de répartition (Krishnakumar et al. 2009).

L'espèce vit cependant dans de nombreuses zones protégées dans toute son aire de répartition.
Description
Taille
: 6 à 14 cm SL  
: 7 à 15 cm SL
Respiration
Branchiale
Longévité
8 à 12 ans
Régime
Omnivore
En cours de rédaction :

Le statut taxonomique de cette espèce est pour l'instant très confus.
Elle est souvent confondue avec Haludaria melanampyx. Il s'agit sans doute d'un complexe d'espèces présentant une grande variation dans toute son aire de répartition, d'où la montée de la confusion.

Le Barbus melon dispose de quatre bandes transversales incomplètes


Il s'agit d'une petite espèce qui atteint une taille maximale de 5 à 6 cm (Chhapgar et Manakadan 2000).
Cependant, des sources mentionnent des spécimens de près de quinze centimètres, ce qui impose en ce cas un bac de plus de quatre-cents litres.
On ignore si cette disparité importante provient d'erreurs d'identification ou de conditions naturelles.
La maintenance en captivité étant fréquemment inadéquate, on ne peut malheureusement pas déduire la taille adulte des données aquariophiles (NDLA).


Jayaram (1981, 2010) ne reconnaît pas l'espèce Puntius fasciatus dans deux de ses livres. Il appelle plutôt l'espèce aux caractères et à la distribution similaires, Puntius melanampyx. Mais, il la reconnaît comme P. fasciatus dans son édition de 1991, Revision of the Genus Puntius . Il identifie également des sous-espèces de la même espèce, qui sont appliquées aux deux noms spécifiques. Arunachalam. comm. pers. (2010) a distingué les deux espèces sur la base d'études chromosomiques, mais Gopalakrishnan. comm. pers. (2010) n'a trouvé aucune variation basée sur les séquences d'ADN nucléaire et mitochondrial.


Le statut taxonomique de cette espèce est pour l'instant très confus. Elle est souvent confondue avec Haludaria melanampyx . Nous avons des raisons de croire qu'il s'agit d'un complexe d'espèces présentant une grande variation dans toute son aire de répartition, d'où la montée de la confusion.

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Note : Il existe un certain nombre de variantes géographiquement isolées qui diffèrent à la fois par leur couleur et leur motif selon la localité et le type d' habitat. Les populations des hautes terres présentent généralement une couleur de base orangée, tandis qu'à des altitudes plus basses, elles sont normalement violettes ou rougeâtres.

Le nombre et le positionnement des barres sombres sur le corps sont également variables ; les populations de Goa en ont cinq, celles du Karnataka/nord du Kerala quatre, celles du centre/sud du Kerala trois.

Certains poissons du sud du Kerala n'en ont que deux et les poissons très recherchés de Kanyakumari n'en ont qu'un seul (R. Kumar, comm. pers.).

Attention ! : Comme des différences génétiques sont également susceptibles d'exister, il est important de ne pas mélanger les formes dans les aquariums pour éviter l'hybridation .

Malheureusement, cela peut déjà se produire dans le commerce, il est donc judicieux de se renseigner sur l'origine de votre poisson avant de l'acheter.
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SF
Il existe sous un certain nombre de formes de couleur, mais il n'est pas encore décidé si elles doivent être considérées comme des variantes géographiques ou comme un complexe d' espèces étroitement liées , car aucune étude phylogénétique exhaustive n'a été menée.

Quatre populations ont été élevées au statut spécifique ou sous-spécifique, mais seules H. pradhani (Tilak, 1973), une forme côtière du Maharashtra et de Goa avec 5 barres et un corps violet et H. kannikkatiensis , une forme noirâtre à nageoires noires de l'État du Tamil Nadu avec deux marques corporelles, l'une sous la nageoire dorsale et l'autre sur le pédoncule caudal, sont actuellement acceptées comme valides (R. Kumar, comm. pers.).

Les taxons considérés comme synonymes de H. fasciata sont H. afasciata (Jayaram, 1990), une forme à corps uni de Kanyakumari ; H. melanampyx (Day, 1865), une forme à trois bandes trouvée dans le centre et le sud du Kerala et H. grayi (Day, 1867), une forme des hautes terres avec 3 barres, dont la partie postérieure à la base de la nageoire caudale est souvent indistincte, et un corps vert olive à cramoisi.

H. fasciata lui-même a été décrit à Malabar (correspondant au nord actuel du Kerala), et bien qu'aucun spécimen type ne soit connu, Jerdon a mentionné qu'il avait quatre barres.

Il est possible que le « groupe » soit en cours de spéciation et il semble envisageable que certains de ces noms soient revalidés ou que des populations supplémentaires soient élevées au statut d'espèce à part entière à l'avenir.

Note : Le genre Haludaria est définie par la combinaison de caractères suivante : petite taille, généralement inférieure à 60 mm SL ; présence de barbillons rostraux et maxillaires ; ligne latérale complète, avec 18 à 26 écailles poreuses sur le corps ; 4 rayons non ramifiés et 8 ramifiés sur la nageoire dorsale, dont le dernier rayon non ramifié est faible et lisse ; 3 rayons non ramifiés et 5 ramifiés sur la nageoire anale ; branchiospines simples, acuminées (non ramifiées ou laminées) ; pas de rayon épineux prédorsal antrorse ; préopercule infraorbitaire 3 profond, chevauchant partiellement ; fontanelle uroneurale libre et post-épiphysaire absentes ; présence d'une ou deux larges barres noires sur chaque flanc, entre les bases des nageoires dorsale et anale.
 
Régime Alimentaire
Le régime alimentaire de Haludaria fasciata est omnivore. Il est également consommé par des poissons et des crustacés plus gros (Chhapgar et Manakadan 2000).

Les poissons sauvages sont des omnivores qui se nourrissent de diatomées, d'algues, de détritus organiques, de petits insectes, de vers, de crustacés et d'autres zooplanctons.

En aquarium, il acceptera la plupart des aliments industriels, mais une nourriture fraiche et/ou vivante sera impérative pour assurer sa santé et son bien-être.

Un bac riche en végétation dégradée, avec un tapis de feuilles où abonde la micro et mezzo-faune est le meilleur moyen de lui fournir l'alimentation de qualité qu'il mérite.
Dimorphisme
Les femelles ont tendance à être plus grandes et plus rondes.

Les mâles sont plus colorés avec généralement une coloration rouge et/ou noire sur la nageoire dorsale.
Dangerosité
 
 
 Aucun
Maintenance
Population
10 minimum (20 recommandé)
Zone
Centrale
Ratio M/F
1 / 1
Paramètres
Température
        22      25              26      28
pH
         5,5      6            6,5      7
GH
         1       2              8       10
Brassage
Aquarium
Volume
250 l minimum (400 l recommandé)
Longueur
120 cm minimum (150 cm recommandé)
En cours de rédaction :

Exposant : 2

Attention ! :
Note :
(Cette information demande confirmation car non sourcée)

Toutes les rivières des Ghâts occidentaux sont alimentées par la pluie et sont saisonnières. De nombreux habitats subissent donc des changements de profondeur, de température, de composition chimique de l'eau, de turbidité et de débit en fonction de la période de l'année. Les rivières non endiguées peuvent presque s'assécher complètement pendant l'été, mais coulent comme des torrents après la mousson.



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L'aménagement idéal serait dédié à la reproduction d'un ruisseau à faible débit. Utilisez un substrat de sable , de gravier ou mixte et peut-être quelques roches lisses et usées par l'eau de différentes tailles.

La filtration peut être assez douce, mais essayez de fournir un certain mouvement de l'eau, en ajoutant des racines, des branches, des brindilles et des plantes aquatiques ( les espèces indigènes comprennent Lagenandra ovata et Blyxa auberti ) pour la couverture.

Quelques poignées de feuilles mortes complèteront l'effet naturel et pourront contribuer à faire ressortir les plus belles couleurs des poissons.

Généralement très paisible, ce qui en fait un résident idéal de l'aquarium communautaire bien étudié , mais il peut surpasser les poissons plus lents ou plus timides car c'est un mangeur assez vigoureux.

Comme il n'impose aucune exigence particulière en termes de chimie de l'eau, il peut être combiné avec de nombreux poissons parmi les plus populaires du hobby, notamment d'autres petits cyprinidés ainsi que des tétras, des vivipares, des poissons arc-en-ciel, certains anabantoïdes, des poissons-chats et des loches.

Une communauté basée autour d'espèces des Ghâts occidentaux pourrait inclure des espèces mentionnées dans la section « Habitat » ainsi que d'autres telles que Laubuca dadiburjori , Rasbora caverii , R. rasbora , Lepidocephalichthys guntea , L. thermalis , Botia striata , Aplocheilus blockii , A.lineatus , A. panchax , Etroplus maculatus , E. suratensis et Pseudosphromenus cupanus .
Comme toujours, recherchez soigneusement la combinaison que vous prévoyez avant l'achat.

Essayez d'acheter un groupe mixte d' au moins 8 à 10 spécimens, incluez d'autres poissons en banc pour assurer la sécurité et vous serez récompensé par un spectacle plus naturel.

L'interaction entre mâles rivaux est fascinante à observer et ils affichent leurs plus belles couleurs lorsqu'ils se disputent l'attention des femelles ou la domination hiérarchique.



Attention ! : On considère souvent qu'un poisson potamodrome est facile à maintenir car supportant une large palette de paramètres de l'eau. En fait, ce n’est pas tout à fait vrai, un potamodrome a un besoin vital de ces changements naturels. Il est donc impératif de les lui fournir. (N.D.A.)

Variations saisonnières
Attention ! : XXXX fréquente une large gamme d'habitats dans la nature, et est de plus soumis à d'importantes variations saisonnières, d'où son apparente tolérance à des paramètres de l'eau extrêmement divers. En réalité, ses exigences initiales sont déterminées par la localité et la saison de collecte. Il est donc préférable de demander à votre grossiste le lieu de pêche des poissons convoités et les conditions d'eau dans laquelle ils ont été maintenu jusqu'a l'achat.

Disponibilité commerciale : Commun

L'espèce est l'une des espèces les plus populaires dans le commerce des aquarium. Dommage qu'elle ne soit jamais présentée comme potamodrome par un commerce de masse qui privilégie la vente au bien-être animal.

Attention ! : Comme des différences génétiques sont également susceptibles d'exister, il est important de ne pas mélanger les formes dans les aquariums pour éviter l'hybridation .

Malheureusement, cela peut déjà se produire dans le commerce, il est donc judicieux de se renseigner sur l'origine de votre poisson avant de l'acheter.
Reproduction
Type
Ovipare
Difficulté
Possible
Paramètres
Température
26 à 28 °C
pH
6 à 7
GH
1 à 6 °GH
Attention ! : Comme des différences génétiques sont probables entre les différentes origine de l'espèce, il est important de ne pas mélanger les formes dans les aquariums pour éviter l'hybridation .

Comme la plupart des petits cyprinidés, c'est un reproducteur libre qui disperse ses œufs et ne présente aucun soin parental.
Lorsqu'il est soumis aux conditions idéales, il se reproduit souvent, il est possible qu'un petit nombre d'alevins apparaissent sans intervention.

Attention ! : Si le frai est indispensable au bien-être animal et doit être un des objectifs de tout aquariophile, il faut bien avoir en tête que la reproduction engendre des bouches supplémentaires à nourrir, du volume en plus et des territoires à prévoir chez certaines espèces.
On devra donc envisager le placement des individus supplémentaires avec le plus grand soin.
De plus, des reproductions continues affaiblissent les poissons et écourtent leur espérance de vie.
Dans la nature, la plupart des espèces dites "reproducteurs continus" sont soumises aux variations saisonnières (et/ou potamodromes) et ne se reproduisent de fait, qu'une ou deux fois par an.

Si vous souhaitez néanmoins maximiser l'élevage, une approche plus contrôlée sera nécessaire.
Le groupe adulte peut toujours être conditionné ensemble, mais un aquarium plus petit doit également être installé et rempli d'eau mature.

L'éclairage doit être très faible et la base recouverte d'une sorte de grillage suffisamment large pour que les œufs puissent tomber à travers, mais suffisamment petit pour que les adultes ne puissent pas les atteindre. Un tapis en plastique de type "herbe" largement disponible peut également être utilisé et fonctionne bien, tout comme une couche de billes de verre.
Alternativement, remplir une grande partie du réservoir avec une plante à feuilles fines comme Taxiphyllum spp. ou des vadrouilles de frai peut également donner de bons résultats.

L'eau elle-même doit avoir un pH légèrement acide à neutre avec une température proche de l'extrémité supérieure de la plage suggérée ci-dessus, et un filtre à éponge à air ou une ou plusieurs pierres à air doivent également être inclus pour assurer l'oxygénation et le mouvement de l'eau.

Lorsque les adultes sont en bonne condition et que les femelles semblent gravides, un ou deux couples doivent alors être introduits et la ponte doit avoir lieu le lendemain matin.

Une alternative est de faire frayer les poissons en groupe, avec une demi-douzaine de spécimens de chaque sexe étant un bon nombre, bien qu'un aquarium plus grand puisse être nécessaire.

Dans les deux cas, les adultes mangeront probablement les œufs s'ils en ont l'occasion et doivent être retirés dès qu'ils sont remarqués.

Les oeufs devraient éclore en un à deux jours et les alevins nager librement environ vingt-quatre heures plus tard.
Ils doivent être nourris avec des infusoires pendant les premiers jours jusqu'à ce qu'ils soient suffisamment grands pour accepter des micro-vers, des nauplii d'Artemia ou autres petites proies vivantes.
Commentaires
Etymologie : Le nouveau nom Haludaria a été choisi en l'honneur de 'Haludar, un jeune du Bengale' qui, vers 1797, était 'l'artiste qui a réalisé les magnifiques illustrations de "poissons gangétiques" représentés dans le livre de Francis Hamilton (1822) sur les poissons du Gange ( voir Hora, 1931), un ouvrage fondateur de l'ichtyologie indienne", et fasciata du latin "bandé, pourvu de bande".

Utilisation traditionnelle, scientifique et/ou commerciale :
L'espèce n'est, semble t-il, pas utilisée pour la consommation humaine.
Références
GBIF, IUCN,
Fishbase, Seriously fish
- Abraham, R. "Haludaria fasciata". IUCN Red List of Threatened Species 2015
- Arunachalam, M., J.A. Johnson and A. Manimekalan, 2000. Cultivable and ornamental fishes in rivers of Wynard district, Kerala. p. 240-243. In A.G. Ponniah and A. Gopalakrishnan (eds.) Endemic fish diversity of Western Ghats. NBFGR-NATP Publication. National Bureau of Fish Genetic Resources, Lucknow, U.P., India
- Biju C. R. 2003. Habitat and Distribution of Hillstream fishes of Northern Kerala. Department of Zoology, Mahatma Gandhi University.
- Chhapgar, B.F. and Manakadan, R. 2000. Ecology of Hill Streams of Western Ghats with Special Reference to Fish Community. US Fish and Wildlife Service & Bombay Natural History Society, Bombay.
- Day, F., "On the fishes of Cochin, on the Malabar Coast of India. Part II. Anacanthini." in Proceedings of the Zoological Society of London 1865 (pt 1): 286-318 ( 1865)
- Eschmeyer, W.N. (ed.). 2015. Catalog of Fishes. Updated 7 January 2015
- Jayaram, K.C. 1981. The freshwater fishes of India, Pakistan, Bangladesh, Burma and Sri Lanka - a handbook.
- Jayaram, K. C., "Two new species of the genus Puntius Hamilton (Pisces: Cyprinidae) from India." in Journal of the Bombay Natural History Society 87(1): 106-109 (1990)
- Jayaram, K.C. 1991. Revision of the Genus Puntius Hamilton from the Indian region (Pisces: Cypriniformes, Cyprinidae, Cyprininae). Records of the Zoological Survey of India Occasional Paper No. 135: 1-178.
- Jayaram, K.C. 2010. The Freshwater Fishes of the Indian Region. Narendra Publishing House, Delhi.
- Krishnakumar K., Raghavan R., Prasad G., Bijukumar A., Sekharan M., Pereira B. & Ali A. 2009. When pets become pests ? exotic aquarium fishes and biological invasions in Kerala, India. Current Science 97(4): 474 - 476.
- Kullander, S. O. and F. Fang, "Two new species of Puntius from northern Myanmar (Teleostei: Cyprinidae)." in Copeia 2005(2): 290-302 (2005)
- Pethiyagoda, R., M. Meegaskumbura, and K. Maduwage, "A synopsis of the South Asian fishes referred to Puntius (Pisces: Cyprinidae)." in Ichthyological Exploration of Freshwaters 23(1): 69-95 (2012)
- Pethiyagoda, R., "Haludaria, a replacement generic name for Dravidia (Teleostei: Cyprinidae)" in Zootaxa 3646(2):199-199 (2013)
- Riede, K., 2004. Global register of migratory species - from global to regional scales. Final Report of the R&D-Projekt 808 05 081. Federal Agency for Nature Conservation, Bonn, Germany.
- Silias, E. G., "The Systematic Position of the Indian Cyprinid Fish, Cirrhinus fasciatus (Jerdon, 1849), with a New Name for Barbus fasciatus Bleeker (1853)." in Copeia 1956(3): 194 (1956)

Vidéo biotope ; https://www.youtube.com/watch?v=SIJ8Nea0qMQ&ab_channel=Meenkaran

Pour citer cette fiche :"Haludaria fasciata Jerdon, 1849" B-Aqua / TE, GP (2024)